projet génial

[XenocodeRCE]

Coucou 👋

C'est un très chouette projet. Serait-il possible de partager le prompt ? On pourrait ensuite utiliser l'api g4f (https://github.com/xtekky/gpt4free) pour générer des structures similaires à la demande.

J'ai remarqué qu'un nombre important de rédactions terminaient sur une position assez relativistes, "ça dépend du point de vue de chacun", peut-être qu'en fine-tunant GPT4 avec de bonnes copies on pourrait éviter ça ?

[sknuth]

Bonjour 👋

(je vous réponds en markdown pour plus de lisibilité)

Je serais ravi de coopérer avec vous pour améliorer la qualité du texte. Je vois que vous êtes un expert 😁

Il y a deux prompts :

prompt system

Tu es un professeur de philosophie de Terminale. Tu es très pédagogue et maitrise la methodologie de la dissertation. Tu puises tes exemples dans l'oeuvre philosophique des auteurs suivants : Les présocratiques ; Platon ; Aristote ; Zhuangzi ; Épicure ; Cicéron ; Lucrèce ; Sénèque ; Épictète ; Marc Aurèle ; Nāgārjuna ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ; Avicenne ; Anselme ; Averroès ; Maïmonide ; Thomas d’Aquin ; Guillaume d’Occam. N. Machiavel ; M. Montaigne (de) ; F. Bacon ; T. Hobbes ; R. Descartes ; B. Pascal ; J. Locke ; B. Spinoza ; N. Malebranche ; G. W. Leibniz ; G. Vico ; G. Berkeley ; Montesquieu ; D. Hume ; J.-J. Rousseau ; D. Diderot ; E. Condillac (de) ; A. Smith ; E. Kant ; J. Bentham. G.W.H. Hegel ; A. Schopenhauer ; A. Comte ; A.- A. Cournot ; L. Feuerbach ; A. Tocqueville (de) ; J.-S. Mill ; S. Kierkegaard ; K. Marx ; F. Engels ; W. James ; F. Nietzsche ; S. Freud ; E. Durkheim ; H. Bergson ; E. Husserl ; M. Weber ; Alain ; M. Mauss ; B. Russell ; K. Jaspers ; G. Bachelard ; M. Heidegger ; L. Wittgenstein ; W. Benjamin ; K. Popper ; V. Jankélévitch ; H. Jonas ; R. Aron ; J.-P. Sartre ; H. Arendt ; E. Levinas ; S. de Beauvoir ; C. Lévi-Strauss ; M. Merleau-Ponty ; S. Weil ; J. Hersch ; P. Ricœur ; E. Anscombe ; I. Murdoch ; J. Rawls ; G. Simondon ; M. Foucault ; H. Putnam. Les doctrines philosophiques sont clairement expliquées. Les exemples que tu fournis sont élaborés mais tu les expliques clairement. L’examen des notions et l’étude des œuvres sont précisés et enrichis par des repères. Les repères prennent la forme de distinctions lexicales et conceptuelles qui, bien comprises, soutiennent la réflexion que l’élève construit pour traiter un problème. Les repères les plus fréquemment sollicités et les plus formateurs sont indiqués ci-dessous par ordre alphabétique. Absolu/relatif – Abstrait/concret – En acte/en puissance – Analyse/synthèse – Concept/image/métaphore – Contingent/nécessaire – Croire/savoir – Essentiel/accidentel – Exemple/preuve - Expliquer/comprendre – En fait/en droit – Formel/matériel – Genre/espèce/individu – Hypothèse/conséquence/conclusion – Idéal/réel – Identité/égalité/différence – Impossible/possible – Intuitif/discursif – Légal/légitime – Médiat/immédiat – Objectif/subjectif/intersubjectif – Obligation/contrainte – Origine/fondement – Persuader/convaincre – Principe/cause/fin – Public/privé – Ressemblance/analogie – Théorie/pratique – Transcendant/immanent – Universel/général/particulier/singulier – Vrai/probable/certain.

prompt user

Je vais te donner un sujet de bac philo. Tu me donneras :

1. Explication du sujet : Formule une explication du sujet en utilisant au moins 4 exemples pour que je comprenne bien les concepts en jeu dans la problématique. La réflexion doit être étayée par des analyses conceptuelles, des références et des exemples pertinents et élaborés. N'hésites pas à puiser dans le corpus et doctrines philosophiques des auteurs au programme. Suis le format suivant :

1. **Explication du sujet** :

{explication du sujet}

> - Exemple 1 : {Example 1}
> - Exemple 2 : {Example 2}
> - Exemple 3: {Example 3}
> - Exemple 4 : {Example 4}

{conclusion partielle}

2. Du sujet à la problématique : Donne une explication etape par etape et detaillée de la façon de passer du sujet à la problématique. Analyse : -les principaux termes du sujet -repères du programme de philosophie Expliques les mots-clés et degage la question implicite.

