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Flux RSS complet supprime des articles #97

Closed Cqoicebordel closed 3 years ago

Cqoicebordel commented 4 years ago

Le flux RSS complet limite le nombre d'article à 20.
Aujourd'hui, le Brief contenait 26 article, ce qui fait que 6 sont passés à la trappe.
C'est pas idéal…

Cqoicebordel commented 4 years ago

Aujourd'hui, avec 44 articles, ça devrait être OK, mais il semble que la moitié des articles soient encore absent.

<?xml version="1.0" ?><rss xmlns:atom="http://www.w3.org/2005/Atom" version="2.0"><channel><title>Next INpact- Flux Complet</title><link>https://www.nextinpact.com</link><description>L'actualité Hardware</description><language>fr-fr</language><lastBuildDate>Wed, 02 Sep 2020 13:20:47 +0000</lastBuildDate><related xmlns="http://webfeeds.org/rss/1.0" layout="card" target="browser"/> <item>
                <title>MediaTek présente trois nouveaux SoC : Dimensity 720 et 800U en 5G, Helio G95 (4G)</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43485/mediatek-lance-trois-nouveaux-soc-dimensity-720-et-800u-en-5g-helio-g95-4g</link>
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                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 08:00:23 +0000</pubDate>
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                <comments>https://www.nextinpact.com/article/43485/mediatek-lance-trois-nouveaux-soc-dimensity-720-et-800u-en-5g-helio-g95-4g#/page/1</comments>
                <description><![CDATA[<p>L&rsquo;<a href="https://www.mediatek.com/news-events/press-releases/mediatek-unveils-helio-g95-its-newest-chip-for-premium-4g-gaming-smartphones" target="_blank" rel="noopener">Helio G95</a> est la derni&egrave;re puce de la s&eacute;rie &laquo; G &raquo; pens&eacute;e pour les joueurs. Elle dispose de deux c&oelig;urs Cortex-A76 &agrave; 2,05 GHz avec six Cortex-A55 en plus. La partie graphique est une Mali-G76 MC4 cadenc&eacute;e &agrave; 900 MHz, soit 100 MHz de plus que sur <a href="https://www.inpact-hardware.com/article/1432/mediatek-lance-son-soc-g90t-pense-pour-joueurs-avec-arm-cortex-a76-et-mali-g76" target="_blank" rel="noopener">les Helio G90(T)</a>. Tous les d&eacute;tails techniques <a href="https://www.mediatek.com/products/smartphones/mediatek-helio-g95" target="_blank" rel="noopener">sont par l&agrave;</a>.</p>
<p>Alors que l&rsquo;Helio G95 se contente de la 4G, les Dimensity 720 et 800U sont deux SoC prenant en charge la 5G. Comme leurs noms l&rsquo;indiquent, ils viennent se placer en dessous du <a href="https://www.inpact-hardware.com/article/1832/du-nouveau-sur-soc-mediatek-youtube-en-av1-dimensity-1000-et-helio-g85" target="_blank" rel="noopener">Dimensity 1000</a>.&nbsp;<a href="https://d86o2zu8ugzlg.cloudfront.net/mediatek-craft/documents/dimensity-720/MediaTek-Dimensity-720-Product-Brief-PDFMD720PB-0720.pdf" target="_blank" rel="noopener">Le 720</a> est pens&eacute; pour les smartphones de milieu de gamme. Il exploite deux c&oelig;urs Cortex-A76 jusqu&rsquo;&agrave; 2 GHz et six autres Cortex-A55 jusqu&rsquo;&agrave; 2 GHz &eacute;galement, avec un GPU Mali G57 MC3.</p>
<p><a href="https://www.mediatek.com/products/smartphones/dimensity-800u" target="_blank" rel="noopener">Le Dimensity 800U</a> est une &eacute;volution du 800 avec plusieurs am&eacute;liorations. Les deux c&oelig;urs Cortex-A76 grimpent jusqu&rsquo;&agrave; 2,4 GHz, (au lieu de 2 GHz) tandis que les six Cortex-A55 restent &agrave; 2 GHz sur le 800U. La partie graphique Mali G57 passe du MC3 au MC4 et le SoC prend en charge la 5G sur deux cartes SIM et l&rsquo;agr&eacute;gation entre les deux connexions.&nbsp;</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>La Commission européenne publie un rapport sur la sécurité des réseaux 5G</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43484/la-commission-europeenne-publie-rapport-sur-securite-reseaux-5g</link>
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                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 08:00:23 +0000</pubDate>
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                <comments>https://www.nextinpact.com/article/43484/la-commission-europeenne-publie-rapport-sur-securite-reseaux-5g#/page/1</comments>
                <description><![CDATA[<p>Il &laquo; <em>dresse l'&eacute;tat d'avancement de la mise en &oelig;uvre des mesures de la bo&icirc;te &agrave; outils</em> [qui avait &eacute;t&eacute; <a href="https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/ip_20_123" target="_blank" rel="noopener">approuv&eacute;e en janvier</a>, ndlr] <em>au niveau national et apporte un ensemble de conclusions</em> &raquo;, <a href="https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/IP_20_1378" target="_blank" rel="noopener">explique l&rsquo;institution</a>.&nbsp;</p>
<p>Pour la vice-pr&eacute;sidente Margrethe Vestager, &laquo; <em>le d&eacute;ploiement sans retard des r&eacute;seaux de 5G est une question d'importance strat&eacute;gique pour tous les &Eacute;tats membres</em> [&hellip;] <em>La s&eacute;curit&eacute; offerte par ces r&eacute;seaux rel&egrave;ve d'une priorit&eacute; et d'une responsabilit&eacute; communes et ce rapport montre que nous avons bien avanc&eacute;, mais qu'il reste encore beaucoup &agrave; faire</em> &raquo;.</p>
<p>Thierry Breton, commissaire au march&eacute; int&eacute;rieur y va aussi de son analyse : &laquo; <em>Il est plus important que jamais d'assurer un niveau &eacute;lev&eacute; de s&eacute;curit&eacute; lors du d&eacute;ploiement des r&eacute;seaux de 5G dans l'UE au vu des besoins croissants en infrastructures num&eacute;riques de nos &eacute;conomies, comme l'a d&eacute;montr&eacute; la crise du coronavirus</em> [&hellip;] <em>Le rapport publi&eacute; aujourd'hui r&eacute;affirme notre engagement et d&eacute;finit les domaines dans lesquels des efforts et une vigilance accrus sont n&eacute;cessaires</em> &raquo;.</p>
<p>Parmi les conclusions du rapport, il est question de Huawei sans le citer nomm&eacute;ment : &laquo; <em>Des mesures visant &agrave; restreindre la participation des fournisseurs selon leur profil de risque sont d&eacute;j&agrave; en place dans quelques &Eacute;tats membres et &agrave; un stade avanc&eacute; de pr&eacute;paration dans beaucoup d'autres. Le rapport invite les autres &Eacute;tats membres &agrave; aller de l'avant et &agrave; achever ce processus dans les mois &agrave; venir</em> &raquo;. Bien d&rsquo;autres points sont abord&eacute;s.</p>
<ul>
<li><a href="https://ec.europa.eu/digital-single-market/en/news/report-member-states-progress-implementing-eu-toolbox-5g-cybersecurity" target="_blank" rel="noopener">T&eacute;l&eacute;charger le rapport sur la s&eacute;curit&eacute; des r&eacute;seaux 5G</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Et voici le OnePlus Nord de 6,44" (90 Hz) à 399 euros</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43483/et-voici-oneplus-nord-644-90-hz-a-399-euros</link>
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                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 08:00:23 +0000</pubDate>
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                <comments>https://www.nextinpact.com/article/43483/et-voici-oneplus-nord-644-90-hz-a-399-euros#/page/1</comments>
                <description><![CDATA[<p>Cet &eacute;t&eacute;, le fabricant a lanc&eacute; un smartphone de milieu de gamme, simplement baptis&eacute; Nord. Il dispose d&rsquo;un &eacute;cran Fluid AMOLED de 6,44" (2 400 x 1 080 pixels) &agrave; 90 Hz avec une couche de protection Corning Gorilla 5 et un capteur d&rsquo;empreinte plac&eacute; dessous.</p>
<p>Il exploite un <a href="https://www.inpact-hardware.com/article/1826/snapdragon-768g-5g-qualcomm-renforce-sa-gamme-soc-serie-700" target="_blank" rel="noopener">Snapdragon 765G 5G</a> avec 8 ou 12 Go de LPDDR4X et 128 ou 256 Go de stockage UFS 2.1. La batterie est de 4 115 mAh (non amovible) avec pas moins de six cam&eacute;ras : quatre derri&egrave;res, deux devant. Dommage par contre que seul du Wi-Fi 5 soit pr&eacute;sent.</p>
<p>Android 10 est de la partie, avec la surcouche maison OxygenOS. &laquo; <em>&Agrave; l'instar des flagship OnePlus, les nouveaux appareils OnePlus Nord b&eacute;n&eacute;ficieront de deux ans de mises &agrave; jour logicielles et de trois ans de mises &agrave; jour de s&eacute;curit&eacute;</em> &raquo;, indique le fabricant. Il est d&egrave;s &agrave; pr&eacute;sent disponible <a href="https://www.oneplus.com/fr/oneplus-nord?from=nord" target="_blank" rel="noopener">&agrave; 399 euros</a> (8 et 128 Go) et <a href="https://www.oneplus.com/fr/oneplus-nord?from=nord" target="_blank" rel="noopener">499 euros</a> (12 et 256 Go).</p>
<p>Dans le m&ecirc;me temps, OnePlus planche sur son 8T attendu pour octobre ou novembre. Une premi&egrave;re image de la face avant <a href="https://www.theverge.com/2020/8/31/21409166/oneplus-8t-image-reveal-first-look-leak-firmware-update-developer-preview" target="_blank" rel="noopener">aurait fuit&eacute;</a>.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Vous ne l’attendiez pas… et pourtant BlackBerry sera de retour en 2021</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43481/vous-ne-nattendiez-pas-et-pourtant-blackberry-sera-retour-en-2021</link>
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                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 08:00:23 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Un re(re)naissance qui devrait &ecirc;tre dans la lign&eacute;e de la derni&egrave;re ressuscitation de la marque : des smartphones sous Android avec un clavier physique.</p>
<p>Ces derni&egrave;res ann&eacute;es, TCL commercialisait les smartphones BlackBerry, mais on apprenait <a href="https://www.nextinpact.com/lebrief/41357/11113-le-31-aout-2020--tcl-ne-proposera-plus-aucun-smartphone-blackberry" target="_blank" rel="noopener">en f&eacute;vrier</a> que le contrat entre les deux partenaires &eacute;tait rompu et que TCL ne proposerait plus de BlackBerry &agrave; compter du 31 ao&ucirc;t 2020.</p>
<p>Dans un communiqu&eacute; <a href="https://thenextweb.com/plugged/2020/08/19/blackberry-android-phone-2021/">repris par The Next Web</a>, Peter Franklin explique que sa soci&eacute;t&eacute; d'OnwardMobility prendra la rel&egrave;ve, en partenariat avec FIH Mobile (une filiale de Foxconn). Aucun d&eacute;tail n&rsquo;a &eacute;t&eacute; donn&eacute; sur les caract&eacute;ristiques techniques des futurs smartphones</p>
<p>&laquo; <em>Les smartphones BlackBerry sont connus pour prot&eacute;ger les communications, la confidentialit&eacute; et les donn&eacute;es</em> [&hellip;] <em>Il s'agit d'une opportunit&eacute; incroyable pour OnwardMobility de commercialiser des appareils 5G de nouvelle g&eacute;n&eacute;ration</em> &raquo;, indique-t-il simplement.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Galaxy Z Fold2, Note20 (Ultra), Tab S7(+), Watch3, Buds Live : Samsung « on fire » cet été</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43478/galaxy-tab-s7-watch3-buds-live-z-fold2-note20-ultra-samsung-on-fire-durant-lete</link>
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                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 08:00:23 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Ces annonces ont &eacute;t&eacute; faites durant la conf&eacute;rence Unpacked du 5 ao&ucirc;t, avec pour commencer <a href="https://news.samsung.com/fr/galaxy-note-20" target="_blank" rel="noopener">deux nouveaux smartphones</a> : &laquo; <em>le Galaxy Note20 Ultra</em> [&eacute;cran incurv&eacute; de 6,9", ndlr]<em>, pens&eacute; pour les adeptes du Note ax&eacute;s sur la productivit&eacute; et recherchant la puissance ultime et le Galaxy Note20</em> [&eacute;cran plat de 6,7", ndlr]<em>, qui s&rsquo;adresse &agrave; tous ceux qui d&eacute;sirent optimiser leur temps entre travail et loisirs</em> &raquo;.</p>
<p>Les nouveaux smartphones disposent de trois capteurs optiques &agrave; l&rsquo;arri&egrave;re, dont un de 64 Mpxiels sur le Note20 et de 108 Mpixels sur le Note20 Ultra. Ils sont &eacute;videmment livr&eacute;s avec le stylet S Pen de la marque. Les caract&eacute;ristiques techniques d&eacute;taill&eacute;es sont <a href="https://www.samsung.com/fr/smartphones/galaxy-note20/" target="_blank" rel="noopener">disponibles ici</a>. Le Note20 est vendu &agrave; partir de 959 euros, contre 1 309 euros pour la version Ultra.</p>
<p>Le <a href="https://www.samsung.com/fr/smartphones/galaxy-z-fold2/" target="_blank" rel="noopener">Galaxy Z Fold2</a> est, comme son nom l&rsquo;indique, un m&eacute;lange entre les <a href="https://www.nextinpact.com/article/29195/107637-galaxy-fold-a-1-980-dollars-s10e-s10-s10-s10-5g-tour-dhorizon-annonces-samsung">Galaxy Fold</a> et <a href="https://www.nextinpact.com/article/30033/108694-galaxy-s20-5g-a-120-hz-galaxy-z-flip-pliable-ce-quil-faut-retenir-conference-samsung">Galaxy Z Flip</a>. Il est &eacute;quip&eacute; de &laquo; <em>deux &eacute;crans bord &agrave; bord Infinity-O qui abritent les capteurs photo dans des bulles quasiment invisibles</em> &raquo;. L&rsquo;&eacute;cran avant mesure 6,2&rsquo;&rsquo;, contre 7,6&rsquo;&rsquo; pour l&rsquo;&eacute;cran principal. Signalons aussi que le Galaxy Z Flip passe &agrave; la 5G.</p>
<p>Les tablettes <a href="https://news.samsung.com/fr/galaxy-tab-s7" target="_blank" rel="noopener">Galaxy Tab S7 et S7+</a> disposent pour leur part d&rsquo;un &eacute;cran de 11 et 12,4" respectivement. Elles sont livr&eacute;es avec un S Pen &laquo; <em>encore plus pr&eacute;cis et r&eacute;actif, avec une mine de 0,7mm, 4 096 points de pression et un temps de latence record de seulement 9 ms, procurant une sensation similaire &agrave; celle de l&rsquo;&eacute;criture manuscrite</em> &raquo;.</p>
<p>Comptez <a href="https://www.samsung.com/fr/tablets/galaxy-tab-s7-plus-5g-t976/SM-T976BZNEEUH/buy/" target="_blank" rel="noopener">719 euros</a> minimum pour la Galaxy Tab S7, <a href="https://www.samsung.com/fr/tablets/galaxy-tab-s7-plus-5g-t976/SM-T976BZNEEUH/buy/" target="_blank" rel="noopener">949 euros</a> pour la S7+ en version Wi-Fi. Des d&eacute;clinaisons 4G et 5G sont &eacute;galement propos&eacute;es. En option, vous pouvez opter pour un nouveau Book Cover Keyboard. Il dispose d&rsquo;un &laquo; <em>pav&eacute; tactile plus large qui permet d&eacute;sormais de zoomer, de faire d&eacute;filer, ou de naviguer entre les diff&eacute;rentes applications ouvertes</em> &raquo;.</p>
<p>Terminons par la montre <a href="https://www.samsung.com/fr/wearables/galaxy-watch3-r845/SM-R845FZKAEUB/" target="_blank" rel="noopener">Galaxy Watch3</a> et <a href="https://www.samsung.com/fr/wearables/galaxy-buds-live-r180/SM-R180NZNAEUB/" target="_blank" rel="noopener">Galaxy Buds Live</a>. La premi&egrave;re propose des fonctionnalit&eacute;s comme &laquo; <em>mesure du rythme cardiaque, qualit&eacute; du sommeil, analyse de la foul&eacute;e pendant les sessions de running, d&eacute;tection de chute</em> &raquo;. Elle est propos&eacute;e &agrave; partir de <a href="https://www.samsung.com/fr/wearables/galaxy-watch3-r850/SM-R850NZDAEUB/buy/" target="_blank" rel="noopener">429 euros</a> avec un bracelet de 41 mm, <a href="https://www.samsung.com/fr/wearables/galaxy-watch3-r850/SM-R850NZDAEUB/buy/" target="_blank" rel="noopener">459 euros</a> avec un de 45 mm. Les seconds sont &laquo; <em>&agrave; mi-chemin entre &eacute;couteurs ouverts et intra-auriculaires</em> &raquo;, avec r&eacute;duction de bruit actif. <a href="https://www.samsung.com/fr/wearables/galaxy-buds-live-r180/SM-R180NZNAEUB/buy/" target="_blank" rel="noopener">Comptez 199 euros</a>.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Émission d’ondes : le Xiaomi Note 10 et le Nokia 7 Plus épinglés par l’ANFR</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43477/emission-dondes-xiaomi-note-10-et-redmi-note-7-pro-epingles-par-lanfr</link>
                <guid isPermaLink="true">https://www.nextinpact.com/article/43477/emission-dondes-xiaomi-note-10-et-redmi-note-7-pro-epingles-par-lanfr</guid>
                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 08:00:23 +0000</pubDate>
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                <comments>https://www.nextinpact.com/article/43477/emission-dondes-xiaomi-note-10-et-redmi-note-7-pro-epingles-par-lanfr#/page/1</comments>
                <description><![CDATA[<p><a href="https://www.anfr.fr/index.php?id=425&amp;no_cache=1&amp;tx_news_pi1%5Bcontroller%5D=News&amp;tx_news_pi1%5Baction%5D=detail&amp;tx_news_pi1%5Bnews_preview%5D=1472" target="_blank" rel="noopener">Le 30 juillet</a>, l&rsquo;Agence nationale des fr&eacute;quences indiquait avoir mesur&eacute; un DAS tronc de 2,45 W/kg sur le Mi Note 10 de Xiaomi, au-dessus de la limite r&eacute;glementaire (2 W/kg). Le fabricant a d&eacute;ploy&eacute; une mise &agrave; jour corrective. Apr&egrave;s de nouvelles mesures, l&rsquo;ANFR confirme alors que le DAS est redescendu &agrave; 1,12 W/kg.</p>
<p><a href="https://www.anfr.fr/toutes-les-actualites/actualites/mise-a-jour-du-telephone-nokia-7-plus-a-la-suite-dun-depassement-de-la-limite-reglementaire-du-das-tronc/" target="_blank" rel="noopener">Le 25 ao&ucirc;t</a> c&rsquo;&eacute;tait au tour du Nokia 7 Plus d&rsquo;&ecirc;tre point&eacute; du doigt avec un DAS tronc de 3,48 W/kg. Le fabricant HMD Global a alors d&eacute;ploy&eacute; une mise &agrave; jour, mais insuffisante : le DAS tronc &eacute;tait toujours &agrave; 2,15 W/kg selon de nouvelles mesures de l&rsquo;ANFR. La seconde mise &agrave; jour &eacute;tait la bonne avec 1,58 W/kg.</p>
<p>L&rsquo;Agence indique au passage avoir &laquo; <em>&eacute;galement prononc&eacute; une amende administrative d&rsquo;un montant de 7 500 &euro; &agrave; l&rsquo;encontre de la soci&eacute;t&eacute; HMD GLOBAL OY, conform&eacute;ment au deuxi&egrave;me alin&eacute;a du II bis de l&rsquo;article L. 43 du code des postes et des communications &eacute;lectroniques, la soci&eacute;t&eacute; n&rsquo;ayant pas mis fin &agrave; la non-conformit&eacute; dans le d&eacute;lai imparti par la mise en demeure</em> &raquo;.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/28110/106257-ondes-emises-par-smartphones-phonegate-risques-sanitaires-et-mesure-das">Ondes &eacute;mises par les smartphones : #PhoneGate, risques sanitaires et mesure du DAS </a></li>
</ul>
<p>Signalons au passage que <a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=io.m100.anfr.OpenBarres" target="_blank" rel="noopener">l&rsquo;application Openbarres sur Android</a> a &eacute;t&eacute; mise &agrave; jour fin juillet avec une nouveaut&eacute; attendue : des indications sur les bons comportements &agrave; adopter pour limiter son exposition aux ondes (utilisation d&rsquo;un kit mains libres par exemple).</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Quand une voiture connectée brouillait des connexions 3G</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43476/quand-voiture-connectee-brouillee-connexions-3g</link>
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                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 08:00:23 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Un op&eacute;rateur de t&eacute;l&eacute;phonie mobile <a href="https://www.anfr.fr/toutes-les-actualites/actualites/les-enquetes-de-lanfr-la-voiture-connectee-qui-deconnectait-les-telephones/" target="_blank" rel="noopener">s&rsquo;est plaint</a> &agrave; l&rsquo;Agence nationale des fr&eacute;quences (ANFR) d&rsquo;un brouillage dans la bande 900 MHz (3G) sur la commune de Saint-Ambroix dans le Gard.</p>
<p>L&rsquo;ANFR explique n&rsquo;avoir qu&rsquo;un seul indice pour commencer son enqu&ecirc;te : l&rsquo;antenne relais &laquo; <em>&eacute;tait sur le terrain d&rsquo;un garage automobile o&ugrave; se trouvait une voiture &eacute;lectrique</em> [&hellip;] <em>Tout pr&egrave;s du v&eacute;hicule, l&rsquo;analyse spectrale a confirm&eacute; que le signal brouilleur provenait bien de cette voiture. Mais ce n&rsquo;&eacute;tait pas sa nature &eacute;lectrique qui la faisait rayonner ; c&rsquo;&eacute;tait plut&ocirc;t sa nature, tout aussi moderne, de voiture&hellip; connect&eacute;e</em> &raquo;.</p>
