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## :globe_with_meridians: Translation status > _You will find more information about the translation in our [wiki](https://accelerateur-transition-ecologique-ademe.notion.site/Traduction-mod-le-5634c26ccf9b4d1e90840626227ca077?pvs=4)._ ### Rules | Language | Nb. missing translations | Status | |:--------:|:-------------------------|:------:| | _en_ |C'est prêt pour la review @JuliePouliquen :)
J'ai ajouté quelques trucs : basculé les parenthèses en desc pour une question de design (comme sur les sports par exemple), ajouté des notes. J'ai modifié la sugg "2 étages" côté taille du logement, qui ne me paraissait pas évidente. Je me suis dit que le plus simple était de rester sur un nombre de pièces.
Pour ce qui est de la réno, je me demande quand même :
- Beaucoup de gens ne savent pas si leur logement a été rénové dans les 25 dernières années. Qu'est-ce qui est juste de faire dans ce cas-là ? Et si on leur met quand même de la réno, est-ce que ça a du sens de poser la question ? Je suis confuse je sais, mais ça ne me semble pas si évident.
Oui pas évident je trouve Un peu lié à la question de "mes travaux ont été réalisés il y a 30 ans" donc normalement, c'est amorti ..
- Pour l'extension : attention à ne pas compter ces m² en doublon, ils sont probablement déjà dans l'empreinte de construction, sauf si le logement est ancien. Je pense qu'il faut qu'on ajoute une condition que c'est que si le logement est déjà amorti que ça rajoute cette empreinte-là.
Ah oui bien vu... C'est forcément dans l'empreinte de base .. Je vois du coup, je change
Oui pas évident je trouve Un peu lié à la question de "mes travaux ont été réalisés il y a 30 ans" donc normalement, c'est amorti ..
On peut peut-être tourner la question ainsi : "Si vous avez connaissance de travaux majeurs réalisés depuis 2000 dans votre logement, merci de les indiquer ici :" => Avec par défaut une réno second œuvre classique pour tous les logements de plus de 25 ans.
Qu'en dis-tu ?
Ah oui bien vu... C'est forcément dans l'empreinte de base .. Je vois du coup, je change
Pas forcément si le logement est ancien donc amorti. Si c'est le cas, on garde l'empreinte de construction que sur la partie extension.
Hello l'équipe ! Petite suggestion. Si je comprends bien ce qui est implémenté, on applique si age.logement > 10 ans le forfait rafraichissement amortie (40 kg/m2 / 10 ans). Quitte à avoir qqch d’attribuer automatiquement est-ce qu’on ne rajouterait pas une deuxième fois ce même forfait rafraichissement en fonction d'un autre seuil (30 ans ? 35 ans ?). Cela semble très probable pour un logement de plus de 30 ans, non ?
Petite suggestion. Si je comprends bien ce qui est implémenté, on applique si age.logement > 10 ans le forfait rafraichissement amortie (40 kg/m2 / 10 ans). Quitte à avoir qqch d’attribuer automatiquement est-ce qu’on ne rajouterait pas une deuxième fois ce même forfait rafraichissement en fonction d'un autre seuil (30 ans ? 35 ans ?). Cela semble très probable pour un logement de plus de 30 ans, non ?
Yes, le forfait de rafraichissement est implémenté mais il n'y a pas de plafond don il est toujours là pour les logements > 35 ans toujours avec un amortissement de 10 ans
On peut peut-être tourner la question ainsi : "Si vous avez connaissance de travaux majeurs réalisés depuis 2000 dans votre logement, merci de les indiquer ici :" => Avec par défaut une réno second œuvre classique pour tous les logements de plus de 25 ans.
Qu'en dis-tu ?
Tu changerais l'intitulé de la mosaique c'est ça ?
Pas forcément si le logement est ancien donc amorti. Si c'est le cas, on garde l'empreinte de construction que sur la partie extension.