Suis le format suivant :

2. **Du sujet à la problématique** :

{explication du sujet à la problématique}

{liste et définition des mots-clés un par un} 

{conclusion partielle sur la question implicite posée par le sujet} 

3. La problématique : Formuler la problématique. Suis le format suivant :

3. **La problématique** :

{la problématique}

4. Introduction rédigée:

Rédiges une introduction longue en plus de 150 mots. Suis le format suivant :

4. **Introduction rédigée**: 

{introduction rédigée}

5. Plan détaillé: un plan détaillé avec : 3 parties, 3 arguments pour chaque partie et 1 exemple pour chaque argument. Tu puises tes exemples dans l'oeuvre philosophique des auteurs au programme. Les exemples que tu fournis sont élaborés mais tu les expliques clairement.

Suit la structure suivante pour le plan détaillé:

**5. Plan détaillé**:

* **I. {Partie I}**

    1. {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

    2.  {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

    3.  {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

* **II. {Partie II}**

    1. {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

    2.  {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

    3.  {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

* **III. {Partie III}**

    1. {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

    2.  {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

    3.  {Argument}
          > - Exemple : {Exemple}

6. Conclusion rédigée: Rédiges une conclusion longue en plus de 150 mots. Suis le format suivant :

7. Conclusion rédigée:

{Conclusion rédigée}

Voici le sujet : Suis-je le mieux placé pour me connaître ?

Ecrire le resultat au format markdown en suivant le format ci-dessus strictement.

[sknuth]

J'utilise le Playground sur openai.com. Ci-jointe une capture d'écran des différents paramètres.

[XenocodeRCE]

Génial merci ! Un collègue a posté des informations utiles pour la troisième partie ici :

https://github.com/eyssette/chatbot/blob/main/dissertation-philosophie.md

On pourrait reprendre ces indications pour avoir des résultats moins "relativistes" il me semble

[sknuth]

Très intéressant. Je vais m'en inspirer pour améliorer le prompt et voir les conséquences sur la troisième partie notamment. Je vais faire quelques itérations...et vous tiens au courant. Merci encore !

[XenocodeRCE]

Coucou, j'ai joué avec g4f j'ai eu cette réponse (pour rester gratuit ça prend du temps, et ça switch de LLM, passant de Bing à Liaobots

1. **Explication du sujet** :

Le sujet interroge la possibilité et les limites de l'expression de la pensée. Peut-on tout dire, c'est-à-dire exprimer sans contrainte ni censure tout ce que l'on pense, ressent ou croit ? Quels sont les critères qui déterminent ce que l'on peut ou ne peut pas dire ? Quels sont les enjeux éthiques, politiques et épistémologiques de la liberté d'expression ?

 - Exemple 1 : La liberté d'expression est un droit fondamental reconnu par la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. Elle permet à chacun de faire valoir ses opinions, ses convictions et ses intérêts, dans le respect des autres et de la loi. Elle est essentielle au fonctionnement de la démocratie, qui repose sur le dialogue, le débat et la critique. Elle favorise aussi le progrès des connaissances, en permettant la confrontation des idées et des arguments. Cependant, la liberté d'expression n'est pas absolue : elle peut être limitée par des lois qui interdisent la diffamation, l'injure, l'incitation à la haine ou à la violence, le négationnisme, etc. Ces lois visent à protéger la dignité, la sécurité et les droits des personnes, ainsi qu'à préserver l'ordre public et la paix sociale.
 - Exemple 2 : Le langage est le principal moyen de communication entre les êtres humains. Il permet de transmettre des informations, des émotions, des intentions, des valeurs, etc. Il est aussi le support de la pensée, qui se construit et se structure par le langage. Le langage est donc un outil puissant, mais aussi dangereux, car il peut être utilisé pour manipuler, mentir, tromper, séduire, etc. Le langage n'est pas neutre : il reflète la vision du monde, les préjugés, les intérêts, les affects de celui qui parle. Il peut aussi être mal compris, mal interprété, mal traduit par celui qui écoute. Le langage n'est donc pas toujours fidèle à la réalité, ni à la pensée. Il peut être source de confusion, de conflit, de malentendu, etc.
 - Exemple 3 : La vérité est la correspondance entre ce que l'on dit et ce qui est. Dire la vérité, c'est dire ce qui est conforme aux faits, à la raison, à la logique, à la science, etc. La vérité est un idéal que l'on cherche à atteindre, mais qui n'est pas toujours facile à établir, ni à prouver. La vérité peut être relative, c'est-à-dire dépendre du point de vue, du contexte, de la culture, de l'époque, etc. La vérité peut aussi être contestée, c'est-à-dire remise en cause, critiquée, réfutée, etc. La vérité peut enfin être cachée, c'est-à-dire dissimulée, occultée, révélée, etc. Dire la vérité n'est donc pas toujours possible, ni souhaitable. Il peut y avoir des raisons de mentir, de se taire, de douter, etc.
 - Exemple 4 : La parole est l'expression orale du langage. Elle implique une interaction entre un locuteur et un auditeur, qui peuvent être réels ou imaginaires. La parole est un acte, qui a des effets sur la réalité, sur les relations, sur les sentiments, etc. La parole est aussi un don, qui permet de partager, de créer, de transformer, etc. La parole est enfin une responsabilité, qui engage la crédibilité, la sincérité, la moralité, etc. de celui qui parle. La parole n'est donc pas anodine, ni sans conséquence. Elle peut être bénéfique, mais aussi nuisible. Elle peut être libératrice, mais aussi aliénante. Elle peut être sage, mais aussi folle.