<p>En cause, un &laquo; discret &raquo; bo&icirc;tier de communication : TCU ou Telematics Control Unit. &laquo; <em>Ce TCU, gr&acirc;ce &agrave; sa carte SIM, communique en effet avec le r&eacute;seau du concessionnaire</em> [&hellip;] <em>Mais voil&agrave; : ce TCU, en d&eacute;faut, produisait un rayonnement permanent intempestif dans la bande de fr&eacute;quences 900 MHz, qui perturbait l&rsquo;antenne-relais, et tous les t&eacute;l&eacute;phones environnants</em> &raquo;.</p>
<p>Une solution aurait &eacute;t&eacute; de d&eacute;sactiver le TCU, mais elle n&rsquo;a pas &eacute;t&eacute; envisag&eacute;e car elle aurait fait perdre de nombreuses fonctionnalit&eacute;s &agrave; la voiture : &laquo; <em>pas de TCU, pas d&rsquo;issue !</em> &raquo;, indique avec humour l&rsquo;ANFR. Finalement, apr&egrave;s plusieurs heures de main d&rsquo;&oelig;uvre et le d&eacute;montage int&eacute;gral de la planche de bord, un garagiste sp&eacute;cialis&eacute; est parvenu &agrave; r&eacute;initialiser le TCU, &laquo; <em>ce qui a d&eacute;finitivement mis fin &agrave; la perturbation</em> &raquo;.</p>
<p>L&rsquo;ANFR indique enfin qu&rsquo;elle &laquo; <em>reste particuli&egrave;rement vigilante car deux autres cas de brouillage d&rsquo;un op&eacute;rateur mobile par des voitures &eacute;lectriques connect&eacute;es sont actuellement en cours de traitement</em> &raquo;.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Achat/revente d’occasion, assurances : l’UFC-Que Choisir lance des appels à témoignages</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43469/achatrevente-doccasion-assurances-lufc-que-choisir-lance-appels-a-temoignages</link>
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                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 08:00:23 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Dans le cas des objets de seconde main, l&rsquo;association a mis en place <a href="https://www.quechoisir.org/nous-contacter-n42652/appel-temoignage/?id=455" target="_blank" rel="noopener">un formulaire</a> afin de lui transmettre vos motivations (financi&egrave;res, &eacute;cologiques, &eacute;thiques, etc.), exp&eacute;riences, circuits de vente favoris (web, magasins sp&eacute;cialis&eacute;s, vide-greniers, d&eacute;p&ocirc;ts-ventes), vos succ&egrave;s et &laquo; <em>surtout de vos d&eacute;convenues</em> &raquo;.</p>
<p><a href="https://twitter.com/asstamane/status/1287677897982054400" target="_blank" rel="noopener">Sur Twitter</a>, notre cons&oelig;ur Anne-Sophie Stamane s&rsquo;est de son c&ocirc;t&eacute; fait l&rsquo;&eacute;cho d&rsquo;une adresse email sp&eacute;cifique pour les pratiques des assureurs : <a href="mailto:secret-medical@quechoisir.org" target="_blank" rel="noopener">secret-medical@quechoisir.org</a>.&nbsp;</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>L’Autorité nationale des jeux peaufine le contrôle des joueurs interdits</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43407/lautorite-nationale-jeux-peaufine-controle-joueurs-interdits</link>
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                <pubDate>Wed, 02 Sep 2020 06:00:55 +0000</pubDate>
                <creator xmlns="http://purl.org/dc/elements/1.1/">Marc Rees, </creator>   
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                <description><![CDATA[<p>La France vient de notifier &agrave; la Commission europ&eacute;enne les nouvelles sp&eacute;cifications techniques que devront respecter les op&eacute;rateurs de jeux d&rsquo;argent en ligne. Elles concernent la v&eacute;rification d&rsquo;absence d&rsquo;inscription au fichier des interdits de jeux.</p><p>Depuis la loi du 18 mai 2010, les opérateurs de jeux d’argent en ligne doivent disposer d’un agrément. L’enjeu ? Repérer les risques de fraudes et de blanchiment, contrôler ce secteur d’activités sensibles et lutter contre les phénomènes d’addiction.</p>
<p>Voilà 10 ans, l’Autorité de régulation des jeux en ligne était celle en charge de réguler ce secteur, avec possibilité pour son président de <a href="https://www.nextinpact.com/article/28687/106946-larjel-obtient-blocage-judiciaire-plusieurs-sites-jeux-dargent-et-hasard" target="_blank" rel="noopener">réclamer le blocage des sites</a> non agréés devant le tribunal de grande instance. Près de 10 ans plus tard, l’ARJEL est devenue l'Autorité nationale des jeux par la force de l’ordonnance du 2 octobre 2019 réformant la régulation des jeux d’argent.</p>
<p>Selon ses derniers chiffres, l’autorité présidée par Isabelle Falque-Pierrotin a constaté « <em>une baisse de 6% de chiffre d’affaires et un recul de 9% de comptes joueurs actifs</em> » au deuxième trimestre 2020, sur le marché des jeux en ligne. « <em>C’est le secteur des paris sportifs qui a été le plus impacté par les effets de la crise sanitaire avec une baisse de 56% de son chiffre d’affaires. Les segments du poker et, dans une moindre mesure, des paris hippiques enregistrent à l’inverse une forte hausse de leur chiffre d’affaires.</em> »</p>
<p>L’univers draine cependant beaucoup d’argent. Si « <em>la période de confinement (16 mars au 10 mai) a été particulièrement handicapante pour les opérateurs qui enregistrent une baisse de 24 % sur la période par rapport à 2019</em> », sur <a href="https://anj.fr/lanj-publie-le-bilan-du-marche-des-jeux-en-ligne-du-2eme-trimestre-2020-des-secteurs-tres" target="_blank" rel="noopener">les six premiers mois de l’année</a>, le produit brut de jeux a été de 758 millions d’euros, soit +8 % par rapport au premier semestre 2019.</p>
<h3>Le fichier des interdits de jeu </h3> <p>Pour aiguiser la lutte contre l’addiction aux jeux, des mesures sont prévues dans le Code de la sécurité intérieure depuis les origines des textes en vigueur. En vertu des articles <a href="https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid=589E127CCCE68ECD6EE1499BEEF5A5A3.tplgfr27s_1?idArticle=LEGIARTI000039169750&amp;cidTexte=LEGITEXT000025503132&amp;dateTexte=20200101&amp;categorieLien=id&amp;oldAction=rechExpTexteCode" target="_blank" rel="noopener">L.320-9</a> et <a href="https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000039169754&amp;cidTexte=LEGITEXT000025503132&amp;dateTexte=20200101&amp;fastPos=1&amp;fastReqId=360981280&amp;oldAction=rechExpTexteCode%20du CSI" target="_blank" rel="noopener">L. 320-9-1</a> , des joueurs peuvent être empêchés de jouer soit à leur demande (c’est l’interdiction volontaire) soit en vertu d’une décision administrative.</p>
<p>Une telle interdiction en ligne suppose la mise en route d’un système de liste noire, et une consultation de cette base par les opérateurs de jeux.</p>
<p>Le décret du 19 mai 2010 relatif à la mise à disposition de l'offre de jeux et de paris par les opérateurs agréés oblige ces dernières, «<em> par l'intermédiaire du système d'information de l'Autorité de régulation des jeux en ligne </em>» à vérifier «<em> si les personnes sollicitant l'ouverture d'un compte joueur ou disposant d'un tel compte auprès de lui sont inscrites dans un fichier des interdits de jeu tenu par le ministère de l'Intérieur en application de la réglementation en vigueur </em>».</p>
<p>Il revient alors à l’Autorité de définir les conditions de cette vérification et les modalités techniques de connexion à son système d'information. Le 26 août dernier, l’Autorité nationale des jeux a justement notifié à la Commission son projet d’ «<em> exigences techniques </em>». </p>
<ul>
<li><a href="https://ec.europa.eu/growth/tools-databases/tris/fr/index.cfm/search/?trisaction=search.detail&amp;year=2020&amp;num=525&amp;dLang=FR" target="_blank" rel="noopener">Télécharger le projet d'« exigences techniques »</a></li>
</ul>
<h3>Une clef d'interrogation, une sécurisation des serveurs</h3>
<p>«<em> Les opérateurs de jeux d'argent et de hasard sont tenus d’interroger le fichier des interdits pour l’activité de jeux en ligne ou au moyen d’un compte joueur sur borne en réseau physique lors de l’ouverture d’un compte joueur, à chaque connexion pour l’activité à partir du site de l’opérateur </em>[et] <em>à la première action journalière pour l’activité à partir d’une application mobile </em>», prévient le document. Sachant qu’en cas de test positif, les opérateurs doivent alors fermer immédiatement le compte du joueur.</p>
<p>«<em> La vérification du statut d'un joueur s'appuie sur une clef d'interrogation </em>». Cette clef sera construite à partir de plusieurs paramètres : premier prénom du joueur, nom patronymique ou dit «<em> de naissance </em>», et enfin la date de naissance.</p>
<p>«<em> Pour pallier les éventuelles inversions de prénoms, il est recommandé de procéder à une interrogation pour chacun des prénoms des joueurs, le cas échéant </em>». En outre, «<em> afin d'assurer la confidentialité de ces informations, la clef est le résultat d'une fonction de hachage indexée par un secret partagé entre l'opérateur de jeux et l'ANJ </em>».</p>
<p>Enfin, l’opérateur devra «<em> interroger une infrastructure mise à disposition par l'ANJ pour les interdits de jeux. Les interrogations menées par les opérateurs obtiennent une réponse binaire : absence ou présence dans la liste </em>». Le protocole d'interrogation en question reposera sur «<em> un mécanisme d'interrogation de liste noire DNS (DNSBL) avec, pour clef d'interrogation, une empreinte cryptographique hmac-sha1 calculée sur la base des champs nom, prénom et date de naissance du joueur </em>».</p>
<p>De leur côté, les opérateurs devront utiliser un serveur DNS sécurisé conformément «<em> à l’état de l’art </em>» (mise à jour, durcissement du système d'exploitation sous-jacent, et durcissement de la configuration).</p>
<h3>Quid en cas d'indisponibilité ?</h3>
<p>«<em> Bien que le dispositif soit conçu pour offrir un haut niveau de disponibilité, il n’est pas exclu qu’en certaines circonstances la réponse d’une interrogation ne parvienne pas dans les temps ou ne soit pas conforme au format attendu </em>». Dans un tel cas, le pari pourra être pris, mais «<em> il ne peut y avoir de débouclage que si une interrogation du système a pu s’opérer de façon nominale, étant entendu que la réponse ainsi obtenue influe également sur ledit débouclage (i.e. remboursement de l’enjeu, si le statut du joueur l’interdit de jouer) </em>».</p>
<p>Ces nouvelles règles entreront en vigueur à partir du 27 novembre 2020.</p>]]></description>
                </item> <item>
                <title>Le ministère des Armées, Qwant, Google et le RGPD</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43403/le-ministere-armees-qwant-google-et-rgpd</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 12:32:34 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Deux ans apr&egrave;s avoir fait de Qwant le moteur de recherche par d&eacute;faut de ses ordinateurs, le minist&egrave;re des Arm&eacute;es passait &agrave;... Google pour son propre site (defense.gouv.fr). Il a fallu attendre ce mois de juillet 2020 pour qu'il se conforme enfin au RGPD, sans pour autant respecter les conditions d'utilisation de Google.</p><p>Le 1er octobre 2018, Florence Parly, ministre des Armées, avait eu recours à une anaphore (largement retweetée) pour <a href="https://twitter.com/florence_parly/status/1046793857537597441" target="_blank" rel="noopener">annoncer</a> que les ordinateurs de son ministère cesseraient d'utiliser le moteur de recherche de Google par défaut, au profit de Qwant :</p>
<blockquote class="twitter-tweet tw-align-center" data-cards="hidden" data-dnt="true">
<p dir="ltr" lang="fr">Parce qu'il faut montrer l'exemple. Parce que nous partageons des valeurs communes. Parce qu’il ne partage pas nos données. Parce que c'est un entreprise française : <a href="https://twitter.com/Qwant_FR?ref_src=twsrc%5Etfw">@Qwant_FR</a> sera le moteur de recherche par défaut sur tous les ordinateurs du ministère des Armées. <a href="https://t.co/pDhb02ccxT">pic.twitter.com/pDhb02ccxT</a></p>
— Florence Parly (@florence_parly) <a href="https://twitter.com/florence_parly/status/1046793857537597441?ref_src=twsrc%5Etfw">October 1, 2018</a></blockquote>
<p>Le <a href="https://www.defense.gouv.fr/salle-de-presse/communiques/cp_communique-du-ministere-des-armees" target="_blank" rel="noopener">communiqué</a> précisait que « <em>Florence Parly a rappelé son attachement à voir le ministère des Armées mener à bien une transformation numérique ambitieuse au profit des utilisateurs tout en confortant notre souveraineté </em>». Mais également qu'elle avait « <em>souhaité rappeler l'importance que le ministère des Armées construise des partenariats industriels solides et contribue à voir émerger des acteurs numériques français et européens de confiance</em> », et appelait enfin à « <em>une plus grande ouverture du ministère aux logiciels libres </em>».</p>
<p>« <em>Cela fait deux ans et demi - trois ans que l'armée fait des tests, réussis visiblement ! Nos soldats méritent de ne pas être traqués. Ce gouvernement a décidé d'y aller et c'est très bien ! </em>», s'était <a href="https://www.leparisien.fr/high-tech/protection-des-donnees-le-ministere-des-armees-prefere-qwant-a-google-02-10-2018-7909071.php" target="_blank" rel="noopener">félicité</a> Éric Leandri, alors PDG de Qwant : « <em>Pour la Défense, la protection des données, ça a du sens. Alors c'est un premier pas très significatif pour la réflexion globale</em> ».</p>
<p><em>« Le ministère des Armées va désormais utiliser Qwant plutôt que Google</em> », avait de son côté<a href="https://www.ouest-france.fr/politique/defense/le-ministere-des-armees-va-desormais-utiliser-qwant-plutot-que-google-5997497" target="_blank" rel="noopener"> titré</a> Ouest France, rappelant les avantages de Qwant, tel qu'expliqué par Éric Leandri : « <em>vous arrivez sur Internet avec votre adresse IP : c’est votre numéro de téléphone. Nos sympathiques concurrents récoltent les cookies qui contiennent toutes vos opérations sur Internet ; ça vous lie à leurs plateformes. Ils savent ce que vous faites. Nous, on rend votre numéro de téléphone et on vous rend anonyme : quand vous m’appelez en numéro masqué, je vous réponds quand même, mais je ne sais pas qui vous êtes.</em> »</p>
<h3>Google pour la recherche du site du ministère</h3>
<p>En décembre 2018, soit deux mois plus tard seulement, le site web du ministère des Armées <a href="https://www.defense.gouv.fr/salle-de-presse/rubriques_complementaires/recherche-avancee" target="_blank" rel="noopener">relançait</a> son propre moteur de recherche interne avancée. En toute discrétion, sans tambour ni trompette, et pour cause : il repose en effet sur le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Moteur_de_recherche_personnalis%C3%A9_Google" target="_blank" rel="noopener">moteur de recherche personnalisé de Google</a>, CSE (Custom Search Engine).</p>
<p>Depuis renommé <a href="https://programmablesearchengine.google.com/about/" target="_blank" rel="noopener">Programmable Search Engine (PSE)</a>, ce service permet d'ajouter un moteur de recherche affichant des résultats personnalisés à n'importe quel site, limité à un ou plusieurs domaines en particulier, plutôt que sur le Web en général. Le tout en utilisant les technologies de Google.</p>
<p>Étrangement, le ministère a configuré son moteur personnalisé pour n'interroger que www.defense.gouv.fr, empêchant les internautes d'identifier des contenus pertinents hébergés sur d'autres sites que celui de son vaisseau amiral. Or, defense.gouv.fr dénombrerait (au moins) <a href="https://spyse.com/target/domain/defense.gouv.fr/subdomain-list" target="_blank" rel="noopener">85</a>, <a href="https://www.nmmapper.com/sys/tools/subdomainfinder/" target="_blank" rel="noopener">190</a> voire plus de <a href="https://securitytrails.com/list/apex_domain/defense.gouv.fr" target="_blank" rel="noopener">400</a> sous-domaines (serveurs de mail, de test et extranets compris), dont de nombreux autres sites, Google y répertoriant près de <a href="https://www.google.com/search?q=-site:www.defense.gouv.fr+site:defense.gouv.fr&amp;filter=0&amp;biw=1001&amp;bih=806" target="_blank" rel="noopener">750 000 pages</a> (quand bien même ce genre de chiffre s'avère à l'épreuve approximatif) hors périmètre de www.defense.gouv.fr.</p>
<p>Non content de recourir à une solution propriétaire plutôt qu'à un logiciel libre – qui plus est américaine plutôt qu'émanant d'« <em>acteurs numériques français et européens de confiance</em> » – le site du ministère des Armées obligeait dès lors (et encore maintenant) ses utilisateurs d'accepter d'être tracé par Google, dans mesure où <a href="https://support.google.com/programmable-search/thread/5385345?hl=en" target="_blank" rel="noopener">il n'existe pas d'option</a> permettant à CSE/PSE d'être utilisé sans ses cookies.</p>
<p>Et ce, alors même que Qwant <a href="https://help.qwant.com/fr/aide/qwant-com/comment-fait-on-pour-integrer-un-formulaire-de-recherche-qwant-sur-mon-site/" target="_blank" rel="noopener">permet</a> pourtant aux sites d'en faire son moteur de recherche interne par défaut, <a href="https://www.lemonde.fr/recherche/?search_keywords=qwant&amp;start_at=19%2F12%2F1944&amp;end_at=23%2F07%2F2020&amp;search_sort=relevance_desc" target="_blank" rel="noopener">à l'instar</a> du site du journal Le Monde par exemple. Une solution dont l'entreprise ne fait pas mention dans la liste des <a href="https://about.qwant.com/fr/produits/" target="_blank" rel="noopener">produits</a> mis en avant sur son site. Et elle ne semble s'en être <a href="https://twitter.com/Qwant_FR/status/1165922058615894016" target="_blank" rel="noopener">vanté</a> que sur Twitter.</p>
<p>On note d'ailleurs que les résultats proposés par Le Monde ne paraissent pas connaître de limite, alors que suite à <a href="https://www.nextinpact.com/news/108113-qwant-resultats-dates-limites-mais-repetes.htm" target="_blank" rel="noopener">nos enquêtes</a> Qwant avait <a href="https://www.nextinpact.com/news/108737-qwant-resultats-encore-dates-erreurs-404-et-complots.htm" target="_blank" rel="noopener">limité</a> ceux de son moteur de recherche à 50 réponses seulement. Au surplus, ils ne sont pas restreints aux pages datant de l'été – voire de l'automne – 2019, comme l'étaient (et le sont souvent encore) ceux proposés par Qwant, comme nous l'avions <a href="https://www.nextinpact.com/news/108737-qwant-resultats-encore-dates-erreurs-404-et-complots.htm" target="_blank" rel="noopener">découvert</a> au printemps dernier.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/news/108737-qwant-resultats-encore-dates-erreurs-404-et-complots.htm" target="_blank" rel="noopener">Qwant : des résultats (encore) datés, des erreurs (404) et des complots</a></li>
</ul>
<h3>Juillet 2020 : le site respecte (presque) RGPD, pas les CGU de Google</h3> <div>
<p>Cette bascule vers Google comme moteur de recherche interne par défaut est d'autant plus étonnante que, pendant des années, le site du ministère – qui s'appelait alors « <em>de la défense </em>» – disposait de sa propre solution. Depuis (au moins) 2010 (<a href="http://web.archive.org/web/20100801000000*/http://www.defense.gouv.fr/portail-defense/rubriques-complementaires/recherche-avancee/" target="_blank" rel="noopener">d'après</a> archive.org) et jusqu'à <a href="http://web.archive.org/web/20141215173117/http://www.defense.gouv.fr/portail-defense/rubriques-complementaires/recherche-avancee" target="_blank" rel="noopener">fin 2014</a>, il permettait d'affiner ses recherches par date et type de document, mais également par aire de site (Salle de presse, Opérations, DGSE, Blessés, etc.).</p>