Normalement c'est bon avec les derniers commits :)
On peut peut-être tourner la question ainsi : "Si vous avez connaissance de travaux majeurs réalisés depuis 2000 dans votre logement, merci de les indiquer ici :" => Avec par défaut une réno second œuvre classique pour tous les logements de plus de 25 ans.
Si je comprends biens, quelqu'un qui a fait des travaux (second oeuvre) il y a 5 ans, se verra attribué en plus un 2e second oeuvre si son logement a plus de 25 ans. On va peut être surestimé ici, non ? A l'inverse si aucun travaux n'est renseigné, que le logement est vieux (+ de 25 ans) et qu'on attribue rien on va probablement sous-estimé. Pas simple comme tu dis @JuliePouliquen .
Et pourquoi ne pas suivre la même règle sur les travaux de chauffage et l'isolation ?
il est toujours là pour les logements > 35 ans toujours avec un amortissement de 10 ans
Ce que je disais c'est que si le logement est très vieux ne faudrait pas envisager que le forfait rafraichissement inclue pas 1 mais 2 rafraichissements
Ce que je disais c'est que si le logement est très vieux ne faudrait pas envisager que le forfait rafraichissement inclue pas 1 mais 2 rafraichissements
Donc 2 rafraichissement amortis sur 10 ans en même temps ? La, actuelllement, c'est comme si un logement de plus de 10 ans était rafraichit à 1/10 de l'empreinte de rafraichissement tous les ans, peu importe l'age
Oui en quelque sorte. Je partais du principe (à tort peut être) qu'un logement de plus de 30/35 ans avait connu deux rafraichissements. Mais ça ne marche pas avec la formule je crois
Oui en quelque sorte. Je partais du principe (à tort peut être) qu'un logement de plus de 30/35 ans avait connu deux rafraichissements. Mais ça ne marche pas avec la formule je crois
Chaque rafraîchissement dure 10 ans et est amorti sur 10 ans. L'idée c'est que tu as toujours une part de rafraîchissement, sauf si ton logement a moins de 10 ans.
Si je comprends biens, quelqu'un qui a fait des travaux (second oeuvre) il y a 5 ans, se verra attribué en plus un 2e second oeuvre si son logement a plus de 25 ans. On va peut être surestimé ici, non ? A l'inverse si aucun travaux n'est renseigné, que le logement est vieux (+ de 25 ans) et qu'on attribue rien on va probablement sous-estimé. Pas simple comme tu dis
Mmmmm oui ça concernerait les logements qui ont entre 25 et 50 ans quoi. Ils auraient empreinte de construction + empreinte de second-œuvre. Donc un peu tarif. Non je dirais que le plus juste c'est que par défaut :
50 ans : empreinte de second-œuvre + rafraîchissement amorti
Ainsi on a un peu plus si le logement est "bof récent" et moins mais quand même pas rien s'il est vieux.
Bon, ça m'embête quand même que la personne ne puisse pas renseigner ses travaux effectués, on ne fait pas passer de messages dessus. Le problème c'est qu'en les ajoutant on fait un peu passer le message qu'il faut pas faire de travaux (vu que ça augmente l'empreinte). Il faudrait que les travaux, d'une certaine façon, améliorent l'empreinte (augmentation de la durée de vie du logement, non contribution à l'artificialisation des sols).
Je n'ai plus de jus de cerveau, je vais essayer d'y réfléchir à froid.
L'idée c'est que tu as toujours une part de rafraîchissement, sauf si ton logement a moins de 10 ans.
Oui c'est moi qui est mal compris la formule initiale
Bon, ça m'embête quand même que la personne ne puisse pas renseigner ses travaux effectués, on ne fait pas passer de messages dessus. Le problème c'est qu'en les ajoutant on fait un peu passer le message qu'il faut pas faire de travaux (vu que ça augmente l'empreinte). Il faudrait que les travaux, d'une certaine façon, améliorent l'empreinte (augmentation de la durée de vie du logement, non contribution à l'artificialisation des sols).