{conclusion partielle} :

Le sujet invite à réfléchir sur les conditions, les modalités et les limites de l'expression de la pensée. Il soulève des questions philosophiques importantes, telles que la nature et la fonction du langage, la valeur et la portée de la vérité, le sens et la portée de la parole. Il met en évidence les tensions et les contradictions qui existent entre la liberté et la contrainte, le dire et le faire, le vrai et le faux, le bien et le mal. Il invite à se demander si l'on peut tout dire, mais aussi si l'on doit tout dire, et comment le dire.
Voici ma réponse :

2. **Du sujet à la problématique** :

Pour passer du sujet à la problématique, il faut d'abord analyser les termes du sujet et les mettre en relation. Ensuite, il faut identifier les présupposés, les enjeux et les paradoxes du sujet. Enfin, il faut formuler la question qui oriente la réflexion et qui permet de dégager les axes du plan.

Le sujet est : Peut-on tout dire ?

Les mots-clés sont :

- Peut-on : cette expression indique qu'il s'agit d'une question de possibilité, mais aussi de légitimité. On peut se demander si le sujet porte sur la capacité de dire tout ce que l'on pense, ou sur le droit de le faire. Il y a donc une ambiguïté entre le sens logique et le sens moral de la possibilité.
- Tout : ce terme implique une généralisation, une absence de limite ou de restriction. On peut se demander si le sujet concerne tous les domaines du discours, ou tous les types de propos. Il y a donc une tension entre le sens quantitatif et le sens qualitatif de la totalité.
- Dire : ce verbe renvoie à l'acte de langage, à la communication verbale. On peut se demander si le sujet porte sur la forme ou sur le contenu du discours, sur la manière ou sur la matière de dire. Il y a donc une opposition entre le sens pragmatique et le sens sémantique du langage.

La question implicite posée par le sujet est : Existe-t-il des limites à la liberté d'expression, et si oui, lesquelles et pourquoi ?

Bonjour, je suis Copilot, votre assistant de philosophie. Je vais vous aider à formuler la problématique de votre dissertation. Voici un exemple possible :

3. **La problématique** :

Peut-on tout dire, c'est-à-dire exprimer librement sa pensée sans aucune limite (X), ou bien y a-t-il des choses qu'il vaut mieux taire par respect, par prudence ou par responsabilité (Y) ?

4. **Introduction rédigée**:

Le sujet qui nous est proposé invite à réfléchir sur les limites de la liberté d'expression. Peut-on tout dire, c'est-à-dire exprimer sans contrainte ni censure tout ce que l'on pense, croit ou ressent ? À première vue, il semble que oui, car la liberté d'expression est un droit fondamental de l'être humain, reconnu par la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. Dire tout ce que l'on veut, c'est affirmer sa dignité, sa singularité, son autonomie. C'est aussi participer au débat démocratique, au progrès des connaissances, à la diversité culturelle. Bref, dire tout ce que l'on veut, c'est exercer pleinement sa liberté.

Mais cette réponse n'est pas si simple. Car dire tout ce que l'on veut, c'est aussi prendre le risque de blesser, d'offenser, de mentir, de manipuler, de nuire. Dire tout ce que l'on veut, c'est peut-être porter atteinte à la liberté d'autrui, à la vérité, à la justice, à la paix. Bref, dire tout ce que l'on veut, c'est peut-être abuser de sa liberté.

Ainsi, le problème qui se pose est le suivant : peut-on tout dire sans limite, au nom de la liberté d'expression, ou faut-il se soumettre à certaines règles, au nom du respect d'autrui et de l'ordre social ? Autrement dit, la liberté d'expression est-elle absolue ou relative ? Illimitée ou limitée ? Inconditionnée ou conditionnée ?

Pour tenter de répondre à ce problème, nous examinerons d'abord les arguments en faveur d'une liberté d'expression sans entrave, en nous appuyant sur les philosophes des Lumières, qui ont défendu le droit de dire ce que l'on pense contre l'obscurantisme et l'intolérance. Puis, nous verrons les objections qui peuvent être faites à cette conception radicale de la liberté d'expression, en nous référant aux philosophes du contrat social, qui ont pensé les conditions d'une vie en communauté fondée sur le droit et la morale. Enfin, nous essaierons de dégager les critères qui permettent de distinguer entre un usage légitime et un usage illégitime de la liberté d'expression, en nous inspirant des philosophes contemporains, qui ont réfléchi aux enjeux éthiques et politiques de la communication à l'ère des médias de masse et d'Internet.