<p>Sans explication, le moteur cessa de <a href="https://twitter.com/manhack/status/575624026220945408" target="_blank" rel="noopener">fonctionner</a> à partir du 15 janvier 2015, <a href="http://web.archive.org/web/20150401000000*/http://www.defense.gouv.fr/portail-defense/rubriques-complementaires/recherche-avancee" target="_blank" rel="noopener">renvoyant</a> à une page indiquant « <a href="http://web.archive.org/web/20150130064701/http://www.defense.gouv.fr/portail-defense/rubriques-complementaires/fonction-temporairement-desactivee" target="_blank" rel="noopener">Fonction temporairement désactivée</a> ». Archive.org n'a de fait <a href="http://web.archive.org/web/2016*/http://www.defense.gouv.fr/portail-defense/rubriques-complementaires/recherche-avancee/" target="_blank" rel="noopener">conservé</a> de copies qu’entre 2010 et 2016. </p>
<p style="text-align: center;"><a class="fancyimg" href="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176549.png" rel="group_fancy"><img style="vertical-align: top;" src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/mini-176549.png" alt="Mindef recherche avancée" /></a><a class="fancyimg" href="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176550.png" rel="group_fancy"><img style="vertical-align: top;" src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/mini-176550.png" alt="Mindef désactivée" /></a></p>
<p>Le site du ministère n'informait pas les internautes de la finalité des cookies utilisés ou de les refuser, pas plus qu'il ne leur permettait d'obtenir leur consentement préalable. Il ne <a href="https://www.cnil.fr/fr/cookies-traceurs-que-dit-la-loi" target="_blank" rel="noopener">respectait</a> donc ni la loi informatique et libertés ni le RGPD, qui avait pourtant été adopté en 2016, et était entré en vigueur en mai 2018, soit 7 mois plus tôt.</p>
<p>Il a ainsi fallu attendre ce mois de juillet 2020 pour que ses équipes se décident enfin à installer <a href="https://tarteaucitron.io/fr/" target="_blank" rel="noopener">tarteaucitron.js</a>, script open source de gestion de cookies répondant aux exigences du RGPD.</p>
<p>Par défaut, l'internaute aura probablement le réflexe de cliquer sur le lien bleu « <em>OK, tout accepter </em>». S'il clique sur « <em>Personnaliser </em>», il pourra autoriser, ou interdire, les cookies « <em>statistiques </em>» d’AT Internet/Xiti, « <em>fonctionnels </em>» de Google, et « <em>publicitaires </em>» de Calameo, Dailymotion, Facebook, Instagram, Twitter et YouTube.</p>
</div>
<p>Depuis 2018, le site web <a href="http://web.archive.org/web/20200618172652/https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/mentions-legales" target="_blank" rel="noopener">se contentait</a> d'afficher l'habituel (et discret) bandeau précisant qu'« <em>En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies, ce qui nous permet de vous proposer des contenus adaptés à vos centres d'intérêt </em>» adossé à un bouton « <em>OK </em>». Les internautes ne se voyaient pas offrir la possibilité de savoir quels services envoyaient quels cookies, non plus que de les refuser ou de les paramétrer, le site se bornant à renvoyer à ses mentions légales via un lien «<em> <a href="http://web.archive.org/web/20200618172652/https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/mentions-legales">En savoir plus</a> </em>». </p>
<ul class="slideshow-container">
<li><a href="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176551.png"><img src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/mini-176551.png" alt="MinArm Cookies" data-large-src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176551.png" /></a></li>
<li><a href="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176552.png"><img src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/mini-176552.png" alt="MinArm tarteaucitron.js" data-large-src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176552.png" /></a></li>
<li><a href="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176555.png"><img src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/mini-176555.png" alt="MinArm Cookies" data-large-src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176555.png" /></a></li>
</ul>
<p>Or, ces mentions légales – qui n'ont pas été mises à jour depuis octobre 2019 – <a href="https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/mentions-legales" target="_blank" rel="noopener">se contentent</a> d'expliquer que « <em>L’utilisateur est informé que lors de ses visites sur le site des témoins de connexions ou cookies peuvent s’installer automatiquement sur son logiciel de navigation </em>», et que « <em>le paramétrage du logiciel de navigation permet d’informer de la présence de cookie et éventuellement, de la refuser de la manière décrite à l’adresse suivante</em> ».</p>
<p>Elles ne font pas non plus mention de l'<a href="https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000037075237&amp;categorieLien=id" target="_blank" rel="noopener">arrêté</a>, signé en juin 2018 et « <em>portant désignation du délégué à la protection des données au sein du ministère des armées </em>», ni donc de la personne à contacter.</p>
<p>Les conditions d'utilisation de CSE/PSE <a href="http://web.archive.org/web/20181122130812/https://support.google.com/customsearch/answer/1714300" target="_blank" rel="noopener">précisaient</a> en outre à l'époque (et <a href="https://support.google.com/programmable-search/answer/1714300?hl=fr&amp;ref_topic=4513742" target="_blank" rel="noopener">rappellent</a> encore aujourd'hui) que « <em>vous comprenez et acceptez que vous devez mettre à jour les règles de confidentialité de votre site afin qu'elles reflètent votre utilisation des Services Google et incluent un lien vers la page <a href="http://www.google.com/privacy.html" target="_blank" rel="noopener">http://www.google.com/privacy.html</a> </em>», ce que le ministère n'avait pas fait. Pas plus qu'il ne le fait aujourd'hui, en violation, non seulement du RGPD, mais donc également des conditions mêmes d'utilisation de Google.</p>
<h3>Le ministère ne loggue pas ses utilisateurs, mais Google si</h3>
<p>Ironie de l'histoire, les mentions légales du site du ministère indiquent que « <em>le ministère de la Défense s'interdit par principe d'employer des méthodes qui permettent d'identifier ou de bâtir des profils type de visiteur de son site Internet </em>»... alors qu'il autorise Google à le faire. Au-delà de ses cookies, il suffit en effet de cliquer sur un des résultats fournis par son moteur de recherche pour que la consultation soit enregistrée par Google.</p>
<p>Plutôt que d'être renvoyé directement sur la page cible, Google redirige l'internaute, de façon suffisamment subreptice pour ne pas être détectable d'un simple coup d'œil, sur un lien de type :</p>
<pre class="code_redaction">https://www.google.com/url?client=internal-element-cse&amp;cx=[identifiant du CSE/PSE]&amp;q=[URL de la page à visiter]</pre>
<p>Double ironie de l'histoire : un visiteur qui voudrait cliquer sur le lien émanant du moteur personnalisé utilisé par le ministère des Armées (reconnaissable à son identifiant <a href="https://cse.google.fr/cse?q=gmail&amp;cx=000099632563255980218:ez8u8kpn88k&amp;ie=UTF-8" target="_blank" rel="noopener">000099632563255980218</a>), comme celui posté <a href="https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1526483170990366&amp;id=1484089128563104&amp;comment_id=2254326374872705" target="_blank" rel="noopener">en commentaire</a> sur le groupe Facebook de la Réserve Citoyenne de Cyberdéfense, a droit à un « <em>Avertissement de redirection</em> » de Google, le prévenant qu'il va être renvoyé sur le site du ministère des Armées :</p>
<p style="text-align: center;"><a class="fancyimg" href="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176554.png" rel="group_fancy"><img src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/medium-176554.png" alt="Google CSE redirection" /></a></p>
<p>Signe que les clics sur les résultats fournis par le CSE/PSE sont loggués par Google, quand bien même les utilisateurs de defense.gouv.fr ne le voient pas, Google se gardant bien d'afficher ces avertissements lorsque les requêtes émanent du site du ministère des Armées.</p>
<h3>La (cyber)défense utilise aussi Gmail</h3>
<p>En janvier 2019, @x0rz, pseudonyme d'un <a href="https://www.usinenouvelle.com/article/x0rz-gardien-de-la-vie-privee.N792289" target="_blank" rel="noopener">expert</a> en cybersécurité offensive, s'<a href="https://twitter.com/x0rz/status/1085171091650293760" target="_blank" rel="noopener">étonnait</a> du fait que @ComcyberFR, le compte Twitter officiel du Commandement de la cyberdéfense française, n'avait pas activé la fonction « <em>protection de la réinitialisation du mot de passe</em> » dans ses <a href="https://twitter.com/settings/security" target="_blank" rel="noopener">paramètres de sécurité</a>. Ce qui lui avait permis de découvrir qu'il utilisait Gmail (tout en soulignant que c'était également le cas d'@USCommandCyber, son pendant américain).  </p>
<blockquote class="twitter-tweet tw-align-center" data-dnt="true">
<p dir="ltr" lang="en">French cyber army Twitter account uses a Gmail address 🤦♂️<br />cc <a href="https://twitter.com/ComcyberFR?ref_src=twsrc%5Etfw">@ComcyberFR</a> <a href="https://twitter.com/ANSSI_FR?ref_src=twsrc%5Etfw">@ANSSI_FR</a> <a href="https://t.co/W0HkcVfIrD">pic.twitter.com/W0HkcVfIrD</a></p>
— x0rz (@x0rz) <a href="https://twitter.com/x0rz/status/1085171091650293760?ref_src=twsrc%5Etfw">January 15, 2019</a></blockquote>
<p>Une incongruité d'autant plus cocasse que Florence Parly, qui <a href="https://twitter.com/florence_parly/status/1086288805596987392" target="_blank" rel="noopener">venait</a> de rendre publique la <a href="https://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/cyberdefense-la-france-passe-a-l-offensive" target="_blank" rel="noopener">nouvelle politique</a> ministérielle de lutte informatique offensive (LIO) et défensive (LID), n'avait de cesse d'en appeler à « <em>une hygiène cyber irréprochable </em>», de sorte de « <em>garantir la souveraineté nationale </em>».</p>
<p>@ComcyberFR est loin d'être le seul, cela dit. En cherchant le terme « gmail.com » sur le moteur de recherche Google du site du ministère des Armées, on obtient « <em>environ 82,300 résultats </em>». Entre autres utilisateurs, le bureau de la communication et de l'information du service de santé des armées, celui de l'État major des Armées, la Gouvernance de la réserve militaire ou encore la Direction de la sécurité aéronautique d'État <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Base_a%C3%A9rienne_107_Villacoublay" target="_blank" rel="noopener">Base aérienne 107</a> de Villacoublay, qui accueille l'escadron de transport 60 (ET 60) qui a notamment pour mission d'assurer le transport du Président de la République et des autorités gouvernementales :</p>
<p style="text-align: center;"><a class="fancyimg" href="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/176553.png" rel="group_fancy"><img src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/medium-176553.png" alt="MinArm Gmail" /></a></p>
<p>Un problème que l'auteur de ces lignes avait déjà identifié en 2010, quand il avait <a href="https://www.lemonde.fr/blog/bugbrother/2010/05/14/55-000-webmails-piratables-sur-les-sites-gouvfr/" target="_blank" rel="noopener">découvert</a> des milliers d'adresses utilisant des webmails non gouvernementaux sur l’ensemble des sites en .gouv.fr, dont plus de 200 sur le site du ministère de la Défense. À l'époque, la Direction du renseignement militaire (DRM) utilisait ainsi deux adresses @yahoo.fr. Une incongruité elle aussi cocasse, à mesure qu'on peine à imaginer que la Défense Intelligence Agency, son équivalent américain, n’ait jamais eu l'idée d'utiliser une adresse email @wanadoo.com.</p>
<p>Contactée fin juillet, la Délégation à l’information et à la communication de la Défense (<a href="https://www.defense.gouv.fr/portail/ministere/organisation-du-ministere-des-armees/organisation-du-ministere-des-armees/organismes-dependant-du-ministre/delegation-a-l-information-et-a-la-communication-de-la-defense-dicod" target="_blank" rel="noopener">DICoD</a>) du ministère des Armées avait dans la foulée accusé réception de nos questions, nous répondant les avoir transférées à qui de droit, tout en précisant qu'elle reviendrait vers nous « <em>dans les meilleurs délais </em>». Faute de réponses, nous l'avions relancée quelques jours après, mais depuis rien, la grande muette...</p>
<p>Nous aurions pourtant été curieux de savoir pourquoi la « <em>souveraineté </em>» devrait se limiter aux seuls employés du ministère des Armées (ainsi que, depuis, à l'ensemble des fonctionnaires), mais pas aux utilisateurs de son propre site web. Retrouvez ci-dessous le verbatim du mail envoyé à la DICoD :  </p>
<p style="padding-left: 30px;">De 2010 à 2014, le site <a href="http://defense.gouv.fr/" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=http://defense.gouv.fr&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNGaM9TALpSclvyZbvWmk7-rE2y_2w">defense.gouv.fr</a> disposait d'un moteur de recherche avancée :<br /><a href="http://web.archive.org/web/20100801000000*/http://www.defense.gouv.fr/portail-defense/rubriques-complementaires/recherche-avancee/" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=http://web.archive.org/web/20100801000000*/http://www.defense.gouv.fr/portail-defense/rubriques-complementaires/recherche-avancee/&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNGixl-WXTDERAHPBeGj9oeaBQOxOg">http://web.archive.org/web/<wbr />20100801000000*/http://www.<wbr />defense.gouv.fr/portail-<wbr />defense/rubriques-<wbr />complementaires/recherche-<wbr />avancee/</a></p>
<p style="padding-left: 30px;">. Pourquoi avait-t-il été désactivé en janvier 2015, et ne l'avoir relancé qu'en décembre 2018 ?<br /><a href="https://twitter.com/manhack/status/575624026220945408" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=https://twitter.com/manhack/status/575624026220945408&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNHBNFUrnRkFKu7IPCaKmiWSSkKpIw">https://twitter.com/manhack/<wbr />status/575624026220945408</a><br /><a href="http://web.archive.org/web/20181001000000*/https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/recherche-avancee" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=http://web.archive.org/web/20181001000000*/https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/recherche-avancee&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNENfU2RX8r37L-wQlAarpMLWbE3Ow">http://web.archive.org/web/<wbr />20181001000000*/https://www.<wbr />defense.gouv.fr/portail/<wbr />rubriques-complementaires/<wbr />recherche-avancee</a></p>
<p style="padding-left: 30px;">En octobre 2018, Florence Parly avait d'autre part annoncé que Qwant deviendrait le moteur de recherche par défaut sur tous les ordinateurs du ministère des Armées, parce qu'il fallait montrer l'exemple, parce qu'il ne partage pas nos données (contrairement à Google), parce qu'il s'agit, en terme de souveraineté, d'une entreprise française :<br /><a href="https://twitter.com/florence_parly/status/1046793857537597441" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=https://twitter.com/florence_parly/status/1046793857537597441&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNFiqy8ta47YrELWpQwyfcOaySVoYA">https://twitter.com/florence_<wbr />parly/status/<wbr />1046793857537597441</a><br /><a href="https://www.defense.gouv.fr/salle-de-presse/communiques/cp_communique-du-ministere-des-armees" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=https://www.defense.gouv.fr/salle-de-presse/communiques/cp_communique-du-ministere-des-armees&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNGgrIRj5641AHyGr86vFusls9LFew">https://www.defense.gouv.fr/<wbr />salle-de-presse/communiques/<wbr />cp_communique-du-ministere-<wbr />des-armees</a></p>
<p style="padding-left: 30px;">. Pourquoi le site web du ministère a-t-il dès lors, en décembre 2018, basculé son moteur de recherche avancé interne sur la solution proposée par Google Custom Search Engine, et non sur une solution proposée par Qwant, ou faite maison ?<br /><a href="http://web.archive.org/web/20181001000000*/https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/recherche-avancee" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=http://web.archive.org/web/20181001000000*/https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/recherche-avancee&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNENfU2RX8r37L-wQlAarpMLWbE3Ow">http://web.archive.org/web/<wbr />20181001000000*/https://www.<wbr />defense.gouv.fr/portail/<wbr />rubriques-complementaires/<wbr />recherche-avancee</a><br /><a href="https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/recherche-avancee" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=https://www.defense.gouv.fr/portail/rubriques-complementaires/recherche-avancee&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNFUcB9HsrB1nDKcA_rj7eCCS59bAA">https://www.defense.gouv.fr/<wbr />portail/rubriques-<wbr />complementaires/recherche-<wbr />avancee</a></p>
<p style="padding-left: 30px;">Le fait de recourir à un moteur de recherche américain ne pose-t-il pas un problème en terme de "souveraineté" et de "partage des données" ?</p>
<p style="padding-left: 30px;">. Pourquoi le ministère des Armées a-t-il d'autre part attendu ce mois de juillet 2020 pour mettre à jour le formulaire de consentement et d'acceptation des cookies de Google (notamment) alors que, en vertu du RGPD, il aurait dû le faire dès 2018 ?</p>
<p style="padding-left: 30px;">. Les conditions d'utilisation de Google précisent que "vous devez mettre à jour les règles de confidentialité de votre site afin qu'elles reflètent votre utilisation des Services Google et incluent un lien vers la page <a href="http://www.google.com/privacy.html" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=http://www.google.com/privacy.html&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNH-NepQVFMtkA_JJ_vfmBl--vNghw">http://www.google.com/privacy.<wbr />html</a>". Pourquoi les mentions légales de votre site web ne le fait pas ?<br /><a href="https://support.google.com/programmable-search/answer/1714300?hl=fr&amp;ref_topic=4513742" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=https://support.google.com/programmable-search/answer/1714300?hl%3Dfr%26ref_topic%3D4513742&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNG-zTAd0MCWUYCvrQHDmG7GcLI_Xw">https://support.google.com/<wbr />programmable-search/answer/<wbr />1714300?hl=fr&amp;ref_topic=<wbr />4513742</a></p>
<p style="padding-left: 30px;">Elles précisent en outre que "Les informations personnelles collectées par Google peuvent être stockées et traitées aux États-Unis et dans tous les pays dans lesquels Google ou ses agents possèdent des locaux. En utilisant le Service, vous acceptez ce transfert d'informations à l'extérieur de votre pays".</p>
<p style="padding-left: 30px;">. Suite à l’invalidation du Privacy Shield, comment envisagez-vous le fait de continuer à utiliser le moteur de Google utilisé par <a href="http://defense.gouv.fr/" target="_blank" rel="noopener" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=http://defense.gouv.fr&amp;source=gmail&amp;ust=1596523860078000&amp;usg=AFQjCNGaM9TALpSclvyZbvWmk7-rE2y_2w">defense.gouv.fr</a>, alors même que "les informations personnelles collectées par Google  peuvent être stockées et traitées aux États-Unis" ?</p>]]></description>
                </item> <item>
                <title>Jugeant Google de mauvaise foi, les éditeurs de presse ressaisissent l'Autorité de la concurrence</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43465/jugeant-google-mauvaise-foi-editeurs-presse-ressaisissent-autorite-concurrence</link>
                <guid isPermaLink="true">https://www.nextinpact.com/article/43465/jugeant-google-mauvaise-foi-editeurs-presse-ressaisissent-autorite-concurrence</guid>