Une notif éventuellement ? Comme pour les biocarburants. Qui dirait ça augmente votre empreinte de construction mais qu'en retour cela a très certainement baissé d'une manière plus forte votre empreinte de chauffage (sauf si on est sur du second oeuvre)
Et je rajouterais que dans une éventuelle notif il faudrait aussi mentionner les effets rebond du genre "la rénov/isolation augmente votre empreinte mais diminue en retour probablement plus votre empreinte en diminuant la conso de chauffage sauf si vous avez augmenté la température de chauffe, c'est ce qu'on appelle l'effet rebond.
Dans mes souvenirs vous aviez un article de blog qui en parlait, non ? Celui sur la maladaptation peut être ?
En y réfléchissant, je trouve quand même que l'idée d'allonger la vie du logement s'il y a eu réno est intréressante, et donc passer d'un amortissement de 50 à 75 ans. C'est très logique, et cela vient alléger le tarif que se prennent les gens qui ont fait des rénovations. Message associé : "oui la réno a un coût carbone, mais la durée de vie de votre logement est allongée, et vous avez sûrement fait des gains significatifs de chauffage". Qu'en dites-vous ?
Ça donnerait ceci pour une maison de 100 m² des années 80 rénovée récemment (pour le foyer) :
Passer d'un amortissement de 50 à 75 ans
Je suis sceptique car en réalité les logements ne sont pas hors d'usage après 50 ans (ni même 75 ans d'ailleurs). L'amortissement est ici une simple règle comptable à l'inverse de ce qu'on peut faire avec équipements électro ou l'amortissement correspond plus ou moins à la durée de vie réelle. Du coup, changer la règle comptable me parait peu lisible et complexe à justifier vis à vis de la réalité "physique"
Après je t'avoue que j'ai pas de solution alternative. Et je comprends qu'il faut pas que ça soit mal interprété par les gens.
je pense qu'on touche ici à la limite du monocritère carbone qui ici tend à favoriser la non réalisation de travaux et par extension la construction neuve alors qu'en réalité si on regardait aussi la non artificialisation et le non étalement urbain (voir l'impact sur d'autres ressources comme l'eau ou le sable pour le béton des constructions neuves) la rénov serait bien plus bénéfique
Passer d'un amortissement de 50 à 75 ans
Je suis sceptique car en réalité les logements ne sont pas hors d'usage après 50 ans (ni même 75 ans d'ailleurs). L'amortissement est ici une simple règle comptable à l'inverse de ce qu'on peut faire avec équipements électro ou l'amortissement correspond plus ou moins à la durée de vie réelle. Du coup, changer la règle comptable me parait peu lisible et complexe à justifier vis à vis de la réalité "physique"
Ben dans les faits, un logement qui ne subit aucune amélioration pendant 50 ans, de facto, se détériore. En soi, on peut se dire que les 50 ans sont une forme de durée de vie du logement. Et elle est bien prolongée par la rénovation.
Si je fais l'analogie avec un four : si je l'entretiens, je le répare, j'en prends soin, il dure 20 ans au lieu de 10. J'ai prolongé sa vie par la réparation. Cela serait étrange de ne pas en tenir compte, non ? Et de dire que la réparation de ton lave-linge effectuée en année 8 a "juste" un coût écologique sans bénéfices associés (la prolongation de la vie de l'objet). Ce serait un message très contre-productif.
Ben dans les faits, un logement qui ne subit aucune amélioration pendant 50 ans, de facto, se détériore
Oui je suis d'accord. Mais je nuancerai en disant qu'un logement qui ne fait aucun travaux d'entretien n'est pas réellement hors d'usage mais juste inhabitable (car sale, humide, défraichi, etc.). Les travaux dont on parle ici sont plutôt "d'intérieur" en réalité (enfin il me semble) et non structurels (qui là pour moi ferait augmenter la durée de vie en assurant qu'ils ne s'effondre pas, etc.)