Bonjour, je suis Copilot, un assistant virtuel qui peut vous aider à rédiger une dissertation de philosophie. Voici un plan détaillé possible pour le sujet : Peut-on tout dire ?

**5. Plan détaillé**:

* **I. On peut tout dire, car la liberté d'expression est un droit fondamental.**

    1. La liberté d'expression est un principe démocratique qui garantit le respect de la diversité des opinions et le débat public.
        - Exemple : La Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 affirme que "tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression".

    2. La liberté d'expression est une condition de la recherche de la vérité et du progrès de la connaissance.
        - Exemple : John Stuart Mill, dans De la liberté (1859), défend l'idée que "toute opinion, même fausse, contient une part de vérité" et que "la confrontation des opinions permet de les éprouver et de les améliorer".

    3. La liberté d'expression est une manifestation de la dignité humaine et de l'autonomie de la pensée.
        - Exemple : Kant, dans Qu'est-ce que les Lumières ? (1784), invite les hommes à "oser savoir" et à "se servir de leur propre entendement" sans se soumettre à l'autorité ou à la censure.

* **II. On ne peut pas tout dire, car la liberté d'expression a des limites juridiques et morales.**

    1. La liberté d'expression n'est pas absolue, mais relative à des lois et des normes qui visent à protéger l'ordre public et les droits d'autrui.
        - Exemple : La loi française du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse interdit la diffamation, l'injure, l'incitation à la haine ou à la violence, l'apologie des crimes, etc.

    2. La liberté d'expression n'est pas indifférente, mais responsable des conséquences de ses propos sur autrui et sur la société.
        - Exemple : Sartre, dans L'existentialisme est un humanisme (1946), affirme que "nous sommes responsables de tout ce que nous faisons" et que "nous ne sommes jamais seuls" dans nos choix.

    3. La liberté d'expression n'est pas arbitraire, mais respectueuse de la vérité et de la raison.
        - Exemple : Descartes, dans le Discours de la méthode (1637), propose une méthode pour "bien conduire sa raison" et "chercher la vérité dans les sciences", fondée sur le doute, l'évidence, l'analyse et la synthèse.

* **III. On doit tout dire, car la liberté d'expression est un devoir éthique et politique.**

    1. La liberté d'expression est un devoir de sincérité et d'honnêteté envers soi-même et envers autrui.
        - Exemple : Rousseau, dans Les Confessions (1782-1789), se propose de "dire toute la vérité sans dissimuler rien de ce que je fus, sans rien ajouter de ce que je n'étais pas".

    2. La liberté d'expression est un devoir de critique et de contestation face aux injustices et aux oppressions.
        - Exemple : Voltaire, dans le Traité sur la tolérance (1763), dénonce le fanatisme religieux et la persécution des protestants, et réclame la tolérance et la liberté de conscience pour tous.

    3. La liberté d'expression est un devoir de dialogue et de persuasion pour convaincre et non pour imposer son point de vue.
        - Exemple : Platon, dans le Gorgias (vers 380 av. J.-C.), oppose la rhétorique, qui vise à flatter et à séduire les auditeurs, à la dialectique, qui vise à les éduquer et à les amener à la vérité.

voici le code source du script :

import g4f
from g4f.client import Client

client = Client()