                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 12:24:07 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Marc Feuill&eacute;e, directeur g&eacute;n&eacute;ral du Groupe Figaro, vient de r&eacute;v&eacute;ler avoir saisi &agrave; nouveau l&rsquo;Autorit&eacute; de la concurrence sur le dossier des droits voisins. Il met en doute la &laquo;<em>&nbsp;bonne foi&nbsp;</em>&raquo; de Google dans les n&eacute;gociations lanc&eacute;es apr&egrave;s une premi&egrave;re mise en demeure.</p><p>«<em> On est dans l’impasse </em>». Sur <a href="https://www.europe1.fr/emissions/culture-medias/medias-philippe-vandel-avec-marc-feuillee-3988945" target="_blank" rel="noopener">l’antenne d’Europe 1</a>, dans l’émission de Philippe Vandel, le numéro un du Groupe Figaro a révélé que les négociations lancées avec le géant américain n’ont pas avancé au niveau des espérances. «<em> Nous avons saisi de nouveau l’Autorité de la concurrence pour faire constater que nous n’avançons pas de bonne foi dans les discussions </em>».</p>
<p>En <a href="https://www.nextinpact.com/article/30186/108882-presse-en-ligne-autorite-concurrence-contraint-google-a-negocier-droits-voisins" target="_blank" rel="noopener">avril 2020</a>, l’Autorité contraignait en effet Google à négocier «<em> de bonne foi </em>» avec les éditeurs et agences. Sa décision de référé était lestée d’une série de mises en demeure. Ainsi, des négociations, d’une durée  de trois mois à partir des demandes, devaient impérativement aboutir à une proposition de rémunération de la part de Google.</p>
<p>La même entreprise devait communiquer aux éditeurs et agences les informations nécessaires à une évaluation transparente de la rémunération due. En outre, Google se devait de prendre les mesures nécessaires pour que l’existence et l’issue des négociations prévues par les Injonctions n’affectent ni l’indexation, ni le classement, ni la présentation des contenus protégés repris par le moteur sur ses services, etc.</p>
<h3>La transposition de l'article 15 de la directive Droit d'auteur</h3> <p>Le service en ligne a attaqué cette décision devant la cour d’appel de Paris, mais ce recours n’étant pas suspensif, il a dû engager ces échanges durant l’été.</p>
<p>Ce bras de fer a été engagé suite à <a href="https://www.nextinpact.com/article/29569/108100-promulgation-loi-sur-droits-voisins-presse-mode-demploi" target="_blank" rel="noopener">la transposition de l’article 15 de la directive sur le droit d’auteur</a> dans le marché numérique. Il instaure une compensation en faveur des éditeurs et agences, en contrepartie de la diffusion sur les sites, d’extraits d’articles, photos comprises. Google comme les autres acteurs du Web, sont accusés de gloutonner une part des revenus publicitaires qui devraient revenir aux médias.</p>
<p>Seulement, en octobre 2019, Google a offert un choix délicat pour ceux qui espéraient faire d’Internet une ressource financière plus importante encore : celui de n’afficher plus que les titres de presse sans extraits, sauf pour les éditeurs et agences qui accepteraient ces reprises à titre gratuit.</p>
<p>La directive ne prévoit en effet <a href="https://www.nextinpact.com/article/29747/108332-droits-voisins-google-ne-bafoue-pas-loi" target="_blank" rel="noopener">aucune obligation</a> de reprise et de rémunération. Elle laisse avant tout un vaste champ aux négociations. Soit une jolie brèche dans laquelle s’est engouffré le géant du Net.</p>
<h3>Google de mauvaise foi ?</h3>
<p>Pas étonnant donc que le débat se soit déplacé dès lors sur la question de la concurrence, à la demande des bénéficiaires, mécontents. <a href="https://www.nextinpact.com/article/43400/google-et-presse-derniere-ligne-droite-avant-bilan-autorite-concurrence" target="_blank" rel="noopener">Jointe par Next INpact</a> , l’Autorité a indiqué vouloir mener «<em><em> son examen pour s’assurer que Google a négocié de bonne foi, sur la base des informations déjà recueillies, des rapports écrits transmis par Google et des informations transmises par les entités d’éditeurs ou agences de presse </em></em>».</p>
<p>Qu’est-ce qui est reproché à Google ? Dans l’entourage des éditeurs, on estime que l’entreprise américaine n’a pas transmis toutes les informations nécessaires. De même, la proposition de valorisation est jugée trop minimaliste. «<em> Des manœuvres dilatoires </em>» regrette l’une de nos sources, selon qui «<em> Google n’a pas pris acte qu’il y avait un cadre juridique avec une valorisation spécifique, celle de la valeur économique et sociétale de la presse </em>».</p>
<p>Si l’Autorité venait à partager l’analyse, elle pourra infliger une sanction pécuniaire représentant jusqu’à 10 % du montant du chiffre d'affaires mondial hors taxes. Elle peut aussi opter pour une astreinte «<em><em> dans la limite de 5 % du chiffre d'affaires journalier moyen, par jour de retard à compter de la date qu'elle fixe </em></em>», dixit le Code de commerce. Cette procédure ne concerne que les mesures d’urgence, non la future décision au fond attendue en 2021.</p>]]></description>
                </item> <item>
                <title>Vega VV16 : après plusieurs reports la fusée et ses 53 satellites devraient décoller demain</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43464/vega-vv16-apres-plusieurs-reports-fusee-et-ses-53-satellites-devraient-decoller-demain</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Cette mission &eacute;tait pr&eacute;vue pour mars, puis a &eacute;t&eacute; repouss&eacute;e en juin, Covid-19 oblige. &laquo; <em>Des conditions m&eacute;t&eacute;orologiques d&eacute;favorables</em> &raquo; ont pouss&eacute; les responsables &agrave; d&eacute;caler &agrave; plusieurs reprises la date de quelques jours, puis de plusieurs semaines jusqu&rsquo;au 17 ao&ucirc;t.</p>
<p>Finalement, la nouvelle fen&ecirc;tre de tir s&rsquo;ouvrira demain &agrave; 3h51 du matin et se fermera samedi matin. Cette mission est importante pour Arianespace car elle doit valider le syst&egrave;me SSMS (Small Spacecraft Mission Service). Vega devra en effet &laquo; <em>mettre sur orbite pas moins de 53 satellites : 7 microsatellites et 46 nano-satellites pour le compte de 21 clients issus de 13 pays diff&eacute;rents</em> &raquo;.</p>
<p>Ils seront largu&eacute;s sur des <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Orbite_h%C3%A9liosynchrone#:~:text=Une%20orbite%20h%C3%A9liosynchrone%20d%C3%A9signe%20une,du%20Soleil%20demeure%20quasiment%20constant.">orbites h&eacute;liosynchrones</a> situ&eacute;es entre 515 et 530 km d&rsquo;altitude. L&rsquo;Agence spatiale europ&eacute;enne <a href="https://www.esa.int/Space_in_Member_States/France/Suivez_en_direct_le_lancement_partage_de_Vega">indique</a> avoir &laquo; <em>contribu&eacute; au d&eacute;veloppement de quatre des satellites embarqu&eacute;s : le microsatellite ESAIL de 113 kg ainsi que les CubeSats Simba, Picasso et FSSCat qui utilise la technologie d'intelligence artificielle de pointe &Phi;-sat-1</em> &raquo;.</p>
<p>15 minutes avant l&rsquo;heure pr&eacute;vue du d&eacute;collage, une retransmission sera <a href="https://www.esa.int/ESA_Multimedia/ESA_Web_TV">accessible en ligne</a>.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Le lancement d’un satellite-espion américain arrêté à 3 secondes de son décollage</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43463/le-lancement-dun-satellite-espion-americain-arrete-a-3-secondes-son-decollage</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p><a href="https://twitter.com/ulalaunch/status/1299610476855341056" target="_blank" rel="noopener">Ce week-end</a>, le satellite NROL-44 de la National Reconnaissance Office (une des agences de renseignements des &Eacute;tats-Unis) &eacute;tait install&eacute; sur une fus&eacute;e Delta IV Heavy pr&ecirc;t &agrave; partir.&nbsp;</p>
<p>Le compte &agrave; rebours avance et&hellip; s&rsquo;arr&ecirc;te finalement &agrave; trois secondes du &laquo; go &raquo; alors que les moteurs avaient commenc&eacute; &agrave; s&rsquo;enflammer. Spaceflight Now a mis en ligne <a href="https://twitter.com/SpaceflightNow/status/1299611311135961088" target="_blank" rel="noopener">une petite vid&eacute;o</a> des secondes entourant cette s&eacute;ance avort&eacute;e de lancement</p>
<p>ULA <a href="https://twitter.com/torybruno/status/1299623698090135552" target="_blank" rel="noopener">explique</a> simplement que le report est la cons&eacute;quence d&rsquo;un &laquo; <em>abandon automatique</em> &raquo; du syst&egrave;me caus&eacute; par une &laquo; <em>condition inattendue</em> &raquo;. L&rsquo;&eacute;quipe travaille sur la question et une nouvelle date sera fix&eacute;e ult&eacute;rieurement.&nbsp;</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Virgin Galactic présente (brièvement) son avion supersonique Mach 3</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43462/virgin-galactic-presente-brievement-son-avion-supersonique-mach-3</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>La soci&eacute;t&eacute; <a href="https://www.virgingalactic.com/articles/virgin-galactic-unveils-mach-3-aircraft-design-for-high-speed-travel-and-signs-memorandum-of-understanding-with-rolls-royce/" target="_blank" rel="noopener">explique</a> qu&rsquo;il ne s&rsquo;agit pour le moment que de la &laquo; <em>premi&egrave;re &eacute;tape de conception de ses avions</em> [commerciaux] <em>&agrave; grande vitesse</em> &raquo; avec la &laquo; <em>la signature d&rsquo;un protocole d&rsquo;accord non contraignant avec Rolls-Royce</em> &raquo;.</p>
<p>Un partenaire de choix puisque ce dernier construisant les turbor&eacute;acteurs du Concorde, un autre avion commercial supersonique qui a &eacute;t&eacute; exploit&eacute; pendant des ann&eacute;es, avant d&rsquo;&ecirc;tre clou&eacute; au sol &agrave; partir de 2003.</p>
<p>Comme son nom l&rsquo;indique, il est pr&eacute;vu pour voler &agrave; Mach 3 &agrave; une altitude de 60 000 pieds (environ 18 km), mais avec un nombre plus que limit&eacute; de places : de 9 &agrave; 19 (une centaine pour le Concorde). La soci&eacute;t&eacute; affirme au passage qu&rsquo;elle utilisera du carburant &laquo; durable &raquo;.&nbsp;</p>
<p>Aucun autre d&eacute;tail (prix, date de lancement, etc.) n&rsquo;a &eacute;t&eacute; donn&eacute; pour le moment ; il faut donc se contenter de ces maigres informations et de <a href="https://www.virgingalactic.com/articles/virgin-galactic-unveils-mach-3-aircraft-design-for-high-speed-travel-and-signs-memorandum-of-understanding-with-rolls-royce/" target="_blank" rel="noopener">quelques images</a>.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Mars 2020 et le rover Perseverance sont en route vers Mars, suivez leur périple en direct</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43461/mars-2020-et-rover-perseverance-sont-en-route-vers-mars-suivez-leur-periple-en-direct</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Le 30 juillet, la mission d&rsquo;exploration de la plan&egrave;te d&eacute;collait &agrave; bord d&rsquo;une fus&eacute;e Atlas V. L&rsquo;arriv&eacute;e sur la plan&egrave;te rouge est pr&eacute;vue pour mi-f&eacute;vrier 2021.</p>
<p>Via <a href="https://eyes.nasa.gov/apps/orrery/#/sc_perseverance?range=far&amp;time=2020-08-27T15:46:39" target="_blank" rel="noopener">le site</a> et/ou l&rsquo;outil interactif <a href="https://eyes.nasa.gov/" target="_blank" rel="noopener">Eyes on the Solar System</a>, l&rsquo;Agence spatiale am&eacute;ricaine permet de suivre l&rsquo;avancement de la mission : distance, vitesse, etc. Il existe aussi <a href="https://eyes.nasa.gov/apps/orrery/#/sc_perseverance/compare?time=2020-08-27T15:47:09" target="_blank" rel="noopener">un mode &laquo; comparaison &raquo;</a> pour mettre face &agrave; face Mars 2020 et d&rsquo;autres sondes.</p>
<p>De notre c&ocirc;t&eacute;, nous avons consacr&eacute; un dossier &agrave; la recherche de la vie sur Mars et &agrave; la mission Mars 2020 :</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/28265/106427-grace-a-supercam-mars-2020-va-chercher-traces-vie-sur-mars-et-plus-si-affinites" target="_blank" rel="noopener">Naissance de la vie : &laquo; regarder Mars, c'est regarder une fen&ecirc;tre du pass&eacute; &raquo;</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Robots : de la science à la fiction, et vice-versa</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43460/robots-science-a-fiction</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p><a href="https://lejournal.cnrs.fr/articles/robots-science-vs-fiction">Le Centre national de la recherche scientifique revient</a> sur un sujet de fantasme pour certains : les robots. &laquo; <em>Ils nous ressemblent, marchent, bougent et parlent aussi bien que nous, et semblent m&ecirc;me parfois dot&eacute;s de conscience et de volont&eacute;&hellip; Pourquoi ces robots de science-fiction n&rsquo;existent-ils pas encore, voire n&rsquo;existeront-ils jamais ? D&rsquo;ailleurs, veut-on vraiment les rendre r&eacute;alit&eacute; ?</em> &raquo;&nbsp;</p>
<p>Dans son Journal il propose un &laquo; <em>match en six points de la science contre la fiction</em> &raquo;. Il est ainsi question de la mati&egrave;re utilis&eacute;e pour les construire, de la parole, de leurs mains, de leur d&eacute;placement, de leur niveau d&rsquo;autonomie et de&hellip;&nbsp; r&eacute;bellion. Sur l&rsquo;avant-dernier sujet, le CNRS explique qu&rsquo;&laquo; <em>aucune machine n&rsquo;est v&eacute;ritablement autonome : entra&icirc;n&eacute;es sur un set d&rsquo;objets pr&eacute;d&eacute;finis, elles ne peuvent pas s&rsquo;adapter &agrave; toutes situations inconnues ni &agrave; des conditions de luminosit&eacute; variables</em> &raquo;.</p>
<p>Bref, &laquo; <em>compar&eacute;s &agrave; leurs homologues de fiction, nos robots manquent cruellement d&rsquo;autonomie : une marche plus haute que les autres ou un l&eacute;ger &eacute;cart sur la position d&rsquo;un mug &agrave; attraper, et tout se complique...</em> &raquo;. Il faut ainsi raison garder : &laquo; <em>la machine peut faire des choix, selon des param&egrave;tres &agrave; anticiper dans les algorithmes, mais elle n&rsquo;a pas de libre arbitre. Elle ne sera pas non plus vraiment &laquo; intelligente &raquo;</em> [&hellip;] <em>Quant &agrave; la conscience, &agrave; laquelle les robots de SF semblent r&eacute;guli&egrave;rement s&rsquo;&eacute;veiller, une majorit&eacute; de chercheurs n&rsquo;y croit gu&egrave;re : tr&egrave;s perfectionn&eacute;s, ils pourraient un jour faire illusion, mais rien de plus&hellip; </em>&raquo;.</p>
<p><a href="https://lejournal.cnrs.fr/articles/sept-questions-tres-faciles-sur-les-robots" target="_blank" rel="noopener">Dans un autre article</a>, le CNRS r&eacute;pond &agrave; sept questions en commen&ccedil;ant par la base : qu&rsquo;est-ce qu&rsquo;un robot ? Les deux publications se marchent parfois un peu sur les pieds, mais restent int&eacute;ressantes &agrave; lire pour ceux qui s&rsquo;int&eacute;ressent au sujet.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Au CNRS, un « autre théorème de distanciation physique »</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43459/au-cnrs-autre-theoreme-distanciation-physique</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>C&rsquo;est un sujet &ocirc; combien d&rsquo;actualit&eacute;. Le but est de r&eacute;pondre &agrave; une question d&rsquo;optimisation : &laquo; <em>Comment placer le plus du monde sur un terrain en utilisant le moins de surface possible tout en respectant la distanciation physique exig&eacute;e par les autorit&eacute;s face &agrave; l&rsquo;&eacute;pid&eacute;mie ?</em> &raquo;.</p>
<p>Un indice : il faut utiliser une grille triangulaire et pas rectangulaire. Tous les d&eacute;tails sont donn&eacute;s <a href="http://images.math.cnrs.fr/Un-autre-theoreme-de-distanciation-physique.html" target="_blank" rel="noopener">sur cette page</a>. Il s&rsquo;agit d&rsquo;une &laquo; piste bleue &raquo; accessible &agrave; tout le monde, m&ecirc;me les &laquo; allergiques &raquo; aux math&eacute;matiques.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>La chimie des plasmas : « ni solide, ni liquide, ni gazeux »</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43458/la-chimie-plasmas-ni-solide-ni-liquide-ni-gazeux</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Le CNRS <a href="https://lejournal.cnrs.fr/videos/la-nouvelle-chimie-des-plasmas">explique</a> que le plasma &laquo; <em>repr&eacute;sente un &eacute;tat particuli&egrave;rement r&eacute;actif de la mati&egrave;re</em> &raquo;. Afin de mieux le comprendre, des chercheurs de l'Institut Pierre-Gilles de Gennes (Paris) &laquo; <em>&eacute;tudient les nouvelles r&eacute;actions chimiques obtenues en faisant r&eacute;agir des plasmas au sein de mini-r&eacute;acteurs grav&eacute;es sur des puces</em> &raquo;.</p>
<p>But de l&rsquo;op&eacute;ration ? Cette chimie pourrait &laquo; <em>r&eacute;aliser des r&eacute;actions particuli&egrave;rement complexes et pourrait &agrave; terme faire rimer production industrielle et d&eacute;veloppement durable</em> &raquo;. Un enjeu important, &agrave; condition de transformer les essais.&nbsp;</p>
<ul>
<li><a href="https://www.youtube.com/watch?v=Te8cChimyaA" target="_blank" rel="noopener">La nouvelle chimie des plasmas en vid&eacute;o</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>ExoMars détecte des « signatures inédites d’ozone (O3) et le dioxyde de carbone (CO2) »</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43457/exomars-detecte-signatures-inedites-dozone-o3-et-dioxyde-carbone-co2</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <comments>https://www.nextinpact.com/article/43457/exomars-detecte-signatures-inedites-dozone-o3-et-dioxyde-carbone-co2#/page/1</comments>
                <description><![CDATA[<p>La premi&egrave;re moiti&eacute; de la mission ExoMars comprenait un atterrisseur Schiaparelli qui <a href="https://www.nextinpact.com/article/24182/101860-exomars-schiaparelli-se-serait-crashe-a-plus-300-kmh-photo-site-sur-mars">s&rsquo;est crash&eacute; au sol</a> et l&rsquo;engin TGO qui s&rsquo;est correctement install&eacute; en orbite autour de Mars. Il &eacute;tudie l&rsquo;atmosph&egrave;re de la plan&egrave;te et plus particuli&egrave;rement &laquo; <em>le myst&egrave;re entourant la pr&eacute;sence de m&eacute;thane</em> &raquo;.</p>
<p>Durant ses relev&eacute;s, TGO a ainsi <a href="https://www.esa.int/Science_Exploration/Human_and_Robotic_Exploration/Exploration/ExoMars/ExoMars_finds_new_gas_signatures_in_the_martian_atmosphere" target="_blank" rel="noopener">identifi&eacute;</a> des &laquo; <em>signatures in&eacute;dites d&rsquo;ozone (O3) et le dioxyde de carbone (CO2)</em> [&hellip;] <em>Ces caract&eacute;ristiques sont &agrave; la fois d&eacute;routantes et surprenantes</em> &raquo; pour Kevin Olsen de l&rsquo;Universit&eacute; d&rsquo;Oxford, signataire d&rsquo;un article scientifique sur ce sujet dans Astronomy &amp; Astrophysics.</p>
<p>Apr&egrave;s plusieurs reports, la seconde partie de la mission ExoMars devrait d&eacute;coller en 2022.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/22177/99701-exomars-seconde-mission-reportee-2018-a-2020" target="_blank" rel="noopener">ExoMars : la seconde mission report&eacute;e de 2018 &agrave; 2020</a></li>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/news/109146-mars-cousine-terre-objet-toutes-convoitises-et-fantasmes.htm" target="_blank" rel="noopener">Mars : cousine de la Terre, objet de toutes les convoitises et de fantasmes</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Après plusieurs reports, le décollage d’Ariane 5 (VA253) s’est déroulé sans encombre</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43456/apres-plusieurs-reports-decollage-dariane-5-sest-deroule-sans-encombre</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Fin juillet, alors que le compte &agrave; rebours &eacute;tait en marche, le lancement de la <a href="https://www.arianespace.com/wp-content/uploads/2020/08/DDP_VA253_FR_6.pdf" target="_blank" rel="noopener">mission VA253</a> d&rsquo;Arianespace <a href="https://www.arianespace.com/wp-content/uploads/2020/07/PR_20200731VA253_EN-FR.pdf" target="_blank" rel="noopener">a &eacute;t&eacute;</a> &laquo; <em>interrompue 2&rsquo;14&rsquo;&rsquo; avant le d&eacute;collage &agrave; la suite d&rsquo;un comportement anormal d&rsquo;un capteur du r&eacute;servoir hydrog&egrave;ne liquide de l&rsquo;&eacute;tage principal cryotechnique</em> &raquo;. Ariane 5 et les trois satellites &eacute;taient alors <em>&laquo; en configuration stabilis&eacute;e et en totale s&eacute;curit&eacute;</em> &raquo;.</p>