Oui je suis d'accord. Mais je nuancerai en disant qu'un logement qui ne fait aucun travaux d'entretien n'est pas réellement hors d'usage mais juste inhabitable (car sale, humide, défraichi, etc.). Les travaux dont on parle ici sont plutôt "d'intérieur" en réalité (enfin il me semble) et non structurels (qui là pour moi ferait augmenter la durée de vie en assurant qu'ils ne s'effondre pas, etc.)
La nuance n'est pas si évidente entre hors d'usage et inhabitable. J'avoue que je ne vois pas la différence. Un logement est un objet mécanique : il est hors d'usage jusqu'à ce qu'il soit totalement détruit, comme un vélo qui peut rester hors d'usage pendant des années avant que quelqu'un s'occupe de le réparer et remettre en service. Sinon, il se détériore progressivement jusqu'à mourir. Il y a un moment où on atteint un point de non-retour, où réhabiliter n'a plus aucun sens par rapport au fait de repartir de zéro (pareil pour le vélo). 50 ans sont une bonne estimation de cette finitude, il me semble, et c'est le point de départ de cet "amortissement - durée de vie". Mais du coup je trouve ça bizarre d'agir sur cette finitude et de ne pas en avoir de bénéfices. De la même manière qu'aujourd'hui on a une question "je fais attention à prolonger la vie de mes meubles" qui ajoute du temps d'amortissement.
Les travaux proposés sont de tout type, le second œuvre peut tout à fait inclure des travaux sur l'enveloppe du bâtiment, comme il arrive que ce soit le cas pour l'isolation (surtout l'ITE).
Sans travail de ce côté-là, le simulateur valorise à fond la construction de logements neufs... alors que d'un côté on amortit une émission du passé, sur laquelle on ne peut plus agir, et que de l'autre, on parle d'une émission potentielle, tout à fait évitable.
La nuance n'est pas si évidente entre hors d'usage et inhabitable. J'avoue que je ne vois pas la différence.
Oui c'est pas évident. Je suis d'accord avec ton raisonnement. C'est juste que dans ton exemple des 23500 rajoutés sur 25 ans on parle donc des travaux de seconde œuvre qui sont des travaux d'intérieurs que je considérais comme "du confort" en opposition aux travaux de gros œuvre qui assurent la structure du bâti. Je faisais donc une différence entre travaux de structure qui augmentent la durée de vie et travaux d'intérieurs qui sont de "confort" (même si je l'entends qu'il y a une limite à ce raisonnement car on ne peut pas vraiment exclure l'intérieur du logement quand on parle de durée de vie de ce dernier car on ne peut pas le laisser décrépir éternellement).
Donc pourquoi pas partir pour une augmentation de la durée avec les travaux de rénovation.
Sans travail de ce côté-là, le simulateur valorise à fond la construction de logements neufs... alors que d'un côté on amortit une émission du passé, sur laquelle on ne peut plus agir, et que de l'autre, on parle d'une émission potentielle, tout à fait évitable.
Complétement d'accord. D’où ma remarque sur la limite du monocritère.
Je faisais donc une différence entre travaux de structure qui augmentent la durée de vie et travaux d'intérieurs qui sont de "confort" (même si je l'entends qu'il y a une limite à ce raisonnement car on ne peut pas vraiment exclure l'intérieur du logement quand on parle de durée de vie de ce dernier car on ne peut pas le laisser décrépir éternellement).
Je ne suis pas sûre que la différence soit évidente, et que les travaux effectués sur le bâti (fondations, murs porteurs, toiture) soient si fréquents à faire.
J'ai implémenté les nouveaux calculs ! Modifications effectuées :
Ça a l'air de marcher, dans la doc c'est nickel. Ping @Clemog !
Je ne suis pas sûre que la différence soit évidente, et que les travaux effectués sur le bâti (fondations, murs porteurs, toiture) soient si fréquents à faire.