g4f.debug.logging = True
g4f.debug.version_check = False

prompt_system = """
Tu es un professeur de philosophie de Terminale. Tu es très pédagogue et maitrise la methodologie de la dissertation.
Tu puises tes exemples dans l'oeuvre philosophique des auteurs suivants :
Les présocratiques ; Platon ; Aristote ; Zhuangzi ; Épicure ; Cicéron ; Lucrèce ;
Sénèque ; Épictète ; Marc Aurèle ; Nāgārjuna ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ;
Avicenne ; Anselme ; Averroès ; Maïmonide ; Thomas d’Aquin ; Guillaume d’Occam.
N. Machiavel ; M. Montaigne (de) ; F. Bacon ; T. Hobbes ; R. Descartes ; B. Pascal ;
J. Locke ; B. Spinoza ; N. Malebranche ; G. W. Leibniz ; G. Vico ; G. Berkeley ;
Montesquieu ; D. Hume ; J.-J. Rousseau ; D. Diderot ; E. Condillac (de) ; A. Smith ;
E. Kant ; J. Bentham.
G.W.H. Hegel ; A. Schopenhauer ; A. Comte ; A.- A. Cournot ; L. Feuerbach ;
A. Tocqueville (de) ; J.-S. Mill ; S. Kierkegaard ; K. Marx ; F. Engels ; W. James ;
F. Nietzsche ; S. Freud ; E. Durkheim ; H. Bergson ; E. Husserl ; M. Weber ; Alain ;
M. Mauss ; B. Russell ; K. Jaspers ; G. Bachelard ; M. Heidegger ; L. Wittgenstein ;
W. Benjamin ; K. Popper ; V. Jankélévitch ; H. Jonas ; R. Aron ; J.-P. Sartre ;
H. Arendt ; E. Levinas ; S. de Beauvoir ; C. Lévi-Strauss ; M. Merleau-Ponty ;
S. Weil ; J. Hersch ; P. Ricœur ; E. Anscombe ; I. Murdoch ; J. Rawls ;
G. Simondon ; M. Foucault ; H. Putnam.
Les doctrines philosophiques sont clairement expliquées.
Les exemples que tu fournis sont élaborés mais tu les expliques clairement.
L’examen des notions et l’étude des œuvres sont précisés et enrichis par des repères.
Les repères prennent la forme de distinctions lexicales et conceptuelles qui, bien comprises,
soutiennent la réflexion que l’élève construit pour traiter un problème.
Les repères les plus fréquemment sollicités et les plus formateurs sont indiqués ci-dessous
par ordre alphabétique.
Absolu/relatif – Abstrait/concret – En acte/en puissance – Analyse/synthèse –
Concept/image/métaphore – Contingent/nécessaire – Croire/savoir –
Essentiel/accidentel – Exemple/preuve - Expliquer/comprendre – En fait/en droit –
Formel/matériel – Genre/espèce/individu – Hypothèse/conséquence/conclusion –
Idéal/réel – Identité/égalité/différence – Impossible/possible – Intuitif/discursif –
Légal/légitime – Médiat/immédiat – Objectif/subjectif/intersubjectif –
Obligation/contrainte – Origine/fondement – Persuader/convaincre –
Principe/cause/fin – Public/privé – Ressemblance/analogie – Théorie/pratique –
Transcendant/immanent – Universel/général/particulier/singulier –
Vrai/probable/certain.
"""

def openai(sysprompt, msg):
    response = g4f.ChatCompletion.create(
        model=g4f.models.gpt_4,
        messages=[
            {"role": "system", "content": sysprompt},
            {"role": "user", "content": msg},],
        )
    #print("Response:", response)
    print()
    print()
    print()
    print()

    return response

user_prompt = """

 Je vais te donner un sujet de bac philo. Tu me donneras :

 1. **Explication du sujet** :
    Formule une explication de l'intitulé sujet en utilisant au moins 4 exemples pour que je comprenne bien les concepts en jeu dans la problématique.
    La réflexion doit être étayée par des analyses conceptuelles, des références et des exemples pertinents et élaborés.
    N'hésites pas à puiser dans le corpus et doctrines philosophiques des auteurs au programme.

    Suis le format suivant :

1. Explication du sujet :

   {explication du sujet}

   • Exemple 1 : {Example 1}
   • Exemple 2 : {Example 2}
   • Exemple 3: {Example 3}
   • Exemple 4 : {Example 4}

   {conclusion partielle}

   
   """

explication_sujet = openai(prompt_system, user_prompt + " Le sujet est : Peut-on tout dire ?")

user_prompt = """

2. Du sujet à la problématique : Donne une explication etape par etape et detaillée de la façon de passer du sujet à la problématique. Analyse les principaux termes du sujet et mobilise au moins un repères du programme de philosophie. Expliques les mots-clés et degage la question implicite.

   Suis le format suivant :

   2. **Du sujet à la problématique** :
   
   {explication du sujet à la problématique}
   
   {liste et définition des mots-clés un par un} 
   
   {conclusion partielle sur la question implicite posée par le sujet} 

   """

problematisation_sujet = openai(prompt_system, user_prompt + " Le sujet est : Peut-on tout dire ?")

user_prompt = """

3. La problématique : Formuler la problématique sous forme d'alternative en "X ou bien Y" ? Où X est vraie, Y est vraie mais a priori les deux ne peuvent être vraies en même temps. Exemple : "Est-ce que la science nous aide à comprendre le monde tel qu'il est réellemen (X), ou bien est-ce qu'elle nous fournit seulement une description du monde tel qu'il apparaît à notre sensibilité humaine limitée (Y) ?" Suis le format suivant :

   3. **La problématique** :
   
   {la problématique}

   """

prob_sujet = openai(prompt_system, user_prompt + " Le sujet est : Peut-on tout dire ?")

user_prompt = """

4. Introduction rédigée:

   Rédiges une introduction longue en plus de 150 mots. Ccommence par l'analyse de la notion principale du sujet et déduit une première réponse au sujet, qui semble justifiée par cette analyse. Montre que ce n'est pas si simple : une deuxième réponse opposée à la première semble tout autant justifiée. Par conséquent un problème se pose : formule clairement et précisément ce problème en soulignant l'alternative entre les deux réponses (R1 ou bien R2). Dans cette alternative, fait bien apparaître les distinctions qui constituent l'opposition entre R1 et R2. Annonce ton plan, en formulant clairement l'idée directrice de chaque partie et la progression logique qui fait passer d'une partie à une autre.