<p>Le lancement a finalement eu lieu <a href="http://www.cnes-csg.fr/web/CNES-CSG-fr/10805-le-centre-spatial-guyanais.php" target="_blank" rel="noopener">le 15 ao&ucirc;t &agrave; 19h04</a>. Les trois charges utiles ont &eacute;t&eacute; d&eacute;pos&eacute;es &agrave; leurs orbites pr&eacute;vues. Il y avait les satellites de t&eacute;l&eacute;communications japonais BSat-4B et am&eacute;ricain G-30, ainsi que MEV-2 (Mission Extension Vehicle-2). Comme son nom l&rsquo;indique, ce dernier fait suite au remorqueur MEV-1 qui a pu <a href="https://www.nextinpact.com/lebrief/42308/12082-mission-reussie-pour-mev-1--qui-a-redonne---vie---a-un-satellite-d-intelsat" target="_blank" rel="noopener">redonner &laquo; vie &raquo; &agrave; un satellite</a>.</p>
<p>C&rsquo;&eacute;tait le cinqui&egrave;me lancement d&rsquo;Arianespace en 2020, le troisi&egrave;me avec une fus&eacute;e Ariane 5.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.youtube.com/watch?v=KnmaSQugRGs">Revoir le lancement d&rsquo;Ariane 5 pour la mission VA253</a></li>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30073/108736-mev-1-amarrage-historique-a-36-000-km-daltitude-pour-remorqueur-lespace" target="_blank" rel="noopener">MEV-1 : amarrage &laquo; historique &raquo; &agrave; 36 000 km d&rsquo;altitude pour le remorqueur de l&rsquo;espace</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Surveillance du dioxyde de carbone : l’ESA passe commande de deux satellites pour Copernicus</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43455/surveillance-dioxyde-carbone-lesa-passe-commande-deux-satellites-pour-sa-mission-copernicus</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>L&rsquo;Agence spatiale europ&eacute;enne <a href="https://www.esa.int/Space_in_Member_States/France/Signature_du_contrat_pour_la_construction_d_une_mission_europeenne_de_surveillance_du_dioxyde_de_carbone" target="_blank" rel="noopener">rappele</a> que &laquo; <em>la quantit&eacute; de dioxyde de carbone pr&eacute;sente dans l&rsquo;atmosph&egrave;re terrestre atteint des niveaux que les humains n&rsquo;ont peut-&ecirc;tre encore jamais v&eacute;cus</em> &raquo;, il est donc primordial de les surveiller de pr&egrave;s.</p>
<p>&laquo; <em>La mission Copernicus de surveillance du dioxyde de carbone (CO2M) est donc l&rsquo;une des nouvelles missions haute-priorit&eacute; de l&rsquo;Europe</em> &raquo;, explique l&rsquo;ESA. Un contrat de 445 millions d&rsquo;euros a ainsi &eacute;t&eacute; sign&eacute; avec OHB System AG pour la construction de deux satellites.</p>
<p><a href="https://www.thalesgroup.com/fr/monde/espace/press-release/thales-alenia-space-partenaire-dohb-system-developper-satellites" target="_blank" rel="noopener">Thales Alenia Space</a> est le &laquo; <em>sous-traitant principal</em> &raquo; qui devra fournir &laquo; <em>la charge utile CO2M bas&eacute;e sur une architecture et une conception modulaire. Celle-ci inclura notamment un instrument combin&eacute; CO2/NO2 (dioxyde de carbone / dioxyde d'azote) bas&eacute; sur un spectrom&egrave;tre fournissant des mesures dans le spectre visible et proche infrarouge</em> &raquo;.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Mars Sample Return : l’ESA laisse la parole à l’« équipe de rêve européenne »</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43454/mars-sample-return-lesa-laisse-parole-a-l-equipe-reve-europeenne</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>La mission Mars 2020 de la NASA a d&eacute;coll&eacute; fin juillet pour un voyage de plusieurs mois vers la plan&egrave;te rouge. Un de ses objectifs sera d&rsquo;identifier et mettre de c&ocirc;t&eacute; des roches qui seront par la suite r&eacute;cup&eacute;r&eacute;es et ramen&eacute;es sur Terre.</p>
<p>Cinq Europ&eacute;ens font partie de l&rsquo;&eacute;quipe scientifique qui s'en chargera ; ce sont des &laquo; <em>experts en la mani&egrave;re de r&eacute;colter, d&rsquo;analyser et de lire l&rsquo;histoire des roches qui se trouvent sous nos pieds. Ils auront &eacute;galement maintenant &agrave; anticiper les besoins et les d&eacute;fis inh&eacute;rents au fait de travailler avec des &eacute;chantillons martiens confi&eacute;s &agrave; des laboratoires sur Terre</em> &raquo;, explique Gerhard Kminek, scientifique par int&eacute;rim du programme Mars Sample Return.</p>
<p>Pour le g&eacute;ologue Mark Sephton, c&rsquo;est &laquo; <em>une fantastique opportunit&eacute; d&rsquo;avoir certains des meilleurs esprits au monde r&eacute;unis afin de trouver la solution &agrave; l&rsquo;une des plus grandes questions au sujet de notre Syst&egrave;me solaire : Y avait-il de la vie sur Mars ?</em> &raquo;. Il faudra choisir avec soins, puisque seuls 36 tubes d&rsquo;&eacute;chantillons sont disponibles pour le retour.</p>
<p>L&rsquo;Agence spatiale europ&eacute;enne propose sur <a href="https://www.esa.int/Space_in_Member_States/France/Une_equipe_de_reve_europeenne_pour_Mars" target="_blank" rel="noopener">cette page</a> un portrait de ses scientifiques impliqu&eacute;s dans le projet Mars Sample Return. Enfin, l&rsquo;ESA a mis en ligne <a href="https://www.youtube.com/watch?time_continue=4&amp;v=4MeRkQ5n7G0&amp;feature=emb_title" target="_blank" rel="noopener">une vid&eacute;o</a> de survol de la zone d&rsquo;atterrissage du rover Perseverance : le crat&egrave;re Jezero.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Magnétosphère terrestre : la mission Cluster de l’ESA fête ses 20 ans</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43453/magnetosphere-terrestre-mission-cluster-lesa-fete-ses-20-ans</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>L&rsquo;Agence spatiale europ&eacute;enne <a href="https://www.esa.int/Space_in_Member_States/France/La_mission_Cluster_20_annees_d_etude_de_la_magnetosphere_terrestre">rappelle</a> que, depuis l&rsquo;ann&eacute;e 2000, &laquo; <em>cette mission unique constitu&eacute;e de quatre satellites a r&eacute;v&eacute;l&eacute; les secrets de l'environnement magn&eacute;tique de la Terre</em> &raquo;, un &laquo; <em>&eacute;l&eacute;ment propice &agrave; la vie</em> &raquo;.</p>
<p>Elle comprend quatre satellites volant en formation pyramidale sur des orbites polaires elliptiques : &laquo; <em>Les quatre vaisseaux spatiaux, baptis&eacute;s Rumba, Salsa, Samba et Tango, transportent chacun une m&ecirc;me charge utile de 11 instruments de pointe</em> &raquo;. En l&rsquo;espace de 20 ans &ndash; sa dur&eacute;e de vie nominale n&rsquo;&eacute;tait que de deux ans &ndash; les &laquo; <em>observations r&eacute;alis&eacute;es par la mission Cluster ont permis d&rsquo;effectuer de nouvelles d&eacute;couvertes concernant les processus &agrave; l&rsquo;&oelig;uvre dans la magn&eacute;tosph&egrave;re</em> &raquo;.</p>
<p>&laquo; <em>Elles ont &eacute;galement permis d&rsquo;expliquer comment l'atmosph&egrave;re rendait la vie possible et ont fourni des informations essentielles sur la m&eacute;t&eacute;orologie de l&rsquo;espace</em> &raquo;. Les scientifiques ont &eacute;galement &laquo; <em>r&eacute;cemment d&eacute;couvert, non sans &eacute;tonnement, que le voisinage de notre plan&egrave;te &eacute;tait riche en fer</em> &raquo;.&nbsp; Aujourd&rsquo;hui, &laquo; <em>Cluster est toujours en plein essor et, dans les ann&eacute;es &agrave; venir, elle continuera &agrave; nous aider &agrave; comprendre et &agrave; d&eacute;finir les ph&eacute;nom&egrave;nes que nous voyons se d&eacute;rouler autour de nous. C&rsquo;est du moins ce que nous esp&eacute;rons !</em> &raquo;, affirme Philippe Escoubet de l'ESA.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30400/109145-terre-minuscule-point-dans-lunivers-seule-planete-a-abriter-vie-jusqua-preuve-contraire" target="_blank" rel="noopener">Terre : minuscule point dans l&rsquo;Univers, seule plan&egrave;te &agrave; abriter la vie&hellip; jusqu&rsquo;&agrave; preuve du contraire</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>« I Can’t Believe It’s Not Optical » : Rocket Lab renoue avec le succès pour sa 14e mission</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43452/i-cant-believe-its-not-optical-rocket-lab-renoue-avec-succes</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>D&eacute;but juillet, la soci&eacute;t&eacute; am&eacute;ricaine &eacute;chouait lors de son 13e lancement, perdant au passage les satellites qui &eacute;taient &agrave; bord de sa fus&eacute;e. Fin juillet, <a href="https://www.rocketlabusa.com/about-us/updates/rocket-lab-to-resume-electron-launches-in-august/" target="_blank" rel="noopener">elle expliquait</a> que la cause de la d&eacute;faillance &eacute;tait due &agrave; &laquo; <em>connexion &eacute;lectrique</em> &raquo;, sans plus de d&eacute;tail.</p>
<p>La FCC donnait alors son feu vert pour un retour en vol. C&rsquo;est finalement le 31 ao&ucirc;t que la mission &laquo; I Can&rsquo;t Believe It&rsquo;s Not Optical &raquo; a d&eacute;coll&eacute; sans encombre de Nouvelle-Z&eacute;lande.</p>
<p>Les charges utiles ont correctement &eacute;t&eacute; largu&eacute;es dans l&rsquo;espace.</p>
<ul>
<li><a href="https://youtu.be/FPIhI5mRDRI?t=79" target="_blank" rel="noopener">Revoir le 14e lancement de Rocket Lab</a></li>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30390/109147-pics-or-it-didnt-happen-13e-mission-rocket-lab-est-echec" target="_blank" rel="noopener">&laquo; Pics Or It Didn&rsquo;t Happen &raquo; : la 13e mission de Rocket Lab est un &eacute;chec</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Un prototype StarShip décolle jusqu’à 150 mètres et revient se poser</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43451/un-prototype-starship-decolle-jusqua-150-metres-et-revient-se-poser</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>SpaceX continue de d&eacute;velopper sa prochaine fus&eacute;e Starship. Les prototypes et les essais s'encha&icirc;nent presque aussi vite que les explosions, mais la soci&eacute;t&eacute; avance malgr&eacute; tout.</p>
<p>Elle a pass&eacute; un cap durant le mois d'ao&ucirc;t : un d&eacute;collage jusqu&rsquo;&agrave; 150 m d&rsquo;altitude avec le prototype SN5, puis un retour sur la Terre ferme sans encombre.&nbsp; Ce prototype est pour rappel &eacute;quip&eacute; d&rsquo;un seul moteur de nouvelle g&eacute;n&eacute;ration : le Raptor.</p>
<p>La version finale en disposera de six selon les plans actuels. <a href="https://twitter.com/SpaceX/status/1290854457136181248" target="_blank" rel="noopener">Une vid&eacute;o</a> a &eacute;t&eacute; mise en ligne.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/29683/108250-spacex-detaille-starship-sa-fusee-pour-conquerir-systeme-solaire-prototype-mk1-termine" target="_blank" rel="noopener">SpaceX d&eacute;taille Starship, sa fus&eacute;e pour conqu&eacute;rir le syst&egrave;me solaire</a></li>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30314/109042-10-ans-falcon-9-spacex-a-change-regles-jeu" target="_blank" rel="noopener">10 ans de Falcon 9 : SpaceX a chang&eacute; les r&egrave;gles du jeu</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>SpaceX lève 1,9 milliard de dollars</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43450/spacex-leve-19-milliard-dollars</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Les voyants sont au vert pour la soci&eacute;t&eacute; qui encha&icirc;ne les succ&egrave;s. Deux astronautes ont fait un aller-retour dans la Station spatiale internationale gr&acirc;ce &agrave; Crew Dragon, la prochaine g&eacute;n&eacute;ration de vaisseaux spatiaux Starship progresse bien, le r&eacute;seau satellitaire Starlink a ouvert sa b&ecirc;ta et les fus&eacute;es Falcon 9 continuent leurs ballets avec des allers-retours dans l&rsquo;espace.</p>
<p><a href="https://www.reuters.com/article/us-spacex-funding-idUSKCN25E26E" target="_blank" rel="noopener">Reuters rapporte</a> que l&rsquo;entreprise en profite pour <a href="https://www.sec.gov/Archives/edgar/data/1181412/000118141220000003/xslFormDX01/primary_doc.xml" target="_blank" rel="noopener">lever 1,9 milliard de dollars</a>, ce qui serait son plus gros tour de table. La valorisation de l&rsquo;entreprise serait ainsi de 46 milliards de dollars selon nos confr&egrave;res.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>NASA : la mission habitée Crew-1 à bord de Crew Dragon est prévue à partir du 23 octobre</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43449/nasa-mission-habitee-crew-1-a-bord-crew-dragon-prevue-a-partir-23-octobre</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Apr&egrave;s le succ&egrave;s de Demo-2 dont le but &eacute;tait de valider la capsule habitable de SpaceX, il est temps de passer aux missions op&eacute;rationnelles.&nbsp;</p>
<p>Crew-1 comprendra les am&eacute;ricains Michael Hopkins, Victor Glover et Shannon Walker, ainsi que le japonais Soichi Noguchi. Ils prendront place au sein de la rotation de l&rsquo;&eacute;quipage de la Station spatiale internationale (ISS) pour une dur&eacute;e de six mois.&nbsp;</p>
<p>Viendra ensuite Crew-2 au printemps 2021, avec Thomas Pesquet &agrave; bord. Ce sera le premier Europ&eacute;en &agrave; voler sur la capsule de SpaceX. Les missions Crew remplaceront les Soyouz pour emmener et ramener des astronautes dans l'ISS.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30432/109202-crew-dragon-spacex-ecrit-page-dhistoire-thomas-pesquet-prepare-sa-mission-alpha" target="_blank" rel="noopener">Crew Dragon : SpaceX &eacute;crit &laquo; une page d&rsquo;histoire &raquo;, Thomas Pesquet pr&eacute;pare sa mission Alpha</a></li>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30287/109011-crew-dragon-decollage-demain-enjeux-mission-historique-demo-2de-spacex">Crew Dragon : les enjeux de la mission historique Demo-2 de SpaceX</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Falcon 9 : SpaceX enchaîne les lancements, dont un avec un premier étage recyclé six fois</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43448/falcon-9-spacex-enchaine-lancements-dont-avec-premier-etage-recycle-six-fois</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Plusieurs fourn&eacute;es de satellites Starlink ont &eacute;t&eacute; envoy&eacute;es dans l&rsquo;espace cet &eacute;t&eacute;. Une premi&egrave;re le 8 ao&ucirc;t, avec 57 Starlink et 2 BlackSky, et une seconde le 18 ao&ucirc;t avec 58 Starlink et 3 SkySats de la soci&eacute;t&eacute; Planet.&nbsp;&nbsp;</p>
<p>Dans ce dernier cas, c&rsquo;&eacute;tait la sixi&egrave;me fois que le premier &eacute;tage &eacute;tait utilis&eacute;, un record. Il a encore &eacute;t&eacute; r&eacute;cup&eacute;r&eacute; sans encombre, de m&ecirc;me qu&rsquo;<a href="https://www.youtube.com/watch?v=oTH3mq7SsK4" target="_blank" rel="noopener">une moiti&eacute; de la coiffe</a> sur le bateau Ms. Tree. <a href="https://www.nextinpact.com/article/30120/108802-espace-coup-dur-pour-chine-limites-reutilisation-spacex" target="_blank" rel="noopener">Au d&eacute;but de l&rsquo;ann&eacute;e</a>, un premier &eacute;tage avait montr&eacute; des signes de faiblesse lors de son cinqui&egrave;me vol, un des moteurs &eacute;tait tomb&eacute; en panne mais la mission avait pu &ecirc;tre men&eacute;e &agrave; bien.</p>
<p>SpaceX pr&eacute;voit un nouveau lancement de Starlink d&eacute;but septembre. Apr&egrave;s d&eacute;j&agrave; des reports, le jeudi 3 septembre <a href="https://twitter.com/SpaceX/status/1300520230855172096">est d&eacute;sormais ligne de mire</a>.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.youtube.com/c/SpaceX/videos" target="_blank" rel="noopener">Revoir les lancements de Starlink</a></li>
</ul>
<p>Il y a quelques jours, c&rsquo;&eacute;tait au tour du satellite SAOCOM 1B et des charges auxiliaires Tyvak-0172 et PlanetiQ&rsquo;s GNOMES-1 d&rsquo;&ecirc;tre envoy&eacute;es dans l&rsquo;espace, l&agrave; encore sans la moindre anicroche.&nbsp;</p>
<ul>
<li><a href="https://www.youtube.com/watch?v=P-gLOsDjE3E&amp;feature=youtu.be" target="_blank" rel="noopener">Revoir le lancement de SAOCOM-1B</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Missions Artemis : Blue Origin livre à la NASA la maquette de son atterrisseur Blue Moon</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43447/missions-artemis-blue-origin-livre-a-nasa-maquette-son-atterrisseur-blue-moon</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Donald Trump veut que des humains &ndash; enfin surtout des Am&eacute;ricains &ndash; retournent sur la Lune, il en a d&rsquo;ailleurs fait un moment fort de son mandat.</p>
<p>Blue Origin &ndash; la soci&eacute;t&eacute; spatiale de Jeff Bezos, patron d&rsquo;Amazon &ndash; <a href="https://www.nextinpact.com/lebrief/38880/8621-jeff-bezos-presente-son-alunisseur-modulaire-blue-moon" target="_blank" rel="noopener">pr&eacute;sentait en mai 2019</a> son alunisseur modulaire Blue Moon. <a href="https://www.blueorigin.com/news/national-team-delivers-lunar-lander-engineering-mockup-to-nasa" target="_blank" rel="noopener">Le 20 ao&ucirc;t</a>, la Blue Origin-led Human Landing System (HLS) National Team comprenant Blue Origin, Lockheed Martin, Northrop Grumman et Draper ont livr&eacute; &agrave; la NASA &laquo; <em>une maquette technique d'un atterrisseur habitable pouvant emmener des astronautes am&eacute;ricains sur la Lune</em> &raquo;.</p>
<p>Elle est grandeur nature et comprend deux parties :&nbsp; l&rsquo;Ascent Element (AE) et le Descent Element (DE). Les travaux d&rsquo;int&eacute;gration et de v&eacute;rification peuvent d&eacute;sormais commencer. Le calendrier est toujours ambitieux avec un retour des humains sur notre satellite naturel pour 2024.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30294/109013-missions-artemis-comment-nasa-veut-renvoyer-humains-sur-lune" target="_blank" rel="noopener">Missions Artemis : comment la NASA veut renvoyer des humains sur la Lune</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Internet par satellite : des SpeedTest de Starlink auraient été mis en ligne</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43446/internet-par-satellite-speedtest-starlink-auraient-ete-mis-en-ligne</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>En pr&eacute;paration depuis des mois, la b&ecirc;ta de Starlink a &eacute;t&eacute; lanc&eacute;e cet &eacute;t&eacute;, avec un mot d&rsquo;ordre : le secret. Dans les conditions g&eacute;n&eacute;rales, il est en effet indiqu&eacute; que les participants ne peuvent &laquo; <em>PAS discuter</em> &raquo; des r&eacute;sultats de leurs tests, notamment de d&eacute;bits.</p>
<p>Comme toujours en pareil cas, des fuites se sont tout de m&ecirc;me rapidement multipli&eacute;es, avec des r&eacute;sultats de SpeedTest <a href="https://arstechnica.com/information-technology/2020/08/spacex-starlink-beta-tests-show-speeds-up-to-60mbps-latency-as-low-as-31ms/" target="_blank" rel="noopener">repris sur Reddit</a>, comme <a href="https://arstechnica.com/information-technology/2020/08/spacex-starlink-beta-tests-show-speeds-up-to-60mbps-latency-as-low-as-31ms/" target="_blank" rel="noopener">le rapporte Ars Technica</a>. Les d&eacute;bits en t&eacute;l&eacute;chargement varient entre 11 et 60 Mb/s, contre 5 &agrave; 18 Mb/s pour l&rsquo;upload. La latence se situe aux alentours de 20 ms.</p>
