La persistance du texte de l'éditeur ne fonctionne pas de la même manière avec l'ancien éditeur historique et le nouvel éditeur expérimental.
Prenons par exemple un billet avec un extrait qui contient "Bonjour la France !". On souhaite l'éditer donc on clique sur Éditer et on remplace "Bonjour la France !" par "Salut la francophonie !". Pour une raison quelconque, on ferme l'onglet sans cliquer sur "Sauvegarder et continuer" ou "Sauvegarder et quitter". Un peu plus tard, on souhaite continuer la rédaction de cet extrait depuis le même navigateur.
Si on utilise le nouvel éditeur, on retrouve bien "Salut la francophonie !" (la version enregistrée dans le navigateur) mais aucun bouton ne nous permet de revenir à "Bonjour la France !" (la version enregistrée actuellement en base de données). Une solution est de supprimer le contenu de l'éditeur et de recharger la page, mais faut-il encore le savoir.
Si on utilise l'ancien éditeur, on trouve "Bonjour la France !" (la version enregistrée actuellement en base de données) et aucun bouton ne permet de le remplacer par "Salut la francophonie !" (la version enregistrée dans le navigateur). Pire encore, au moindre appui sur une touche, la version enregistrée dans le navigateur est remplacée par celle de l'éditeur.
Tout ça n'est pas vraiment clair pour les auteurs et peut être source de perte de travail. Il faudrait uniformiser le comportement des deux éditeurs : la version enregistrée dans le navigateur est prioritaire par rapport à celle enregistrée en base de données, mais un bouton permet de revenir à celle enregistrée en base de données.
La persistance du texte de l'éditeur ne fonctionne pas de la même manière avec l'ancien éditeur historique et le nouvel éditeur expérimental.
Prenons par exemple un billet avec un extrait qui contient "Bonjour la France !". On souhaite l'éditer donc on clique sur Éditer et on remplace "Bonjour la France !" par "Salut la francophonie !". Pour une raison quelconque, on ferme l'onglet sans cliquer sur "Sauvegarder et continuer" ou "Sauvegarder et quitter". Un peu plus tard, on souhaite continuer la rédaction de cet extrait depuis le même navigateur.
Si on utilise le nouvel éditeur, on retrouve bien "Salut la francophonie !" (la version enregistrée dans le navigateur) mais aucun bouton ne nous permet de revenir à "Bonjour la France !" (la version enregistrée actuellement en base de données). Une solution est de supprimer le contenu de l'éditeur et de recharger la page, mais faut-il encore le savoir.
Si on utilise l'ancien éditeur, on trouve "Bonjour la France !" (la version enregistrée actuellement en base de données) et aucun bouton ne permet de le remplacer par "Salut la francophonie !" (la version enregistrée dans le navigateur). Pire encore, au moindre appui sur une touche, la version enregistrée dans le navigateur est remplacée par celle de l'éditeur.
Tout ça n'est pas vraiment clair pour les auteurs et peut être source de perte de travail. Il faudrait uniformiser le comportement des deux éditeurs : la version enregistrée dans le navigateur est prioritaire par rapport à celle enregistrée en base de données, mais un bouton permet de revenir à celle enregistrée en base de données.