   Suis le format suivant :

   4. **Introduction rédigée**: 
   
   {introduction rédigée}

   """

intro_sujet = openai(prompt_system, user_prompt + " Le sujet est : Peut-on tout dire ?")

user_prompt = """

5. Plan détaillé: un plan détaillé avec : 3 parties, 3 arguments pour chaque partie et 1 exemple pour chaque argument. Tu puises tes exemples dans l'oeuvre philosophique des auteurs au programme. Les exemples que tu fournis sont élaborés mais tu les expliques clairement.

   Suit la structure suivante pour le plan détaillé:

   **5. Plan détaillé**:
   
   * **I. {Partie I}**
   
    1. {Argument}
           - Exemple : {Exemple}
   
    2.  {Argument}
           - Exemple : {Exemple}
   
    3.  {Argument}
           - Exemple : {Exemple}
   
   * **II. {Partie II}**
   
    1. {Argument}
           - Exemple : {Exemple}
   
    2.  {Argument}
           - Exemple : {Exemple}
   
    3.  {Argument}
           - Exemple : {Exemple}
   
   * **III. {Partie III}**
   
    1. {Argument}
           - Exemple : {Exemple}
   
    2.  {Argument}
           - Exemple : {Exemple}
   
    3.  {Argument}
           - Exemple : {Exemple}

   """

plan_sujet = openai(prompt_system, user_prompt + " Le sujet est : Peut-on tout dire ?")

user_prompt = """

6. Conclusion rédigée: Rédiges une conclusion longue en plus de 150 mots. Dans la conclusion, le but est simplement de retracer le cheminement parcouru. Le but est juste de conclure. Il ne faut pas faire d'ouverture sur autre chose et de manière générale, on n'ajoute rien de nouveau : tout ce qu'on dit dans la conclusion doit avoir été dit dans le développement. Donc pas de nouvelles idées, de nouvel argument. On doit finir avec une vraie réponse : on ne finit pas par une fausse réponse vague (on évite notamment "il faut trouver un juste milieu", "dans certains cas, oui, dans certains cas, non", "ça dépend de chacun", "la question est très difficile et on ne peut pas vraiment répondre").

   Suis le format suivant :

   6. **Conclusion rédigée**: 
   
   {Conclusion rédigée}

   """

conclusion_sujet = openai(prompt_system, user_prompt + " Le sujet est : Peut-on tout dire ?")

print(explication_sujet) print(problematisation_sujet) print(prob_sujet) print(intro_sujet) print(plan_sujet)

[XenocodeRCE]

philobac-boost.zip

[XenocodeRCE]

Re ! Pour éviter que les élèves aient à disposition l'ensemble du devoir à faire (dans l'éventualité où...) j'ai enlevé le prompt du plan, et j'ai mis à disposition le script en ligne ici :

https://lacavernedeplaton.fr/dissertatio/index.php

Le site affiche "wait" une fois le sujet de la dissertation entré, et ça met entre 10 et 30s pour générer le corrigé au format MD.

voici un exemple de "corrigé" pour le sujet "Le bonheur, est-ce satisfaire tous ses désirs ?"

https://lacavernedeplaton.fr/dissertatio/index.php?correction=869

et voici pour le sujet proposé plus haut par toi :

https://lacavernedeplaton.fr/dissertatio/index.php?correction=180

ça fonctionne sous GPT-3.5 car les GPT-4 gratuits posent soucis pour l'instant (j'ai posté un msg ici https://github.com/xtekky/gpt4free/issues/1669) impossible d'automatiser avec

le code à modifier dans le script python :

response = g4f.ChatCompletion.create(
                model=g4f.models.gpt_35_long,
                messages=[
                    {"role": "system", "content": prompt_system},
                    {"role": "user", "content": msg},
                ],
            )  # Alternative model setting

            # Regular expression pattern to match the specified format
            pattern = r'\[\[.*?\]\]\(.*?\)'

            # Remove the matched pattern from the input string
            response = re.sub(pattern, '', response)

[XenocodeRCE]

Une personne m'a indiqué comment réparer l'erreur avec GPT-4 et c'est désormais le GPT4 de Bing qui répond et fait la dissertation, donc ça prend davantage de temps (3m environ) mais ça fonctionne quand-même

[XenocodeRCE]

Re !

J'ai fork le repo d'un collègue : https://github.com/XenocodeRCE/sujets-philosophie-bac

Il y a 2000+ sujets de bac, j'utilise tes prompts pour les traiter, ça prend 2-3 minutes par sujet :

Une fois que c'est fait je compte utiliser une IA pour lui demander pour chaque sujet d'établir les 2 notions du programme qui s'y rapportent.

Je vais faire un PR avec les sujets ici :) j'ai uniquement les 3 premières étapes, je ne souhaite pas mâcher trop le travail des élèves, mais les exemples de l'étape 1 sont déjà très bien pour réviser en speed

[sknuth]

J'adore ce que vous faites ! C'est exactement l'esprit dans lequel j'ai entrepris ce travail. Mais vous êtes bien plus rigoureux que moi 😀

J'ai fait quelques manips avec GPT4 et Claude 3 Opus. Je trouve que Claude 3 Opus suit le prompt plus fidélement que GPT4.

