Dans un premier temps, une emprise globale de la zone d’étude doit être définie, englobant la partie terrestre avec les 4 communes qui seront jouées et la partie bathymétrique.
Cette emprise sera composée d’un simple fichier shapefile, de type polygone et définit avec une projection cartographique, par exemple, en Lambert 93 (epsg 2154, pour la France métropolitaine).
L’ensemble des données constitué devra avoir la même projection cartographique.
2 – MNT
LittoSIM nécessite en entrée une base de données altimétriques, constitué d’un modèle numérique de terrain (MNT) maillé, comprenant à la fois, un continuum géographique entre la partie terrestre et la partie bathymétrique. Ce MNT devra être de type ASCII avec un pas de 20m. Cette résolution est adaptée pour une zone d’étude inférieure ou égale à 100 km², au-delà les temps de calcul de Lisflood sont considérés trop lourds.
1 - Emprise de la zone d’étude/emprise globale
Dans un premier temps, une emprise globale de la zone d’étude doit être définie, englobant la partie terrestre avec les 4 communes qui seront jouées et la partie bathymétrique. Cette emprise sera composée d’un simple fichier shapefile, de type polygone et définit avec une projection cartographique, par exemple, en Lambert 93 (epsg 2154, pour la France métropolitaine). L’ensemble des données constitué devra avoir la même projection cartographique.
2 – MNT
LittoSIM nécessite en entrée une base de données altimétriques, constitué d’un modèle numérique de terrain (MNT) maillé, comprenant à la fois, un continuum géographique entre la partie terrestre et la partie bathymétrique. Ce MNT devra être de type ASCII avec un pas de 20m. Cette résolution est adaptée pour une zone d’étude inférieure ou égale à 100 km², au-delà les temps de calcul de Lisflood sont considérés trop lourds.