<p>Si les r&eacute;sultats sont en dessous de ce qu&rsquo;avait annonc&eacute; Elon Musk &ndash; qui vise le Gb/s &ndash; c&rsquo;est au niveau de ses esp&eacute;rances pour la latence. Il s&rsquo;agit dans tous les cas de r&eacute;sultats provisoires sur un r&eacute;seau en cours de construction et assez peu charg&eacute;, impossible donc d&rsquo;en tirer des conclusions d&eacute;finitives.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30410/109176-starlink-spacex-beta-secrete-approche-faq-donne-details" target="_blank" rel="noopener">Starlink de SpaceX : la b&ecirc;ta &laquo; secr&egrave;te &raquo; approche, une FAQ donne des d&eacute;tails</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Avec un cochon, Elon Musk propose des démonstrations de son Neuralink</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43445/avec-cochon-elon-musk-propose-demonstrations-son-neuralink</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>En plus des voitures &eacute;lectriques et autonomes avec Tesla, des fus&eacute;es et de la conqu&ecirc;te spatiale avec SpaceX, le milliardaire s&rsquo;int&eacute;resse &agrave; la biologie. Neuralink prend la forme d&rsquo;une petite puce de 23 mm de diam&egrave;tre pour 8 mm d&rsquo;&eacute;paisseur. Plac&eacute;e dans le cerveau, elle r&eacute;cup&egrave;re des informations et devrait, &agrave; terme, permettre de traiter des maladies neurologiques.</p>
<p>C&rsquo;est du moins la promesse d&rsquo;Elon Musk. &laquo; <em>Pour l'instant, dans les laboratoires de Neuralink, le cochon Gertrude marche sur un tapis roulant, le groin dans une mangeoire accroch&eacute;e devant elle, pendant que la puce transmet ses signaux neurologiques. &Agrave; partir de ces informations, l'ordinateur est capable de pr&eacute;dire &agrave; tout instant o&ugrave; se trouve chacun de ses membres. De quoi donner l'espoir de rendre la mobilit&eacute; aux personnes parapl&eacute;giques</em> &raquo;, <a href="https://www.boursedirect.fr/fr/actualites/categorie/economie-et-finances/l-implant-cerebral-d-elon-musk-avance-a-pas-de-cochon-afp-9dfc6958f815ca2bacf7ac731f7dd87cf587c695" target="_blank" rel="noopener">explique l&rsquo;AFP</a>.&nbsp;</p>
<p>En plus de la puce Neuralink dans le cerveau, une autre pourrait &ecirc;tre install&eacute;e l&agrave; o&ugrave; des &laquo; <em>circuits de transmission</em> &raquo; d&rsquo;un &ecirc;tre humain sont endommag&eacute;s : &laquo; <em>Sur le long terme, je suis certain qu'on pourra retrouver l'usage complet de son corps</em> &raquo;, affirme Elon Musk. De belles paroles qu&rsquo;il faudra concr&eacute;tiser dans le futur avant de parler d&rsquo;une &laquo; r&eacute;volution &raquo;.</p>
<p>Cette d&eacute;monstration &eacute;tait surtout l&rsquo;occasion pour Elon Musk de pr&eacute;senter ses travaux et de chercher de nouveaux talents et des financements, deux composantes indispensables pour ce genre de recherches. Dans la communaut&eacute; scientifique, plusieurs chercheurs ont par contre fait part de leur scepticisme face &agrave; ce qui n'est pour le moment que des promesses.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.youtube.com/watch?v=DVvmgjBL74w&amp;feature=youtu.be" target="_blank" rel="noopener">Revoir la conf&eacute;rence Neuralink d&rsquo;Elon Musk</a></li>
</ul> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Une intelligence artificielle peut différencier des oiseaux d’une même espèce</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43444/lintelligence-artificielle-peut-differencier-oiseaux-dune-meme-espece</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Dans de nombreux cas, l&rsquo;&ecirc;tre humain poss&egrave;de encore plusieurs longueurs d&rsquo;avance sur l&rsquo;intelligence artificielle dans la d&eacute;tection d&rsquo;objets. L&rsquo;IA peut n&eacute;anmoins se relever un atout ind&eacute;niable parfois, notamment pour &eacute;tudier les animaux sauvages.</p>
<p>&laquo; <em>Pour la toute premi&egrave;re fois, des &eacute;quipes de recherche</em> [&hellip;] <em>ont identifi&eacute; individuellement des oiseaux gr&acirc;ce &agrave; des techniques d&rsquo;intelligence artificielle</em> [&hellip;] <em>selon les motifs sur leurs plumages, t&acirc;che que les humains ne peuvent effectuer</em> &raquo; aussi simplement et rapidement, <a href="http://www.cnrs.fr/fr/lintelligence-artificielle-differencie-les-oiseaux-dune-meme-espece" target="_blank" rel="noopener">explique le CNRS</a>.</p>
<p>Les machines &laquo; <em>sont parvenues &agrave; diff&eacute;rencier les individus chez trois esp&egrave;ces d&rsquo;oiseaux, le r&eacute;publicain social, la M&eacute;sange charbonni&egrave;re et le Diamant mandarin</em> &raquo;. Cette m&eacute;thode &agrave; l&rsquo;avantage d'&ecirc;tre <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Examen_non_invasif">non invasive</a> et &laquo; <em>pourrait aussi ouvrir de nouvelles possibilit&eacute;s dans l&rsquo;&eacute;tude du comportement animal en population naturelle</em> &raquo;.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Une étude suggère que les « mini-Neptunes » seraient des planètes océans irradiées</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43443/une-etude-suggere-que-mini-neptunes-seraient-planetes-oceans-irradiees</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Le CNRS <a href="http://www.cnrs.fr/fr/et-si-les-mini-neptunes-etaient-des-planetes-oceans-irradiees">rappelle</a> qu&rsquo;une grande partie des exoplan&egrave;tes que l&rsquo;on conna&icirc;t se classe en deux familles : &laquo; <em>des "super-Terres", de 1,3 rayon terrestre, et des "mini-Neptunes", de 2,4 rayons terrestres</em> &raquo;.</p>
<p>Les secondes sont moins denses et ont pendant longtemps &eacute;t&eacute; consid&eacute;r&eacute;es comme des plan&egrave;tes gazeuses, constitu&eacute;es d&rsquo;h&eacute;lium et d&rsquo;hydrog&egrave;ne. Au Laboratoire d&rsquo;Astrophysique de Marseille une autre th&eacute;orie est mise en avant, qui a fait l&rsquo;objet d&rsquo;une publication dans The Astrophysical Journal :&nbsp;&laquo; <em>La faible densit&eacute; des mini-Neptunes pourrait s&rsquo;expliquer simplement par la pr&eacute;sence d&rsquo;une &eacute;paisse couche d&rsquo;eau soumise &agrave; un intense effet de serre en raison de l&rsquo;irradiation &eacute;manant de leur &eacute;toile h&ocirc;te</em> &raquo;.</p>
<p>L'&eacute;quipe pr&eacute;cise que ses r&eacute;sultats &laquo; <em>d&eacute;montrent que les mini-Neptunes pourraient &ecirc;tre des super-Terres au c&oelig;ur rocheux, entour&eacute;es d&rsquo;eau &agrave; l&rsquo;&eacute;tat <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Fluide_supercritique" target="_blank" rel="noopener">supercritique</a>. Ils sugg&egrave;rent que ces deux types d&rsquo;exoplan&egrave;tes se formeraient de mani&egrave;re similaire</em> &raquo;.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Racine carrée : le CNRS revient sur un algorithme « jugé inutile »</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43442/racine-carree-cnrs-revient-sur-algorithme-juge-inutile-a-lage-ou-machines-remplacent-humains</link>
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                <pubDate>Tue, 01 Sep 2020 07:59:03 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Les math&eacute;matiques ont &eacute;t&eacute; largement marqu&eacute;es par l&rsquo;arriv&eacute;e des ordinateurs et leur gigantesque puissance de calcul. Depuis des dizaines d&rsquo;ann&eacute;es, les cours (notamment &agrave; l&rsquo;universit&eacute;) se sont largement adapt&eacute;s et Patrick Popescu-Pampu du CNRS revient sur le cas de <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Racine_carr%C3%A9e" target="_blank" rel="noopener">la racine carr&eacute;e</a>.&nbsp;</p>
<p>Il <a href="http://images.math.cnrs.fr/Retour-a-mes-racines.html" target="_blank" rel="noopener">existe une m&eacute;thode</a> pour la trouver sur n&rsquo;importe quel nombre&hellip; mais combien seraient capables de la r&eacute;citer, voire simplement de s'&ecirc;tre un jour pos&eacute; la question de savoir si elle existait ? &Agrave; priori pas grand monde&hellip; Pourtant, le professeur &agrave; l'Universit&eacute; de Lille rappelle qu&rsquo;elle &laquo; <em>&eacute;tait enseign&eacute;e un peu partout sur Terre jusqu&rsquo;&agrave; ce que la d&eacute;mocratisation des calculettes &eacute;lectroniques l&rsquo;ait chass&eacute;e des programmes</em> &raquo;.</p>
<p>En effet, &laquo; <em>&agrave; quoi bon enseigner une op&eacute;ration somme toute bien moins n&eacute;cessaire dans la vie de tous les jours qu&rsquo;une addition ou une multiplication ?</em> &raquo;, se demande-t-il. &laquo; <em>Je dois dire que m&ecirc;me moi, math&eacute;maticien, je ne m&rsquo;en suis jamais servi dans mes recherches</em> &raquo;, ajoute-t-il.</p>
<p>Si on laisse de c&ocirc;t&eacute; l&rsquo;aspect utile de la chose (les calculatrices feront mieux et plus vite), il reste la &laquo; beaut&eacute; du geste &raquo; et le fait d&rsquo;essayer de comprendre les choses plut&ocirc;t que les utiliser &laquo; b&ecirc;tement &raquo;. En plus de donner l&rsquo;algorithme, Patrick Popescu-Pampu livre son exp&eacute;rience personnelle :&nbsp;</p>
<p style="padding-left: 40px;">&laquo; <em>L&rsquo;algorithme me sert aussi &agrave; intriguer les &eacute;tudiants qui viennent d&rsquo;entrer &agrave; l&rsquo;Universit&eacute;. Parfois je leur demande un nombre &agrave; quatre ou cinq chiffres. Je calcule alors tr&egrave;s vite au tableau sa racine carr&eacute;e avec deux chiffres apr&egrave;s la virgule. Ensuite je les prie de v&eacute;rifier &agrave; la calculette que je ne me suis pas tromp&eacute;. Ils trouvent cela &eacute;tonnant et me demandent pourquoi l&rsquo;algorithme donne le r&eacute;sultat correct. J&rsquo;ai atteint mon but : avoir &eacute;veill&eacute; leur curiosit&eacute;</em> &raquo;.</p>
<p>Dans <a href="http://images.math.cnrs.fr/Valeurs-approchees-des-racines.html" target="_blank" rel="noopener">un autre article</a> du CNRS, les math&eacute;maticiens Serge Cantat et St&eacute;phane Le Borgne s&rsquo;int&eacute;ressant aussi au calcul de la racine carr&eacute;e (enfin d&rsquo;une valeur approch&eacute;e), mais via la <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thode_de_H%C3%A9ron" target="_blank" rel="noopener">m&eacute;thode de H&eacute;ron</a>. Attention il s&rsquo;agit d&rsquo;une &laquo; piste rouge &raquo; bien plus difficile &agrave; appr&eacute;hender.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Le chantier de l’exception « text and data mining » au ministère de la Culture</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43410/le-chantier-lexception-text-and-data-mining-au-ministere-culture</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 15:43:04 +0000</pubDate>
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                <comments>https://www.nextinpact.com/article/43410/le-chantier-lexception-text-and-data-mining-au-ministere-culture#/page/1</comments>
                <description><![CDATA[<p>La directive sur le droit d&rsquo;auteur ce n&rsquo;est pas seulement le filtrage des contenus ou la cons&eacute;cration par le haut des droits voisins des &eacute;diteurs et agences de presse. Elle introduit &eacute;galement des exceptions relatives &agrave; la fouille de donn&eacute;es qui devront se concilier avec la propri&eacute;t&eacute; intellectuelle. Des travaux sont en cours au CSPLA.</p><p>Le 10 juin 2020, le Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA) a lancé <a href="https://www.culture.gouv.fr/content/download/271261/file/Lettre%20de%20mission%20CSPLA%20%27Exception%20TDM%27%20-%20Juin%202020.pdf?inLanguage=fre-FR" target="_blank" rel="noopener">une mission</a> sur le «<em> text and data mining </em>» (TDM). Confiée à Alexandra Bensamoun, professeure des universités, elle vise à préparer l’introduction en France de deux dispositions issues de la directive sur le droit d’auteur dans le marché numérique, <br />inscrites aux articles 3 et 4. L’une et l’autre introduisent une exception sur la fouille de textes.</p>
<p>En France, depuis la loi Lemaire pour une République Numérique, les auteurs ne peuvent plus s’opposer aux «<em> copies ou reproductions numériques réalisées à partir d'une source licite, en vue de l'exploration de textes et de données incluses ou associées aux écrits scientifiques pour les besoins de la recherche publique </em>».</p>
<p>La loi a donc créé une nouvelle incise dans le monopole des auteurs, mais à condition que ces explorations se fassent sans visée commerciale et qu’elles soient limitées à l’écrit. Toutefois, la disposition est restée à un stade purement théorique. </p>
<h3>De la loi Lemaire à la directive Droit d’auteur</h3> <p>Durant les débats <a href="http://www.assemblee-nationale.fr/14/cri/2015-2016/20160107.asp#P704580" target="_blank" rel="noopener">en janvier 2016</a>, la députée Nathalie Kosciusko-Morizet avait estimé nécessaire de «<em> sécuriser la circulation de données au sein de la communauté de la recherche, en particulier des données singulières que sont les fichiers issus du traitement des données de base et à partir desquels sont élaborées des conclusions </em>».</p>
<p>De tels fichiers, ajoutait-elle, «<em> peuvent être utilement réutilisés par d’autres chercheurs qui ainsi ne sont pas obligés de reprendre tout le travail de mise en forme et de formatage </em>».</p>
<p>Arguments partagés par Isabelle Attard : «<em> la fouille automatique de textes et de données permet, grâce à l’automatisation, d’obtenir des résultats inaccessibles par des méthodes manuelles, quelle que soit la discipline. C’est l’un des nombreux progrès que nous devons à l’informatique </em>».</p>
<p>«<em> Je vois bien la tentation, comme sur tant d’autres sujets, de mettre en place des digues provisoires pour protéger un certain nombre d’intérêts, mais sur cette question c’est l’intérêt général qui doit prévaloir </em>» avait renchéri Christian Paul.  </p>
<p>Pour mieux comprendre l’intérêt de cet outil, on peut lire <a href="https://blogs.mediapart.fr/edition/au-coeur-de-la-recherche/article/241017/future-directive-ue-sur-le-droit-d-auteur-chercheurs-entre-espoirs-et-inqui" target="_blank" rel="noopener">ce billet de Frédéric Hélein</a>, mathématicien et notamment Professeur à l’Université Paris Diderot :</p>
<p style="padding-left: 40px;">«<em> L’informatique permet aujourd'hui d'extraire des informations pertinentes diluées dans des masses colossales de données. Tout utilisateur de Google s'en rend compte quotidiennement. Cette démarche est pratiquée par les chercheurs sur des corpus d'articles et de documents scientifiques, mais aussi sur toutes sortes d’autres sources, comme les blogs, Wikipedia, les forums de discussion, etc. </em></p>
<p style="padding-left: 40px;"><em>On peut par exemple visualiser sur une carte géographique des informations sur l'occurrence de feux de forêts, de végétaux ou de maladies infectieuses signalées dans une masse de documents et rendre ainsi évidentes certaines répartitions géographiques, qui n'auraient pas pu être décelées autrement. Cette approche ne se substitue pas aux activités de recherche traditionnelles, mais elle ouvre de nouvelles perspectives, comparables à celles offertes par l'invention de la lunette astronomique ou du microscope </em>»</p>
<p>Problème : pour faire de la fouille de textes… il faut des textes, et donc des copies, des compilations de ces œuvres protégées sur l’autel du droit d’auteur. On devine aisément le risque de contradiction.</p>
<p>Le même chercheur complétait sa présentation :</p>
<p style="padding-left: 40px;">«<em> La raison en est que les législations sur le droit d'auteur permettent aux éditeurs de limiter fortement la diffusion et la réutilisation du contenu d'une œuvre dans une autre œuvre. Cela se comprend aisément lorsqu'il s'agit d'œuvres littéraires ou artistiques, mais cela n'a pas de sens lorsqu'il s'agit de recherche scientifique. Cette inadaptation du droit est une bénédiction pour les grands éditeurs, propriétaires de très gros corpus d'articles, car elle empêche les chercheurs de pratiquer eux-mêmes le TDM, les obligeant pour cela à utiliser les outils développés par les éditeurs </em>».</p>
<p>Ce sont des décrets qui devaient fixer les conditions dans lesquelles l'exploration des textes et des données allaient être mise en œuvre <a href="https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do;jsessionid=8AB60A05DF33A4DA56BFC81988E40638.tplgfr31s_2?idArticle=JORFARTI000033202882&amp;cidTexte=JORFTEXT000033202746&amp;dateTexte=29990101&amp;categorieLien=id" target="_blank" rel="noopener">dans la lignée de la loi Lemaire</a>. Ils devaient ainsi définir «<em> les modalités de conservation et de communication des fichiers produits au terme des activités de recherche pour lesquelles elles ont été produites </em>»</p>
<p>Seulement, ces dispositions <a href="https://www.nextinpact.com/article/27572/105601-loi-numerique-lexception-text-data-mining-en-passe-rester-lettre-morte" target="_blank" rel="noopener">n’ont jamais été adoptées</a>  (voir <a href="https://www.legifrance.gouv.fr/affichLoiPubliee.do?idDocument=JORFDOLE000031589829&amp;type=echeancier&amp;typeLoi=&amp;legislature=14" target="_blank" rel="noopener">l’état d’application de la loi Lemaire</a>), alors que Manuel Valls, premier ministre, s’était engagé à ce que tous les décrets soient publiés au printemps 2017,  «<em> parce que c'est comme ça qu'on rend crédible la loi </em>». Ce calendrier a été heurté par le chantier de la directive sur le droit d’auteur dont deux dispositions concernent justement la fouille de données.</p>
<p>D’où la mission lancée au CSPLA, organisme rattaché au ministère de la Culture, composé pour l’essentiel de représentants des titulaires de droits, chargée de préparer le futur texte de transposition.</p>
<h3>Insécurité juridique</h3>
<p>«<em> Les nouvelles technologies permettent une analyse informatique automatisée d'informations sous forme numérique, telles que du texte, des sons, des images ou des données, ce que l'on appelle généralement la fouille de textes et de données. Cette fouille de textes et de données rend possible le traitement de grandes quantités d'informations en vue d'acquérir de nouvelles connaissances et de découvrir de nouvelles tendances </em>» expose le considérant 8 de la directive de 2019.</p>
<p>Or, le texte européen constate qu’actuellement, l’activité est soumise à une lourde «<em> insécurité juridique </em>» faute de savoir s’il est ou non possible de mener à bien ces travaux.</p>
<p>Des difficultés ? «<em> Dans certains cas, la fouille de textes et de données peut entraîner des actes protégés par le droit d'auteur, par le droit sui generis sur la base de données, ou par les deux, notamment en ce qui concerne la reproduction d'œuvres ou autres objets protégés, l'extraction de contenus d'une base de données, ou les deux, ce qui est par exemple le cas lorsque les données sont normalisées lors du processus de fouille de textes et de données </em>».</p>
<p>Et lorsqu’aucune exception ou limitation ne s'applique, «<em> l'autorisation de procéder à de tels actes est requise des titulaires de droits </em>». Certes, il est des cas où les chercheurs «<em> ont accès de manière licite à du contenu, par exemple au moyen d'abonnements à des publications ou de licences en libre accès </em>» cependant, «<em> les conditions des licences pourraient exclure la fouille de textes et de données </em>».</p>
<h3>Un TDM, deux régimes</h3>
<p>La directive définit le text and data mining ou la fouille de textes et de données, comme «<em> toute technique d'analyse automatisée visant à analyser des textes et des données sous une forme numérique afin d'en dégager des informations, ce qui comprend, à titre non exhaustif, des constantes, des tendances et des corrélations </em>»</p>
<p>Le régime est double. L’article 3 oblige les États membres à introduire une exception obligatoire. C’est l’exception académique. Elle autorisera «<em> les reproductions et les extractions effectuées par des organismes de recherche et des institutions du patrimoine culturel, en vue de procéder, à des fins de recherche scientifique, à une fouille de textes et de données sur des œuvres ou autres objets protégés auxquels ils ont accès de manière licite </em>».</p>