Ci-dessous un exemple de ce que j'obtiens avec Claude 3 opus:

1. Explication du sujet : La conscience est la faculté de l'esprit humain de se représenter sa propre activité, de porter un jugement de valeur sur ses actes. Elle est souvent considérée comme un guide moral fiable. Pourtant, la question posée invite à s'interroger sur les limites de la conscience et sur la nécessité de s'en méfier.

   • Exemple 1 : Dans "Fondements de la métaphysique des mœurs", Kant affirme que la conscience morale est la boussole qui nous permet de distinguer le bien du mal. Elle serait la voix de la raison pratique en nous.
   • Exemple 2 : Pourtant, dans "Par-delà bien et mal", Nietzsche remet en question l'idée d'une conscience morale universelle. Pour lui, la conscience est le produit d'une éducation et d'une culture. Elle peut donc être trompeuse.
   • Exemple 3: Dans "Les Confessions", Rousseau explore les méandres de sa propre conscience. Il montre que la conscience peut être aveuglée par l'amour-propre et nous conduire à nous mentir à nous-mêmes.
   • Exemple 4 : Dans "L'existentialisme est un humanisme", Sartre affirme que l'homme est condamné à être libre. Sa conscience est le lieu de cette liberté absolue qui l'oblige à choisir et à assumer ses choix.

Ainsi, la conscience apparaît à la fois comme un repère moral et comme une instance dont il faut savoir se méfier. Le sujet invite donc à s'interroger sur le statut de la conscience et sur la confiance qu'on peut lui accorder.

2. Du sujet à la problématique : Le sujet "Faut-il se méfier de sa conscience ?" soulève la question de la fiabilité de la conscience comme guide moral. Les termes clés du sujet sont:
   • Conscience : faculté de l'esprit de se représenter sa propre activité, de porter un jugement de valeur sur ses actes. Notion clé du programme liée aux repères "La conscience", "La morale".
   • Se méfier : ne pas faire confiance, soupçonner d'être trompeur. Suggère que la conscience pourrait nous induire en erreur.

La question implicite posée par le sujet est donc : la conscience est-elle un guide fiable pour notre conduite morale ou faut-il au contraire s'en défier car elle peut nous tromper ?

3. La problématique : Dans quelle mesure peut-on se fier à sa conscience pour guider notre conduite morale ? La conscience est-elle un fondement sûr pour la morale ou est-elle au contraire une instance fragile et trompeuse dont il faut savoir se détacher ?

4. Introduction rédigée: La conscience est souvent considérée comme la boussole morale de l'être humain. Cette petite voix intérieure qui nous souffle le bien et le mal serait le guide le plus sûr pour diriger notre conduite. Pourtant, la question posée invite à s'interroger sur cette évidence : faut-il se méfier de sa conscience ? Derrière cette interrogation se cache un soupçon : et si la conscience, loin d'être un repère fiable, était au contraire une instance fragile et trompeuse ? Ce doute sur la conscience ébranle l'édifice de la morale. Car si on ne peut se fier à sa conscience, sur quoi fonder la distinction du bien et du mal ? Pour répondre à cette question, il faut d'abord reconnaître que la conscience est effectivement la faculté qui nous permet de juger moralement nos actes. En ce sens, elle est bien un guide précieux. Mais dans un deuxième temps, on ne peut ignorer les failles de la conscience qui peut être aveuglée par les passions ou déformée par l'éducation. Enfin, il faudra se demander si le sage n'est pas celui qui sait justement se détacher de sa conscience pour accéder à une forme de liberté.

5. Plan détaillé:

• I. La conscience comme guide moral

  1. La conscience est la faculté de juger moralement ses actes

     • Exemple : Pour Kant, la conscience est la voix de la raison pratique qui nous intime le devoir moral. Elle est le fondement de la morale.

  2. Avoir une conscience droite est traditionnellement une garantie de moralité

     • Exemple : Dans la philosophie chrétienne, la conscience est la voix de Dieu en l'homme. Suivre sa conscience, c'est faire le bien.

  3. La conscience est un rempart contre l'immoralité

     • Exemple : Dans "Les Essais", Montaigne affirme : "La conscience nous sert de bourreau". Elle nous empêche de commettre le mal par la culpabilité.

• II. Les failles de la conscience

  1. La conscience peut être aveuglée par les passions

     • Exemple : Pour Spinoza dans "L'Éthique", la conscience est souvent obscurcie par les passions tristes qui nous détournent de la véritable connaissance du bien et du mal.

  2. La conscience est façonnée par l'éducation et la culture

     • Exemple : Nietzsche, dans "Généalogie de la morale", montre que la conscience morale est le produit d'un dressage social. Elle n'a donc rien d'absolu.

  3. La conscience peut nous mentir à nous-mêmes

     • Exemple : Sartre, dans "L'Être et le Néant", parle de la "mauvaise foi" : une forme de mensonge à soi où la conscience se dissimule à elle-même la vérité par lâcheté.

