ghost
commented
7 years ago French 🇫🇷
[1st page]
Vous devez être déconnecté pour consulter cette page.
Déconnectez-vous pour continuer.
Activez le mode Avion.
[2nd page]
Page uniquement accessible sans Internet
temps de lecture : 2 minutes.
Vous voulez être productif ? Déconnectez-vous. Maintenir une connexion constante à Internet, c'est maintenir une connexion constante aux interruptions, à la fois externes et internes.
Les interruptions externes sont nombreuses et bien connues : vous recevez un nouveau message sur Gmail, Slack, Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat, LinkedIn. Vos amis, votre famille, vos collègues ou les spammeurs : chacun à un accès direct à votre précieuse attention.
Mais ce sont les distractions internes qui sont les plus pernicieuses. Vous pouvez désactiver les notifications de Twitter et vous déconnecter de Slack, mais comment empêcher votre propre esprit de vous distraire ?
J'ai passé des heures dans les méandres de ma propre curiosité. Vous savez... l'idée qui vous traverse l'esprit en une fraction de seconde ? C'est la plus dangereuse. "Quelle est la deuxième langue la plus fréquemment parlée ?" Ces 500 millisecondes peuvent changer votre journée, car ce n'est jamais qu'une recherche sur Google, jamais qu'une seule lecture sur Wikipédia. Se déconnecter d'Internet, c'est court-circuiter ces idées soudaines, vous permettant d'avancer sans encombre.
(C'est l'Espagnol, au passage.)
Cette page elle-même est une expérience dans cette veine : que se passe-t-il si certains contenus nous obligent à nous déconnecter ? Et si les lecteurs avaient accès à cette inestimable attention qui rend la lecture d'un roman si passionnante pendant des heures ? Et si les créateurs pouvaient coupler cela avec la puissance des nouvelles technologies ? Nos téléphones et nos ordinateurs portables sont des outils incroyables pour de nouveaux contenus — si seulement nous pouvions maîtriser notre propre attention.
Un contenu accessible hors ligne uniquement obligerait les créateurs à réfléchir différemment. Regardez cette page : il n'y a pas de lien pour distraire les lecteurs. Combien de bons articles avez-vous laissés en cours de lecture parce que vous avez suivi un lien attirant votre attention ? Lorsque vous n'avez plus Internet, vous êtes présent et attentif.
Je peux déjà entendre les critiques : "Mais je dois être en ligne pour mon travail." Peu importe. Prenez le temps. Je parie que ce qui vous valorise n'est pas votre capacité à effectuer une recherche sur Google, mais votre capacité à synthétiser l'information. Faites vos recherches en ligne; créer hors ligne.
Reconnectez-vous à présent. Mais n’oubliez pas de vous offrir occasionnellement une déconnexion.
Chris
Translated by Edouard Alvard
chrisbolin
firatdemirel
idokius
Iman-Mirzaei
israfil-miya
If you'd like Offline Only to be available in your language (but don't see it in the language dropdown), help me! Just translate the text below into your language and respond below.
Current Translations: ✅ French - translated by Kévin Zanon and Edouard Alvard ✅ Spanish - translated by Javier Blanco García-Lomas and Rodrigo Solís ✅ German - translated by Frank Dietrich ✅ Italian - translated by Emanuela Goldoni ✅ Russian - translated by Nik N ✅ Arabic - translated by Jamela Ray ✅ Turkish - translated by Fırat Demirel ✅ Hebrew - translated by עידוק ✅ Persian - translated by Iman Mirzaei and Nooshin Mohtasebi ✅ Bengali - translated by @gitpro10
[1st page]
You must go offline to view this page.
Disconnect to continue.
Enable Airplane Mode.
[2nd page]
Offline Only
2-minute read.
Do you want to be productive? Just go offline, because to maintain a constant connection to the internet is to maintain a constant connection to interruptions, both external and internal.
The external interruptions are legion and well documented: you have a new message on Gmail, Slack, Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat, LinkedIn. Friends, family, coworkers, and spammers: each have direct access to your precious attention.
But it’s the internal distractions that are truly pernicious. You can mute Twitter notifications and log off from Slack, but how do you stop your own mind from derailing you?
I have spent hours caught in webs of my own curiosity. Most dangerous is the split-second whim: “I wonder what the second most commonly spoken language is?” Those 500 milliseconds could change your day, because it's never just one Google search, never just one Wikipedia article. Disconnecting from the internet short-circuits those whims, allowing you to move on unencumbered.
(It’s Spanish, by the way.)
This page itself is an experiment in that vein: What if certain content required us to disconnect? What if readers had access to that glorious focus that makes devouring a novel for hours at a time so satisfying? What if creators could pair that with the power of modern devices? Our phones and laptops are amazing platforms for inventive content—if only we could harness our own attention.
Offline-only content would also force creators to think differently. Look at this page: there is not a single link to distract readers. How many good articles have you left half-read because you chased a shiny underlined link? When you are offline, right here is the only place you can be.
I can already hear the groans: “But I have to be online for my job.” I don’t care. Make time. I bet the thing that makes you valuable is not your ability to Google something but your ability to synthesize information. Do your research online; create offline.
Now back to your regularly scheduled internet. Just remember to give yourself an occasional gift of disconnection.
Translated by [your name here]