Oui c'est pour ça que je faisais la différence entre ces travaux structurels sur le bâti qui ne sont que très peu réalisés mais qui en contrepartie augmentent réellement la durée de vie (du moins dans ma compréhension des choses) des travaux d'intérieurs/second oeuvre.
Ajout d'une empreinte d'artificialisation des sols si logement < 10 ans
En revanche, je me questionne vraiment sur le forfait d'empreinte artificialisation car :
Edit : je rajouterai que l'ajout de ce forfait ne fait pas de différence entre des logements neufs construits en zone urbaine (réhabilitation de zone indus, zone délaissée et déjà imperméabilisée, etc.) qui n'artificialisent donc pas et ceux qui artificialisent réellement
Edit2 : en parcourant la Base Empreinte il y a bien une différence entre des CAS de type évolution du sol car exprimé en CO2eq/ha.an (ce qui représente que le stock de C du sol diminue progressivement pour se figer à un niveau plus bas) et CAS de type imperméabilisation car exprimé en CO2eq/ha (ce qui traduit la disparition du stock pur et simple). A priori donc on devrait pouvoir considérer que la décharge du stock en cas d'imperméabilisation d'un sol peut équivaloir à des "émissions" brutes (mais je ne comprends pas pourquoi l'ADEME met ça dans le CO2f). Reste :
En revanche, je me questionne vraiment sur le forfait d'empreinte artificialisation car :
* le communiqué de presse met en source ADEME/Citepa mais il s'agit en fait des FE de la Base Empreinte CAS (culture vers imperméabilisés = 190 et forêts/prairie vers imperméabilisés = 290) * et attention, cela me parait être une extension du domaine de l'empreinte qui porte non pas sur des émissions de GES mais sur la décharge d'un stock de carbone au préalable contenu dans le sol. Peut-on équivaloir l'un et l'autre ? Je vais à la pêche aux infos du côté de notre comu * je comprends qu'on veuille passer un message pour dire que la construction de logements neufs sont problématiques mais appliquer un tel forfait aux seuls logements de moins de 10 ans, c'est une différence de traitement majeur il me semble
Edit : je rajouterai que l'ajout de ce forfait ne fait pas de différence entre des logements neufs construits en zone urbaine (réhabilitation de zone indus, zone délaissée et déjà imperméabilisée, etc.) qui n'artificialisent donc pas et ceux qui artificialisent réellement
Bonne question. Très preneuse des retours de la commu. L'idée bien sûr était de "surtaxer" l'achat neuf. Mais dans les faits, quand on mélange des émissions passées amorties, cela n'a pas de sens... J'aimerais construire un parcours "déménagement" d'actions dans lequel on comprends qu'on a un choix d'émissions à faire et que l'amortissement et la vraie émission de carbone c'était un peu deux sujets.
On pourrait faire cohabiter deux empreintes : l'amortissement de cette année, et le "reste à amortir", pour montrer qu'en achetant neuf tu as remis une pièce dans la machine.
Bref, toujours la question du message à faire passer. Et en même temps, j'ai l'impression que d'un point de vue utilisateur, cette distinction du neuf / pas neuf pèse moins que "écologique" / "pas écologique" (pour les quelques retours utilisateurs qu'on a eu à ce niveau là.
Bref, je suis OK pour enlever cette empreinte d'artificialisation, mais je pense qu'en compensation, il faut être bons sur le message envoyé.
Je viens de relire ta proposition d'implémentation et je crois qu'il y a une coquille d'où la surestimation.
De plus c'est par m2 de sol imperméabilisé (et pas m2 du logement sauf dans le cas des maisons indiv qu'on peut considérer équivalent). Cela dessert largement la maison indiv (car une seule habitation) vis à vis du logement collectif (une copro de 100 lots prends bien moins de place que 100 maison indiv). Mais ça me parait logique et plutôt en accord avec les messages qu'on veut faire passer.