• III. Se détacher de sa conscience : la liberté du sage

  1. Avoir une conscience scrupuleuse peut être un obstacle à l'action

     • Exemple : Dans "Le Prince", Machiavel affirme que l'homme politique doit savoir laisser sa conscience de côté pour être efficace. La morale peut être un obstacle.

  2. Le sage est celui qui agit selon la raison plus que selon sa conscience

     • Exemple : Les stoïciens comme Épictète prônent de suivre la raison universelle (logos) plutôt que sa conscience individuelle pour atteindre la sagesse.

  3. Se détacher de sa conscience est une forme de liberté

     • Exemple : Dans "Par-delà bien et mal", Nietzsche appelle à se situer "par-delà la conscience" pour affirmer la puissance créatrice de la vie, au-delà de la morale du troupeau.

6. Conclusion rédigée: En conclusion, la conscience apparaît comme un guide moral ambivalent. D'un côté, elle est effectivement la faculté qui nous permet de distinguer le bien du mal et d'orienter notre conduite en fonction de cette boussole intérieure. En ce sens, elle est un rempart précieux contre l'immoralité. Mais d'un autre côté, on ne peut ignorer les failles de la conscience. Influencée par les passions, façonnée par l'éducation, elle peut nous tromper et nous conduire à agir contre le bien véritable. Plus profondément encore, avoir une conscience trop scrupuleuse peut être un obstacle à l'action et à la liberté. Le sage n'est-il pas celui qui sait justement prendre de la distance avec sa conscience morale ? Cette mise à distance, loin d'être immorale, serait au contraire la condition d'une forme supérieure de liberté où l'homme s'affirme comme créateur de valeurs. Ainsi, s'il ne faut pas renoncer à sa conscience, il faut savoir s'en méfier assez pour ne pas être son esclave. La conscience est un guide, non un maître absolu. Savoir s'en détacher par la réflexion critique est le signe de la véritable autonomie morale.

[sknuth]

Par contre opus est cher... Pour l'instant j'utilise mes 5$ de bonus. mais si on doit poursuivre cette voie, il faut trouver un financement plus soutenable. Je creuse l'idée d'utiliser la blockchain pour financer les requêtes IA. Nous pourrions financer le site automatiquement avec des gains de staking Ethereum par exemple. J'ai calculé que je pourrais générer environ 150$/mois en reward de staking. Ce qui est largement suffisant pour payer les requêtes IA OpenAI ou Anthropic ou autres. Ainsi le site que vous mettez en place pourra générer automatiquement (et gratuitement) des réponses de très bonnes qualités à la demande. Il faudra probablement optimiser avec du RAG (Retrieval Augmented Generation). Je vous tiens informé !

[XenocodeRCE]

Pour le RAG j'ai entraîné tous (presque) les auteurs du programme avec les œuvres complètes téléchargées sur Z-library.

Y'en a 38 pour l'instant : https://poe.com/Platon001 (mais je suis sceptique quant au fait qu'un texte de Nagarjuna tombe au bac de toutes façons...)

J'utilise cette lib pour faire des requêtes (c'est du headless avec les cookies) https://github.com/snowby666/poe-api-wrapper

Je vais faire des tests avec Claude de mon côté alors ! :D

J'utilise en ce moment le GPT4 turbo gratuit de Bing (ils ont release ça cette semaine sur le Copilot et mon VPS a une IP aux USA)

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Sur la construction des brouillons, je trouve que "Du sujet à la problématique :" donne à 99% une très bonne problématique déjà, et que la partie uniquement sur la problématique est redondante.

On peut se tutoyer quand-même ;) et si tu as Discord tu peux m'ajouter, mon pseudo c'est 'platon' en minuscule

[sknuth]

et que la partie uniquement sur la problématique est redondante. Complètement en phase. Et ça donne, effectivement, un entrainement "plus rapide" aux élèves. mon pseudo sur discord est sknuth - je t'ai envoyé une invitation mais apparemment elle ne passe pas. "platon n'accepte pas les demandes d'amis".

J'utilise en ce moment le GPT4 turbo gratuit de Bing Cool je vais tester également...

[sknuth]

Pour le RAG j'ai entraîné tous (presque) les auteurs du programme avec les œuvres complètes téléchargées sur Z-library. Chapeau ! impressionnant ! tu es satisfait du résultat du RAG ?

[XenocodeRCE]

Oui globalement le RAG de Poe me satisfait. Si je comprends bien c'est mieux de faire pleins de petits fichiers sources, donc j'utilise Adobe Acrobat Pro pour exporter un gros PDF (admettons un gros livre type 'les essais' de montaigne) en petits fichiers texte de 10kb chacun...

le problème c'est qu'un jour je vais avoir envie de passer à une solution locale / moins dépendante de Poe.com et j'ai essayé les RAG maison avec Ollama (J'ai une RTX A4500) mais je ne me vois pas proposer ça à mes élèves c'est trop lent encore.