<p>Seules ces entités pourront donc en bénéficier, non les autres. Les copies des œuvres doivent alors être stockées avec «<em> un niveau de sécurité approprié </em>» et peuvent être conservées «<em> à des fins de recherche scientifique, y compris pour la vérification des résultats de la recherche </em>».</p>
<p>Les titulaires de droits se voient eux «<em> autorisés à appliquer des mesures destinées à assurer la sécurité et l'intégrité des réseaux et des bases de données où les œuvres ou autres objets protégés sont hébergés </em>», à condition de ne pas excéder «<em> ce qui est nécessaire pour atteindre cet objectif </em>».</p>
<p>Enfin, les États membres devront encourager les titulaires de droits, les organismes de recherche et les institutions du patrimoine culturel à signer des accords des bonnes pratiques pour appliquer ces dispositions.</p>
<p>L’article 4 est beaucoup plus large. La «<em> fouille de données </em>» est le sujet d’une autre exception ou d’une «<em> limitation </em>», au choix des États. Elle s’ouvre cette fois à tous les usages «<em> pour les reproductions et les extractions d'œuvres et d'autres objets protégés accessibles de manière licite aux fins de la fouille de textes et de données </em>». Il n’y a d’ailleurs plus de finalité.</p>
<p>Si dans les deux cas, le champ concerne les textes mais aussi les autres véhicules du droit d’auteur, il y cette fois une particularité : le législateur a prévu un régime d’<em>opt out</em>. L'exception ou la limitation ne s'applique qu’à condition que l'utilisation des œuvres «<em> n'ait pas été expressément réservée par leurs titulaires de droits de manière appropriée, notamment par des procédés lisibles par machine pour les contenus mis à la disposition du public en ligne </em>».</p>
<p>En clair, dans les métadonnées notamment de ces contenus, les auteurs pourront exprimer leur opposition à cette exception. Les personnes voulant s’adonner au TDM devront alors passer par l’inévitable case contractuelle.</p>
<h3>La transposition de ces deux articles en France</h3>
<p>La mission sur l’exception de fouille de textes et de données a adressé un questionnaire à ses membres en vue de la transposition en droit interne des articles 3 et 4 de la directive. «<em> Ce questionnaire, à but informatif, a pour objet de simplifier votre contribution au rapport ou de guider votre audition par la mission du CSPLA </em>».</p>
<p>Le document interroge notamment sur «<em> les moyens techniques appropriés </em>» (…) <em>que les titulaires de droits pourraient utiliser pour s’opposer</em> (…) <em>à une fouille de textes et de données réalisée par des organismes </em>». Elle suggère plusieurs pistes : «<em> métadonnées, conditions générales d’utilisation, accords contractuels, déclarations unilatérales, fichier centralisé, mesures techniques de protection, ou autres moyens </em>», avant de se demander s’il faudra standardiser ces moyens.</p>
<p>«<em> À quelles conditions les titulaires de droit pourraient-ils accepter les fouilles de textes et de données mentionnées à l’article 4 de la directive ? Le recours à une licence prévoyant des contreparties financières vous semble-t-il adapté ? </em>» questionne encore le document.</p>
<p>Celui-ci demande aussi aux destinataires, membres du CSPLA, «<em> les précisions relatives à la fouille de textes et de données que vous souhaiteriez voir inscrites dans les textes législatifs et réglementaires de transposition (…) sous réserve qu’elles ne soient pas contraires à la lettre et à l’esprit de ces dispositions </em>».</p>
<p>Les différentes réponses sont attendues avant le 1er novembre 2020 sachant que les États membres devront transposer la directive au plus tard le 7 juin 2021.</p>
<ul>
<li><a href="https://cdnx.inpact-hardware.com/data-prod/file-uploads/Questionnaire%20mission%20TDM%20du%20CSPLA.docx" target="_blank" rel="noopener">Télécharger le questionnaire TDM de la mission du CSPLA</a></li>
</ul>]]></description>
                </item> <item>
                <title>Jupiter : planète géante dépourvue de surface solide, protectrice du Système solaire</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43392/jupiter-planete-geante-depourvue-surface-solide-protectrice-systeme-solaire</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 09:33:54 +0000</pubDate>
                <creator xmlns="http://purl.org/dc/elements/1.1/">Sébastien Gavois, </creator>   
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                <comments>https://www.nextinpact.com/article/43392/jupiter-planete-geante-depourvue-surface-solide-protectrice-systeme-solaire#/page/1</comments>
                <description><![CDATA[<p>Jupiter occupe une place &agrave; part dans notre Syst&egrave;me solaire puisqu'il s&lsquo;agit de la premi&egrave;re et de la plus imposante des quatre plan&egrave;tes gazeuses. Sa masse a d'ailleurs une influence sur l&rsquo;ensemble des plan&egrave;tes. Elle aurait presque pu devenir un mini syst&egrave;me &agrave; elle seule.</p><p>Jupiter tourne très vite sur elle-même et une « journée » n'y dure qu’un peu moins de dix heures. Plus on s’éloigne du Soleil, plus la période de révolution sidérale (c’est-à-dire le temps nécessaire pour faire le tour de l'étoile) est long : on passe ainsi d’un an sur la Terre à presque deux sur Mars et plus de onze pour Jupiter.</p>
<p>Sa masse est de 1,9 x 10<sup>^27</sup> kg, soit 318 fois plus que celle de la Terre et « <em>plus de deux fois supérieure à celle de la totalité des autres planètes du Système solaire</em> », <a href="https://www.esa.int/content/view/full/518087" target="_blank" rel="noopener">explique l’ESA</a> (Agence spatiale européene). Sa masse est telle que le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Barycentre" target="_blank" rel="noopener">barycentre</a> Jupiter-Soleil se trouve juste au-dessus de la surface de notre étoile.</p>
<p>Pour l’ensemble des autres planètes, il est dans le Soleil. Ce n'est pas la seule spécificité de Jupiter, loin de là.</p>
<p><span style="text-decoration: underline;"><strong>Lire notre dossier sur le Système solaire :</strong></span></p>
<ul>
<li><a class="ui-link" href="https://www.nextinpact.com/news/109040-a-decouverte-systeme-solaire-soleil-element-central-et-catalyseur-vie.htm" target="_blank" rel="noopener">Le Soleil : élément central et « catalyseur » de la vie</a></li>
<li><a class="ui-link" href="https://www.nextinpact.com/news/109071-mercure-mysterieuse-planete-sans-equivalent.htm" target="_blank" rel="noopener">Mercure : une mystérieuse planète « sans équivalent »</a></li>
<li><a class="ui-link" href="https://www.nextinpact.com/news/109098-venus-planete-etrange-quasi-jumelle-terre-et-qui-a-mal-tourne.htm" target="_blank" rel="noopener">Vénus : une planète étrange, quasi-jumelle de la Terre, qui « a mal tourné »</a></li>
<li><a class="ui-link" href="https://www.nextinpact.com/news/109145-terre-minuscule-point-dans-lunivers-seule-planete-a-abriter-vie-jusqua-preuve-contraire.htm" target="_blank" rel="noopener">Terre : minuscule point dans l’Univers, seule planète à abriter la vie… jusqu’à preuve du contraire</a></li>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/news/109146-mars-cousine-terre-objet-toutes-convoitises-et-fantasmes.htm" target="_blank" rel="noopener">Mars : cousine de la Terre, objet de toutes les convoitises et de fantasmes</a></li>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/43361/un-detour-par-ceinture-dasteroides-et-lacunes-kirkwood" target="_blank" rel="noopener">Un détour par la ceinture d'astéroïdes et les lacunes de Kirkwood</a></li>
<li>Jupiter : planète géante dépourvue de surface solide, protectrice du Système solaire</li>
<li>Saturne : une autre géante gazeuse, avec de superbes anneaux (à venir)</li>
</ul>
<h3>Une planète sans surface solide… comment fixe-t-on le niveau 0 ?</h3> <p>S’agissant d’une géante gazeuse, elle ne possède pas de surface solide… ce qui n’est pas sans poser un problème lorsqu’il s’agit de parler d’altitude ou de profondeur.</p>
<p>« <em>Par convention, on attribue l’altitude 0 m au niveau de pression 1 bar, soit à peu près la pression au niveau de la mer sur Terre</em> », explique Doriann Blain dans <a href="https://www.google.com/url?sa=t&amp;rct=j&amp;q=&amp;esrc=s&amp;source=web&amp;cd=&amp;ved=2ahUKEwjew_zktrjrAhWvzoUKHbn6AfAQFjASegQICRAB&amp;url=https%3A%2F%2Fwww.theses.fr%2F2018PSLEO014.pdf&amp;usg=AOvVaw3FtiEpndG3fo1EzJFp3Es7" target="_blank" rel="noopener">sa thèse sur son atmosphère</a>. Pierre Drossart (chercheur en planétologie à l’Observatoire de Paris), <a href="https://www.youtube.com/watch?v=NNRq08gzJik" target="_blank" rel="noopener">explique de son côté</a> que lors d'une descente « <em>on ne rencontrerait pas comme sur les planètes terrestres une surface solide, mais on s’enfonce dans un fluide de plus en plus épais</em> ».</p>
<p>À défaut d’un plongeon dans Jupiter, la NASA propose <a href="https://solarsystem.nasa.gov/planets/jupiter/overview/" target="_blank" rel="noopener">une visualisation interactive en 3D</a> de la planète.</p>
<h3>Jupiter, une géante protectrice des huit « royaumes »</h3>
<p>C’est la plus grande planète du Système solaire, avec un diamètre moyen de 142 984 km. Son volume est 1 317 fois plus important que la Terre. Dans la mythologie, son nom est donné au Dieu du ciel. C’est un peu le cas ici puisqu’il s’agit du plus grand et lourd corps céleste du Système solaire, après le Soleil bien évidemment.</p>
<p>Conséquence mathématique : la densité près de cinq fois inférieure à celle de notre planète. Comparé à l’eau (densité 1), Jupiter est à 1,33 (la Terre à 5,515) ; il y a pire avec Saturne à 0,69 (elle flotterait donc sur l’eau). N’allez pour autant pas croire que la pesanteur y soit faible (elle dépend de la masse) : elle est 2,53 fois plus importante que sur Terre, une personne de 70 kg pèserait ainsi 177 kg.</p>
<p>En plus d’être très lourd, on aurait bien froid puisque la température moyenne est de -145°C à la « surface ».</p>
<figure class="content-img" style="text-align: center;" data-imageid="166943"><a class="fancyimg" href="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166943.png" rel="group-fancy"> <img style="max-width: 100%;" src="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166943.png" alt="Jupiter" /> </a>
<figcaption>La Terre (et la Lune) à côté de Jupiter, avec une mise à l’échelle. Crédits : NASA / Public domain</figcaption>
</figure>
<p>Les importantes masse et gravité de Jupiter lui confèrent une position à part, avec une influence globale dans notre Système solaire, comme <a href="https://www.youtube.com/watch?v=zqpb9qwrrfo" target="_blank" rel="noopener">l’explique le National Geographic</a> : « <em>Au cours des premiers jours du Système solaire, Jupiter ayant été la première planète à se former, a attiré et détruit les débris spatiaux qui auraient permis aux autres planètes de grossir. Aujourd‘hui, cette force peut servir de bouclier en attirant les comètes et les astéroïdes sur la surface même de Jupiter, les empêchant de s’écraser sur les planètes intérieures, telles que la Terre</em> ».</p>
<p>Un exemple en 1994 : des fragments de la comète Shoemaker-Levy 9 se sont écrasés sur Jupiter. 90 minutes après l’impact du plus gros morceau, une photo a été prise par une sonde spatiale. Le phénomène est cataclysmique à l’échelle de la Terre : il « <em>libéra une énergie équivalente à six millions de mégatonnes de TNT (six cents fois l'arsenal nucléaire mondial)</em> », explique le Palais de la Découverte.</p>
<h3>De l’hydrogène métallique liquide « dans » Jupiter</h3>
<p>Mais que trouve-t-on à « l’intérieur » de cette planète ? Le Palais de la Découverte <a href="http://www.palais-decouverte.fr/fileadmin/_migrated/content_uploads/SystemeSolaire-ssext-commun.pdf" target="_blank" rel="noopener">donne des explications</a> :</p>
<p style="padding-left: 40px;">« <em>En partant de l’extérieur, on trouve d’abord une épaisse coquille gazeuse d’hydrogène moléculaire (H2) et d’hélium (He) sous laquelle existerait une vaste zone où l’hydrogène présenterait un comportement bien singulier : sous l’effet d’une pression toujours plus forte, l’hydrogène moléculaire se dissocierait, s’ioniserait et deviendrait conducteur. Cette forme exotique de l’hydrogène, appelée <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Hydrog%C3%A8ne_m%C3%A9tallique" target="_blank" rel="noopener">hydrogène métallique</a>, serait à l’origine du puissant champ magnétique jovien. Enfin, au centre de Jupiter existerait un noyau rocheux </em>[pouvant dépasser les 20 000 °C, ndlr]<em> entouré par de la glace, mais son existence n’est pas prouvée.</em> »</p>
<p>Les recherches continuent afin de caractériser précisément le centre de Jupiter et de nouvelles découvertes sont régulièrement annoncées. Le laboratoire Lagrange (unité mixte de recherche de l’Observatoire de la Côte d’Azur, du CNRS et de l'Université Côte d'Azur), <a href="https://www.oca.eu/fr/evenements/916-jupiter-ne-serait-pas-comme-nous-l-avions-imagine" target="_blank" rel="noopener">expliquait il y a trois ans</a> que « <em>Jupiter ne serait pas comme nous l'avions imaginé</em> ». En fait, l’intérieur de la planète serait « <em>plus complexe que ce qui était imaginé jusqu’à présent, avec un noyau qui pourrait être partiellement dilué dans l’enveloppe</em> ».</p>
<figure class="content-img" style="text-align: center;" data-imageid="166941"><img style="max-width: 100%;" src="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166941.png" alt="Jupier" />
<figcaption>Crédits : <a href="http://www.palais-decouverte.fr/fileadmin/_migrated/content_uploads/SystemeSolaire-ssext-commun.pdf" target="_blank" rel="noopener">Palais de la Découverte</a></figcaption>
</figure>
<h3>Une atmosphère « animée », avec une Grande Tache Rouge</h3>
<p>L’atmosphère est principalement composée de deux gaz : 86 % de dihydrogène et 13 % l’hélium. D‘un point de vue thermique, elle comprend trois couches principales : troposphère, stratosphère et thermosphère.</p>
<p>Doriann Blain les détaille à la <a href="https://www.google.com/url?sa=t&amp;rct=j&amp;q=&amp;esrc=s&amp;source=web&amp;cd=&amp;ved=2ahUKEwjew_zktrjrAhWvzoUKHbn6AfAQFjASegQICRAB&amp;url=https%3A%2F%2Fwww.theses.fr%2F2018PSLEO014.pdf&amp;usg=AOvVaw3FtiEpndG3fo1EzJFp3Es7" target="_blank" rel="noopener">14e page de sa thèse</a>. L’atmosphère s’élève « <em>vers le haut sur près de 5 000 km jusqu’à se fondre dans l’espace interplanétaire</em> ». On y retrouve d’épais nuages qui « <em>forment des bandes de couleurs différentes qui présentent des circulations alternées. De plus, les vents sont très violents et atteignent fréquemment la vitesse de 360 km/h</em> ». Il y a également une « tache » qui fait couler beaucoup d’encre.</p>
<p>Se démarquant nettement sur les photos, elle est simplement baptisée « la Grande Tache Rouge ». Il s’agit d’une gigantesque tempête où les vents peuvent dépasser les 700 km/h. Elle dure depuis plus de 300 ans et sa taille fait deux fois celle de la Terre. Une animation de ce phénomène est <a href="https://solarsystem.nasa.gov/resources/2479/great-red-spot-rotation-animation/?category=planets_jupiter" target="_blank" rel="noopener">disponible ici</a>.</p>
<figure class="content-img" style="text-align: center;" data-imageid="166942"><a class="fancyimg" href="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166942.png" rel="group-fancy"> <img style="max-width: 100%;" src="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166942.png" alt="Jupiter" /> </a>
<figcaption>Crédits : <a href="https://solarsystem.nasa.gov/resources/2486/hubbles-new-portrait-of-jupiter/?category=planets_jupiter" target="_blank" rel="noopener">NASA, ESA, A. Simon et M.H. Wong </a></figcaption>
</figure>
<h3>Des anneaux de poussière sombres comme du charbon</h3>
<p>Largement moins connu que ceux de Saturne, Jupiter possède néanmoins « <em>un anneau de poussières invisible depuis la Terre, de plus de 100 000 km de largeur, qui a été découvert par la sonde spatiale Voyager</em> » il y a plus de 40 ans, <a href="https://www.esa.int/content/view/full/518087" target="_blank" rel="noopener">explique l’Agence spatiale européenne</a>. Ils sont « <em>sombres comme du charbon</em> », ce qui explique qu’il est si difficile de les détecter, contrairement à ceux de Saturne constitués de glace.</p>
<p>Ils sont composés de particules « <em>dont les tailles sont comparables à celles des particules composant la fumée de cigarette</em> ». Cet anneau perdrait continuellement de la matière, mais serait réapprovisionné « <em>par des poussières issues de collisions entre des météorites et les quatre satellites les plus internes de Jupiter</em> ».</p>
<p>Il serait d’ailleurs plus juste de parler des anneaux de Jupiter, car ils sont quatre. Il y a tout d’abord halo, le proche de la planète, avec une forme de tore et une épaisseur d'environ 30 000 km. Vient ensuite l’anneau principal de 6 500 km de large pour moins de 30 km d’épaisseur. Enfin, l’anneau Gossamer (qui signifie léger en anglais) est ténu et très large : il est « <em>constitué de deux anneaux</em> [parfois appelé intérieur et extérieur, ndlr] <em>composés de particules minuscules, sans doute des débris des satellites Amalthée et Thébé</em> ».</p>
<p style="text-align: center;"><a class="fancyimg" href="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166934.png" rel="group-fancy"><img src="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166934-mini.png" alt="Jupiter " /></a><a class="fancyimg" href="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166940.png" rel="group-fancy"><img src="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166940-mini.png" alt="Jupiter " /></a></p>
<h3>79 lunes, qui tournent dans tous les sens</h3>
<p>Jupiter dispose de plusieurs dizaines de lunes, dont les quatre principales – appelés satellites galiléens – ont été découvertes par Galilée en 1610. Elles sont très différentes les unes des autres : « <em>Io est parsemée de volcans sur une surface sulfureuse jaune orangé. Europa a une surface lisse, couverte de glace, qui ressemble à une coquille d'œuf fêlée. Ganymède présente des taches brillantes et sombres avec des sillons et des cratères. Callisto possède une surface très ancienne entièrement couverte de cratères</em> ».</p>
<p>Avec un diamètre de plus de 5 200 km, Ganymède – la plus grande des lunes de Jupiter – se paye même le luxe d’être un peu plus grosse que Mercure – la plus petite des planètes avec 4 880 km de diamètre. Elle dispose d’une particularité intéressante pour les scientifiques qui veulent donc l’étudier de près : il s’agit de « <em>l'un des seuls corps solides du système solaire possédant un champ magnétique, à part Mercure et la Terre</em> ».</p>
<figure class="content-img" style="text-align: center;" data-imageid="166937"><a class="fancyimg" href="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166937.png" rel="group-fancy"> <img style="max-width: 100%;" src="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166937.png" alt="Jupiter " /> </a>
<figcaption>Crédits : <a class="ui-link" href="http://www.palais-decouverte.fr/fileadmin/_migrated/content_uploads/SystemeSolaire-ssext-commun.pdf" target="_blank" rel="noopener"> Palais de la Découverte </a></figcaption>
</figure>
<p>Au dernier décompte de mi-2018, Jupiter comptait officiellement 79 lunes, ce qui la place en seconde position juste derrière Saturne et ses <a href="https://www.nextinpact.com/lebrief/40163/9918-saturne-a-desormais-82-lunes-identifiees-et-depasse-donc-jupiter" target="_blank" rel="noopener">82 satellites naturels</a>. Les chiffres évoluent rapidement ces dernières années et Jupiter était sur la première marche du podium il y a encore moins d’un an.</p>