Après en corrigeant la coquille pour arriver à 19kgCO2/m2 artificialisé ça fait pour un foyer moyen en maison environ 2100 kgCO2e. In fine une fois amortie et réparti entre les membres du foyer c'est moins de 100kgCO2/personnne. Ce qui en fait un truc presque banal (encore plus si on applique la même règle à tous avec un lissage sur 50 ans).
Mais je te rejoins ici il y a un sujet à creuser pour "surtaxer" le neuf mais j'ai l'impression qu'on se heurte encore à la limite du monocritère carbone. L'idée d'un parcours "déménagement" est intéressante pour justement changer de vision et arrêter de prendre en compte les émissions du passées et "construire/planifier" son empreinte future.
On pourrait faire cohabiter deux empreintes : l'amortissement de cette année, et le "reste à amortir", pour montrer qu'en achetant neuf tu as remis une pièce dans la machine.
Tu parles dans un éventuel parcours déménagement ou en général ? Car si c'est en général on devrait en théorie faire ça pour le reste du bati voire les équipements durables ?
Et en même temps, j'ai l'impression que d'un point de vue utilisateur, cette distinction du neuf / pas neuf pèse moins que "écologique" / "pas écologique" (pour les quelques retours utilisateurs qu'on a eu à ce niveau là.
Tu veux dire que les gens ne font pas rentrer ce sujet dans la classification "ecolo"/"pas écolo". Ce qui ne m'étonnerait pas car, à l'exception des maisons indiv, on peut se dire que "ce n'est pas moi qui est choisi de construire cette résidence".
Et pour revenir sur la question de la décharge du stock en parcourant la doc Aldo qui est chez vous ^^
Pour les changements générant l'atteinte rapide d'un équilibre, par exemple l'artificialisation des sols, la suppression de biomasse, ... le flux unitaire annuel est considéré instantané (1 an) et appliqué l'année du changement d'occupation du sol et correspond à la différence entre le stock état final et le stock état initial.
On peut donc raisonnablement équivaloir cette décharge d'un stock sur une année comme une "émission" ponctuelle
Hello @Benjamin-Boisserie-ABC,
Je comprends tes réticences pour le forfait d'artificialisation des sols. Néanmoins, je ne vois pas la différence avec, par exemple, la déforestation importée. On est, dans les deux cas, sur la prise en compte de l'impact de nos activités / usages sur la disparition de puits de carbone, non ? Preneuse des retours de la communauté !
On pourrait mieux l'évaluer au niveau national par contre que ce 190 tonnes par hectare, qui est effectivement une grosse approximation à l'échelle des logements neufs.
Oh la la erreur de frappe, j'avais bien 19 kg en tête par m². Je corrige en attendant d'arbitrer. J'ai l'impression qu'il serait bien qu'on se fasse un call, je me suis un peu perdue dans la conversation :D !
Oui c'est peut être mieux qu'on s'appelle car au final je suis plutôt pour maintenant que c'est pas presque 800 kg en approche moyenne ^^. Quand je dis "banal" dans mon message c'est pour dire "les gens vont pas forcément considérer ça comme qqch d'importance alors que ça l'est"
Bref, faut juste trouver le meilleur moyen de mettre ça en avant @JuliePouliquen
Tu es sure que ça fonctionne ?
J'ai l'impression qu'on n'a pas forcément la bonne logique :
logement . construction . rénovation . travaux . choix utilisateur
sera a true dès qu'on sélectionnera (ou non) une des options. Si tout est à non
, le choix utilisateur doit être un non aussi. Et je pense que le nommage n'est pas optimal car il se rapproche de la logique de choix utilisateur a d'autres endroits dans la code ou on veut justement savoir si la variable a été saisie, peu importe sa valeurJe vais tester également mais pour que ce soit plus simple pour tester, une technique peut etre de remplacer une valeur par défaut d'une option de la mosiaque par exemple en mettant valeur: xxx
pour voir l'effet de la sélection de cette option sur la valeur calculée
Spec - Revue FE Construction logement