<p>Les quatre satellites galiléens sont les plus proches, puis viennent les lunes progrades (elles orbitent dans le sens de rotation de la planète) et les rétrogrades (en sens inverse)... à quelques exceptions près évidemment.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/28617/106871-effervescence-autour-jupiter-dix-nouvelles-lunes-dont-a-contresens" target="_blank" rel="noopener">Effervescence autour de Jupiter : dix nouvelles lunes, dont une « à contresens »</a></li>
</ul>
<p style="text-align: center;"><a class="fancyimg" href="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/171208.png" rel="group-fancy"><img src="https://cdn2.nextinpact.com/images/bd/news/mini-171208.png" alt="Jupiter Lunes" /></a><a class="fancyimg" href="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166939.png" rel="group-fancy"><img src="https://cdnx.nextinpact.com/data-next/image/bd/166939-mini.png" alt="Jupiter " /></a></p>
<h3>Un mini système solaire « raté » ?</h3>
<p>Cette planète et ses satellites naturels, pourraient nous donner de précieuses informations : « <em>Essayez d’imaginer un Système solaire miniature, des lunes avec plus d’eau sous la surface que la Terre : c’est le système de Jupiter que va étudier JUICE</em> [JUpiter ICy moons Explorer, ndlr]<em>, la future mission de l’Agence spatiale européenne</em> ».</p>
<p>Jupiter aurait en effet pu devenir une étoile, mais elle a « <em>raté sa chance</em> » ; pourtant sa composition était presque la même, explique l’ESA. Pour Pierre Drossart, Jupiter est en fait « <em>intermédiaire entre la Terre et les étoiles : elle n’a pas une masse suffisante pour enclencher les réactions thermonucléaires qui donnent aux étoiles leurs énergies</em> ».</p>
<p>Le lancement est prévu pour 2022, mais il faudra ensuite être patient : l’arrivée dans l’environnement de Jupiter est programmée pour… 2030 (oui, il faut compter huit ans de voyage). « <em>Les objectifs sont l’exploration de l’environnement jovien et des trois lunes galiléennes : Europe, Callisto et Ganymède. Une attention particulière est portée sur Ganymède en raison de ses similitudes avec la terre : présence d’un champ magnétique fort, d’une ionosphère et d’un océan</em> », <a href="https://www.lpc2e.cnrs.fr/activites-scientifiques/plasmas-spatiaux/projets/missions-spatiales/juice/" target="_blank" rel="noopener">explique le LPC2E du CNRS</a>, un des partenaires de l’ESA pour cette mission.</p>]]></description>
                </item> <item>
                <title>Android : une faille dans la bibliothèque Play Core permettait de récupérer des données personnelles</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43439/android-faille-dans-bibliotheque-play-core-permettait-recuperer-donnees-personnelles</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>D&eacute;couverte par Sergey Toshin, fondateur de la soci&eacute;t&eacute; Oversecured, son exploitation serait &laquo; <em>plut&ocirc;t facile</em> &raquo;. Il explique <a href="https://techcrunch.com/2020/08/28/android-bug-apps-data/">&agrave; TechCrunch</a> que Play Core permet aux d&eacute;veloppeurs de d&eacute;ployer des mises &agrave; jour et de nouveaux modules &agrave; leurs applications.</p>
<p>&laquo; <em>Une application malveillante sur le m&ecirc;me appareil Android pourrait exploiter cette vuln&eacute;rabilit&eacute; en injectant des modules malveillants dans d'autres applications qui s'appuient sur la biblioth&egrave;que pour voler des informations priv&eacute;es, telles que des mots de passe et des num&eacute;ros de carte de cr&eacute;dit, &agrave; l'int&eacute;rieur de l'application</em> &raquo;, ajoute le chercheur.</p>
<p><a href="https://nvd.nist.gov/vuln/detail/CVE-2020-8913#range-5840182">Google a confirm&eacute; de son c&ocirc;t&eacute;</a>, attribuant &agrave; cette br&egrave;che la note de 8,8 sur 10. Elle a &eacute;t&eacute; bouch&eacute;e dans la version 1.7.2 de Play Core. Si ce n&rsquo;est pas encore fait, il est donc recommand&eacute; aux d&eacute;veloppeurs de se mettre &agrave; jour.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Ledger piraté : des données personnelles dérobées, la sécurité des portefeuilles n'est pas menacée </title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43437/ledger-pirate-donnees-personnelles-derobees-securite-portefeuilles-nest-pas-menacee</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>La soci&eacute;t&eacute; a &eacute;t&eacute; <a href="https://www.ledger.com/addressing-the-july-2020-e-commerce-and-marketing-data-breach">inform&eacute;e le 14 juillet</a> (via son programme de bug bounty) d'une faille sur son site, corrig&eacute;e dans la foul&eacute;e. Durant l'enqu&ecirc;te, il a &eacute;t&eacute; d&eacute;couvert qu'elle avait &eacute;t&eacute; exploit&eacute;e le 25 juin pour r&eacute;cup&eacute;rer des donn&eacute;es dans les bases ecommerce et marketing. Il est notamment question d'adresses email, de noms, adresses, num&eacute;ros de t&eacute;l&eacute;phone et d&eacute;tail de commandes.</p>
<p>Les adresses emails sont les plus nombreuses avec environ un million de clients impact&eacute;s. Les autres informations r&eacute;cup&eacute;r&eacute;es concernent 9 500 clients, qui ont &eacute;t&eacute; pr&eacute;venus individuellement. Ledger en profite pour rassurer ses utilisateurs : &laquo; <em>Cette fuite de donn&eacute;es n&rsquo;a aucun lien ni impact avec nos portefeuilles &eacute;lectroniques, la s&eacute;curit&eacute; de Ledger Live ou vos actifs en cryptomonnaies, qui sont en s&eacute;curit&eacute; et n&rsquo;ont jamais &eacute;t&eacute; expos&eacute;. Vous &ecirc;tes le seul &agrave; avoir le contr&ocirc;le et &agrave; acc&eacute;der &agrave; ces informations</em> &raquo;.</p>
<p>La CNIL a &eacute;t&eacute; inform&eacute;e de l'incident. On appr&eacute;cie en tous cas la transparence dans la gestion de cet incident.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Amazon bouche une importante faille dans son assistant numérique Alexa</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43436/amazon-bouche-importante-faille-dans-son-assistant-numerique-alexa</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Elle &laquo; <em>permettait un acc&egrave;s non autoris&eacute; &agrave; des informations personnelles d&rsquo;utilisateurs</em> &raquo;, <a href="https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/08/13/amazon-corrige-une-vulnerabilite-de-son-assistant-vocal-alexa_6048883_4408996.html" target="_blank" rel="noopener">indique l&rsquo;AFP</a>, en se basant sur <a href="https://research.checkpoint.com/2020/amazons-alexa-hacked/" target="_blank" rel="noopener">un rapport de Check Point</a>. Amazon confirme &agrave; nos confr&egrave;res la situation, pr&eacute;cisant avoir apport&eacute; des modifications et que cette br&egrave;che n&rsquo;aurait pas &eacute;t&eacute; utilis&eacute;e par des pirates.</p>
<p>Les risques &eacute;taient importants puisque la faille permettait &ndash; selon des propos de Check Point repris par l&rsquo;AFP &ndash; de &laquo; <em>supprimer-installer des "Skills" sur le compte Alexa de la victime cibl&eacute;e, d&rsquo;acc&eacute;der &agrave; son historique d&rsquo;&eacute;changes vocaux et &agrave; ses donn&eacute;es personnelles</em> &raquo;. Il serait notamment question d&rsquo;informations bancaires, de num&eacute;ros de t&eacute;l&eacute;phone et d&rsquo;adresse.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Carlson Wagonlit aurait payé 4,5 millions de dollars pour se débarrasser d'un rançongiciel</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43435/carlson-wagonlit-aurait-paye-45-millions-dollars-pour-se-debarrasser-dun-rancongiciel</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>La soci&eacute;t&eacute; sp&eacute;cialis&eacute;e dans la gestion des voyages d&rsquo;affaires et de loisirs a &eacute;galement fait les frais d'un ma&icirc;tre chanteur. Elle <a href="https://www.lemagit.fr/actualites/252487011/Carlson-Wagonlit-Travel-confirme-une-cyberattaque">confirme au MagIT</a> avoir &laquo; <em>fait l&rsquo;exp&eacute;rience d&rsquo;un cyber-incident durant le week-end</em> &raquo; du 25 et 26 juillet. Elle ajoute : &laquo; <em>apr&egrave;s avoir temporairement arr&ecirc;t&eacute; nos syst&egrave;mes par pr&eacute;caution</em> [ils] <em>sont de nouveaux en ligne et l&rsquo;incident a cess&eacute;</em> &raquo;.&nbsp;</p>
<p>Selon un porte-parole de la soci&eacute;t&eacute; interrog&eacute; par nos confr&egrave;res, rien n'indiquerait que des &laquo; <em>informations personnellement identifiables de clients et de voyageurs aient &eacute;t&eacute; compromises</em> &raquo;. Mais un chercheur de l&rsquo;&eacute;quipe Malware Hunter Team n'est pas d'accord : &laquo; <em>informations de facturation, de cas d&rsquo;assurance, de rapports financiers, d&rsquo;audits, de comptes en banques</em> &raquo; auraient fuit&eacute;, de m&ecirc;me que des donn&eacute;es de certains clients comme Axa, Amazon, Boston Scientific, Facebook, Est&eacute;e Lauder, etc.</p>
<p>Selon nos confr&egrave;res, Carlson Wagonlit aurait fait comme Garmin : payer les pirates. Le montant de la ran&ccedil;on serait de 4,5 millions de dollars. La soci&eacute;t&eacute; n&rsquo;a &eacute;videmment pas fait de commentaire sur ce point.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Une panne de plusieurs heures chez Level 3/CenturyLink fait « planter » une partie des services sur Internet</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43434/une-panne-plusieurs-heures-chez-level3centurylink-fait-planter-partie-services-sur-internet</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Hier aux alentours de 12h30, le transitaire Level 3/CenturyLink a été victime d’un bug. <a href="https://twitter.com/CenturyLink/status/1300063983739772928" target="_blank" rel="noopener">Sur Twitter</a>, la société ne s’étend pas sur les détails, parlant simplement d’un problème « IP ». On a vu plus précis…</p>
<p>Comme nous l’avions récemment expliqué, un transitaire est un gestionnaire de réseaux internationaux chargés d’acheminer des données entre différentes parties du globe. Ils fournissent ainsi des « tuyaux » (de fibres optiques) pour faire circuler les données. Il est donc utilisé par des opérateurs plus petits pour toucher le monde entier.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30144/108821-on-vous-explique-simplement-comment-fonctionnent-tuyaux-dinternet" target="_blank" rel="noopener">On vous explique (simplement) comment fonctionnent les tuyaux d’Internet</a></li>
</ul>
<p>En cas de panne, les répercussions sont donc mondiales. En France c’était par exemple le cas de <a href="https://www.cloudflarestatus.com/incidents/hptvkprkvp23" target="_blank" rel="noopener">CloudFlare</a>, <a href="https://twitter.com/InfoAbonneCanal/status/1300108357123149825" target="_blank" rel="noopener">Canal+</a> et de <a href="https://status.scaleway.com/incident/956" target="_blank" rel="noopener">Scaleway</a> pour ne citer que ces trois-là. L‘hébergeur explique qu’il a retiré Level 3 de son « <em>mix de transitaires</em> », mais que des problèmes peuvent toujours survenir à cause de « <em>saturations sur d'autres transits</em> » ; le principe des vases communicants.</p>
<p>« <em>Nous avons fait ce que nous pouvions pour nous libérer des problèmes de Level3, mais comme leur réseau ne traite pas les <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Border_Gateway_Protocol" target="_blank" rel="noopener">mises à jour BGP</a>, il devient très difficile de contourner leur panne globale</em> », ajoute la société. Pour ne rien arranger, Level 3/CenturyLink est l’un des plus gros – si ce n’est le plus gros – <a href="https://twitter.com/nkgl/status/1300065699486982144">opérateurs de transit et CDN du monde</a>.</p>
<p>Scaleway indiquait qu’il « <em>semble y avoir un consensus mondial de la part des grands transitaires pour contourner le problème de leur côté, ils retirent maintenant Level 3 de leur peering. Nous devrions nous attendre à des améliorations de la connectivité</em> ». Finalement, c’est à 17h12 heure française que Level 3/CenturyLink <a href="https://twitter.com/CenturyLink/status/1300089110858797063" target="_blank" rel="noopener">annonce</a> un retour à la normale.</p>
<p>Espérons qu'un <em>post mortem</em> sera mis en ligne.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Fuite de données chez Orange Business Services (OBS)</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43433/fuite-donnees-chez-orange-business-services-obs</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>D&eacute;but juillet, cette division de l&rsquo;op&eacute;rateur d&eacute;di&eacute;e aux professionnels a &eacute;t&eacute; la cible d&rsquo;un ran&ccedil;ongiciel. Des donn&eacute;es ont pu &ecirc;tre d&eacute;rob&eacute;es. Orange a <a href="https://www.bleepingcomputer.com/news/security/orange-confirms-ransomware-attack-exposing-business-customers-data/" target="_blank" rel="noopener">confirm&eacute; l'information</a> et pr&eacute;cise que ses &eacute;quipes &laquo; <em>se sont imm&eacute;diatement mobilis&eacute;es pour identifier l'origine de cette attaque et ont mis en place toutes les solutions n&eacute;cessaires pour assurer la s&eacute;curit&eacute; de nos syst&egrave;mes</em> &raquo;.</p>
<p>Des donn&eacute;es de clients de l&rsquo;offre Le Forfait informatique (des bureaux virtualis&eacute;s) stock&eacute;es sur la plateforme Neocles ont &eacute;t&eacute; acc&eacute;d&eacute;es, mais &laquo; <em>aucun autre service n'a &eacute;t&eacute; affect&eacute;</em> &raquo;, affirme le groupe. &laquo; <em>Cependant, cette attaque semble avoir permis &agrave; des pirates d'acc&eacute;der aux donn&eacute;es d'une vingtaine de clients PRO/PME h&eacute;berg&eacute;s sur la plateforme</em> &raquo;.</p>
<p>L&rsquo;op&eacute;rateur affirme avoir contact&eacute; chacun d&rsquo;entre eux.&nbsp;</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Cyberattaque contre MMA, les services indisponibles pendant plusieurs jours</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43432/cyberattaque-contre-mma-services-indisponibles-pendant-plusieurs-jours</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <comments>https://www.nextinpact.com/article/43432/cyberattaque-contre-mma-services-indisponibles-pendant-plusieurs-jours#/page/1</comments>
                <description><![CDATA[<p>Quasiment en même temps que la fuite de donnée chez Orange, le groupe mutualiste MMA était la cible d’une cyberattaque. Sur Facebook, un premier message <a href="https://www.facebook.com/MMA.Assurances/posts/3278417752196397?__cft__[0]=AZUnSWeyWS-0-VY1esm35c29pCrPNOa0E_XolojZD8X66-51YYRUbO_RodT0ghc1wdHzxoFMuuwQ6qIElrC8SUZ19vuVFfWmJorMvRccZ6sMHmY4V6VflORRv-s4tWuV0jZHqTJXu8aK8q2GDmxA8szbSbSa_Og0_JMpXZoV3vuCsg&amp;__tn__=%2CO%2CP-R" target="_blank" rel="noopener">daté du 18 juillet</a> parlait d’un « <em>incident informatique</em> » entrainant une « <em>panne</em> ».</p>
<p>Mais la situation était plus grave. Deux jours plus tard, <a href="https://www.facebook.com/MMA.Assurances/posts/3283790794992426">des précisions</a> étaient données : « <em>MMA a subi une tentative d’acte malveillant qui a nécessité l’arrêt des systèmes informatiques à titre conservatoire entrainant des difficultés d'accessibilité  sur  le site mma.fr et sur l'ensemble de ses services de gestion</em> ». La CGT Covea affirme <a href="http://covea.reference-syndicale.fr/2020/07/27/attaque-informatique-chez-mma-suite/">sur cette page</a> qu’une « <em>rançon, dont le montant n’a pas été communiqué, a été réclamée mais n’a pas été payée par l’entreprise</em> ».</p>
<p>La situation n’est revenue à la normale qu’une dizaine de jours plus tard, dès le <a href="https://www.facebook.com/MMA.Assurances/posts/3315740191797486?__cft__[0]=AZU0K6N_Mxv4KgczDq8VvQuPG2HMcHzeL_HP8xYyLqSFY1fKhVgrk7fdYGudX5eFk0T3QJR-HcW71T1AnMTD4sB-lrxcOfnDv0Eyly2P1tOAPLyfo66s1gNm9knOwLYaO9_liBW7Eg7Lr5fw9-yLhCxFJEM9QAKqwRBDufb7WFdJKg&amp;__tn__=%2CO%2CP-R" target="_blank" rel="noopener">30 juillet</a>. Dans une réponse à un commentaire, l’assureur indiquait que, « <em>selon les informations qui</em> [lui] <em>ont été communiquées,</em> […] <em>aucune fuite de données n’a été constatée</em> ».</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Quand le DNS de CloudFlare plante, une partie d’Internet toussote</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43431/quand-dns-cloudflare-plante-partie-dinternet-toussote</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Mi-juillet, de nombreux sites étaient inaccessibles pendant quelques dizaines de minutes. Alors que certains pointaient du doigt les DNS de Google, c’est finalement ceux de CloudFlare qui étaient en cause.</p>
<p>Matthew Prince, directeur général de la société, a publié <a href="https://twitter.com/eastdakota/status/1284253034596331520" target="_blank" rel="noopener">un message sur Twitter</a> pour expliquer qu'il s'agissait d’une erreur sur un routeur à Atlanta (avec des conséquences mondiales). Il a été isolé et le trafic réacheminé en passant par des transitaires.</p>
<p>L’incident a duré environ une heure selon <a href="https://community.cloudflare.com/t/cloudflare-network-and-resolver-issues/190907" target="_blank" rel="noopener">cette page dédiée de CloudFlare</a>.</p> ]]></description>
                </item> <item>
                <title>Après son piratage, Twitter fait le point sur l’étendue des dégâts</title>
                <link>https://www.nextinpact.com/article/43430/apres-son-piratage-twitter-fait-point-sur-letendue-degats-notamment-sur-dm</link>
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                <pubDate>Mon, 31 Aug 2020 08:45:00 +0000</pubDate>
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                <description><![CDATA[<p>Mi-juillet, Twitter était la cible de pirates ayant réussi à prendre le contrôle de gros comptes officiels… via des outils internes. Un « god mod » qui a fait couler beaucoup d’encre d’autant qu’Apple, Barack Obama, Elon Musk, Jeff Bezos, Joe Biden et Uber étaient parmi les victimes.</p>
<ul>
<li><a href="https://www.nextinpact.com/article/30406/109170-piratage-gros-comptes-twitter-via-outils-internes" target="_blank" rel="noopener">Piratage de gros comptes Twitter… via les outils internes</a></li>
</ul>
<p><a href="https://www.nextinpact.com/lebrief/43348/13122-cyberattaque-twitter---le-fbi-enquete--130-comptes-cibles--mots-de-passe-non-accedes--quid-des-dm--">Deux jours plus tard</a>, le réseau social expliquait que 130 comptes avaient été ciblés par les pirates. Les mots de passe n’auraient pas été récupérés, mais une campagne de réinitialisation avait été lancée par précaution. L’enquête officielle était toujours en cours. Dans <a href="https://blog.twitter.com/en_us/topics/company/2020/an-update-on-our-security-incident.html" target="_blank" rel="noopener">un nouveau message</a>, la société détaille davantage l'attaque.</p>
<p>Des employés ont été victimes de phishing, ce qui a permis aux pirates d’accéder aux outils internes, mais pas de les utiliser dans un premier temps. Ils ont continué leur campagne de phishing jusqu’à obtenir des identifiants d’employés suffisamment habilités.</p>
<p>Trois personnes de 17, 19 et 22 ans soupçonnées d’être à l’origine du piratage ont été arrêtées. Le plus jeune serait le « cerveau » de la bande. Le bilan est salé et révèle que Twitter permet à des employés d’accéder et de publier au nom d’autres comptes : « <em>En utilisant les informations d’identification des employés ayant accès à ces outils, les attaquants ont ciblé 130 comptes Twitter, ont pu tweeter à partir de 45 d’entre eux, ont accédé aux DM de 36, et ont téléchargé une archive des données de 7</em> ».</p>
<p>Le service marche ensuite sur des œufs en expliquant que l’accès à ces outils est strictement limité et encadré… ce qui n'empêche pas les problèmes comme nous venons de le voir. Bien évidemment, l'équipe promet d’en renforcer la sécurité.</p> ]]></description>
                </item></channel></rss>
BenjaminINpact commented 3 years ago

Les flux rss ont été fix, merci de ton retour.